Danses,
Dans les sombres nuages profonds, le temps s'est perdu
Un mélange de murmures et de sons, ne formant aucun bruit
Le ciel était couvert de suie, et l'on espérait tous, la pluie
Le pays sage, n'était plus de mise dans ce paysage perdu
Un couple d'ombres parlait à voix basse du genre humain
Ils envahirent mon cerveau sans même me serrer la main
J'ai le lugubre souvenir d'une danse inspirée des Indes
Le Gange prend sa source dans le ciel, et parfois il se scinde
La lumière s'adoucit, cheminant doucement vers la mort
N'éclairant plus désormais qu'un archipel décharné de dévot
Portant la dépouille de leurs espoirs à bras le corps
Et l'autre qui s'endort sur la plaine, est pris pour un sot...
C'est comme si l'univers avait écrit son testament sur ma chair
Poignardant mon âme du sceau de la prophétie de la haine
Son encre lourde a pris la place du sang dans mes veines
Je ne m'amuse plus de vos sourires projetés dans les airs
On considérait l'enfant qui naissait comme le plus fou des hommes
L'histoire ne sait que se répéter et l'on se souvient des Pogroms
Parce ce qu'ils ne connurent pas la Shoa, il décidèrent d'en rire
Vos anciens ont planté ces champs avec le sang de vos sbires...
Dans les sombres nuages profonds, le temps s'est perdu
Un mélange de murmures et de sons, ne formant aucun bruit
Le ciel était couvert de suie, et l'on espérait tous...la vie
Le pays sage, n'était plus de mise et le paysage s'est pendu
Chaarar,
Dans les sombres nuages profonds, le temps s'est perdu
Un mélange de murmures et de sons, ne formant aucun bruit
Le ciel était couvert de suie, et l'on espérait tous, la pluie
Le pays sage, n'était plus de mise dans ce paysage perdu
Un couple d'ombres parlait à voix basse du genre humain
Ils envahirent mon cerveau sans même me serrer la main
J'ai le lugubre souvenir d'une danse inspirée des Indes
Le Gange prend sa source dans le ciel, et parfois il se scinde
La lumière s'adoucit, cheminant doucement vers la mort
N'éclairant plus désormais qu'un archipel décharné de dévot
Portant la dépouille de leurs espoirs à bras le corps
Et l'autre qui s'endort sur la plaine, est pris pour un sot...
C'est comme si l'univers avait écrit son testament sur ma chair
Poignardant mon âme du sceau de la prophétie de la haine
Son encre lourde a pris la place du sang dans mes veines
Je ne m'amuse plus de vos sourires projetés dans les airs
On considérait l'enfant qui naissait comme le plus fou des hommes
L'histoire ne sait que se répéter et l'on se souvient des Pogroms
Parce ce qu'ils ne connurent pas la Shoa, il décidèrent d'en rire
Vos anciens ont planté ces champs avec le sang de vos sbires...
Dans les sombres nuages profonds, le temps s'est perdu
Un mélange de murmures et de sons, ne formant aucun bruit
Le ciel était couvert de suie, et l'on espérait tous...la vie
Le pays sage, n'était plus de mise et le paysage s'est pendu
Chaarar,
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