On m’avait dit « viens entre, les barreaux sont fait de sucre »
J’ai cru à l’être sincère qui m’invitait heureux et sans lucre
J’ai mis les pieds dans cet entre où les mots ne disent pas
J’ai mis les pieds dans cet entre où la voix ne guide pas
On m’avait dit « viens entre, nous serons tes compagnons »
J’ai cru à l’être honnête, je n’ai trouvé que lorgnons
Qui louchent sur leur avidité, partagés par leur arrogance
Oubliant les premières paroles offertes, celle de bienfaisance
On m’avait dit « viens entre, ici nous te feront sûrement rêver »
Je n’ai pas vu ces charognards qui guettent toujours éveillés
J’étais juste venue connaître oubliettes parmi eux
En voulant ressortir, ils m’ont dit « tu ne suis pas le jeu »
On m’avait dit « viens, entre » sans préciser de sortie
J’ai occulté que partout, l’existence d’âmes impies
Pouvait vous mener à l’endroit de ces supplices
Où sont même emprisonnés les geôliers de la cage aux vices.
J’ai cru à l’être sincère qui m’invitait heureux et sans lucre
J’ai mis les pieds dans cet entre où les mots ne disent pas
J’ai mis les pieds dans cet entre où la voix ne guide pas
On m’avait dit « viens entre, nous serons tes compagnons »
J’ai cru à l’être honnête, je n’ai trouvé que lorgnons
Qui louchent sur leur avidité, partagés par leur arrogance
Oubliant les premières paroles offertes, celle de bienfaisance
On m’avait dit « viens entre, ici nous te feront sûrement rêver »
Je n’ai pas vu ces charognards qui guettent toujours éveillés
J’étais juste venue connaître oubliettes parmi eux
En voulant ressortir, ils m’ont dit « tu ne suis pas le jeu »
On m’avait dit « viens, entre » sans préciser de sortie
J’ai occulté que partout, l’existence d’âmes impies
Pouvait vous mener à l’endroit de ces supplices
Où sont même emprisonnés les geôliers de la cage aux vices.
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