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La femme voit avec son cœur
Veut sourire à tous ceux qu’elle rencontre
Heureuse, qui se réveille chaque matin
Au chant d’un oiseau qu’il Plût au ciel
Elle pleure et sent la vie un laps de temps….
Oh ! miroir bleuté qui irise
Ton visage que tiennent mes mains !
Droite sous ton ciel étoilé
Regardant notre firmament,
Tu étincelles dans ton tenue de lumière.
Reflet des profondeurs de la mer..
Tu me fasses découvrir, de tes mains lyriques
Tout ce que je t'offre, et qu'en ce jour j'abdique
Car ne plus t'aimer, ne plus te désirer, ne plus te respirer
Serait comme demander à la mer de ne plus bercer.
Dans tes yeux, j’ai vu plein de voyages
Ou l’amour heureux t’a rendue seyante
Ouvre la porte et laisse entrer l'avenir…
Ton charme imperceptible
Se noie dans l’auréole lunaire.
Je partage tes longs silences.
Me déçoit ton éternelle absence
Je te dois cette reconnaissance
Bienveillante, tu t'égares en mes nuits.
Dans tes yeux J'ai vu le rivage
D'une terre sans fin où le temps suit le vent.
Mon visage se reflétait dans l'eau,
J'entendais l’allure des chevaux,
Les rayons du soleil perçaient,
Pour rebondir sur le marécage.
Dans tes yeux j'ai vu un invite
A un voyage à deux, que le temps me quitte !
Dans ce vaste océan, sous la voûte hyaline d'étoiles
Apparaisse un nuage diaphane, Que la nuit lève son voile
Sous le bleu de tes yeux, fixés sur les courbes de mon corps
Que je t'offrirais comme un joyau, aux couleurs de l'aurore.
J'aimerais ! Que tu t'allonges à mes cotés, et me consume
Et sur mon corps, des caresses que je hume
Dans le ressac de la vague, emportée et inondée
Me couler en toi, cueillir cette source de lascivité.
La terre tourne autour de soleil et la lune autour de la terre..
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