Tout prés de toi
L'adresse ne s'affiche plus
Les boites aux lettres sont vides
Quel genre de malentendu
Laisse les visages livides...
Les chemins de cailloux
Ne mènent nul part
Tes cheveux plein de poux
On battit une gare...
Tes cris hantent les branches
Les oiseaux moisi sont froid
J'ai failli me casser les hanches
En brulant du bois...
Les pierres se désaltères
Sur mon regard mouillé
La désolation, l'adultère
La terre elle-même est souillée...
Le temps hémophile
Défile a grosse gouttes
Sur mes réflexion débiles
Je fais fausse route...
Les images hydrophiles,
Papier peint de ton âme
Où tes os craquant défilent
Où ta misère se pâme...
Le vent ne dirige plus
Les girouettes sont perdues
Tu vis dans un royaume de pus
Et tu ne l'a jamais su...
Ni les cartes, ni les crayons
Ne situe ta maison
Ni ton foutu corps de béton
Ni ta gueule de carton...
Tu vieillira avec la pluie
Avec l'acidité du bitume
Tu vibrera au son de la nuit
Tu crèvera d'un rhume...
Ta bohème est l'enfer
Du plus sain des démon
Tes prières sont un alliage de fer
Et de téflon...
Ta splendeur dans les ruines
Magnolias et coquillages
Mais qu'a tu fais des coloriages ?
Offert pas ta tantine...
Ton horloge m'a demandé de l'aide
Ces heures ont ankylosé mes bras
Et au ralenti, d'un geste raide
Le temps se fixa sur moi...
Tu l'ignore, me confessa t'il
Tu rit aux rides effilées sur ta face
Tu n'a pour unique textile
Que l'aspect hostile de ta race...
Sais tu les saisons qui s'abatte sur toi ?
Te souviens tu des été ?
Passé sur le banc de bois
Ou nous nous sommes aimés ?
Je ne sais plus qui guide mes pas
Quel force insensés me mène ici
Tu va passer de la mort a trépas
J'espère aussi finir ainsi...
Tout près de toi...
Chaarar,
L'adresse ne s'affiche plus
Les boites aux lettres sont vides
Quel genre de malentendu
Laisse les visages livides...
Les chemins de cailloux
Ne mènent nul part
Tes cheveux plein de poux
On battit une gare...
Tes cris hantent les branches
Les oiseaux moisi sont froid
J'ai failli me casser les hanches
En brulant du bois...
Les pierres se désaltères
Sur mon regard mouillé
La désolation, l'adultère
La terre elle-même est souillée...
Le temps hémophile
Défile a grosse gouttes
Sur mes réflexion débiles
Je fais fausse route...
Les images hydrophiles,
Papier peint de ton âme
Où tes os craquant défilent
Où ta misère se pâme...
Le vent ne dirige plus
Les girouettes sont perdues
Tu vis dans un royaume de pus
Et tu ne l'a jamais su...
Ni les cartes, ni les crayons
Ne situe ta maison
Ni ton foutu corps de béton
Ni ta gueule de carton...
Tu vieillira avec la pluie
Avec l'acidité du bitume
Tu vibrera au son de la nuit
Tu crèvera d'un rhume...
Ta bohème est l'enfer
Du plus sain des démon
Tes prières sont un alliage de fer
Et de téflon...
Ta splendeur dans les ruines
Magnolias et coquillages
Mais qu'a tu fais des coloriages ?
Offert pas ta tantine...
Ton horloge m'a demandé de l'aide
Ces heures ont ankylosé mes bras
Et au ralenti, d'un geste raide
Le temps se fixa sur moi...
Tu l'ignore, me confessa t'il
Tu rit aux rides effilées sur ta face
Tu n'a pour unique textile
Que l'aspect hostile de ta race...
Sais tu les saisons qui s'abatte sur toi ?
Te souviens tu des été ?
Passé sur le banc de bois
Ou nous nous sommes aimés ?
Je ne sais plus qui guide mes pas
Quel force insensés me mène ici
Tu va passer de la mort a trépas
J'espère aussi finir ainsi...
Tout près de toi...
Chaarar,
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