Je vante Aicha

[sam87]

Solitaire forcené

J’étais seul, je marcherais tel un solitaire

Ma force et mon courage étaient de pierre

Sans peur j’affronterais les démons de l’enfer,

Tu es arrivée, je ne sais quelle frontière

Dans notre histoire, tu été la première avec avance

Dignes d’une sorcière.

Je t’ai prise pour ma grande lumière à notre amour

Je croyais dur comme fer

Mais hélas, tu n’as été qu’éphémère brûlant

Comme le feu du chémére.

Ton amour a été tristement amer

Même les dieux ont ignore mes prières

Cet amour me conduit droit au cimetière,

Si ce n’est pas l’amour de ma plume

Qui me redonne espoir sur cette terre.

C’est le destin qui m’a condamné

Par le virtuel

[sam87]

Laisse-moi respirer dans l’éther



Brûlé et transi d'amour
Je m'avance vers toi
Calciné par les flammes et ce toujours
Je cherche dans ton regard un émoi...

Cet amour né dans la nuit de juillet lunaison
Dans tes bras l’envie et le réel voué
Un peu de temps pour amortir l’écart
Et arriver en mars pour te toucher.

Toute la fanfare de ses trente ans,
Clavier d’or aux notes de flamme,
Lui dit un joyeux éventail
Sur la clef d’amour du printemps…

Je t’ai cherché dans l’éther et dans le noir
Amie, je rêve ; amie, je pleure
Amie, je songe que c’est l’heure
Et que mon coeur ne vient pas.

Plus grands sont les amours,
Plus courte est la mémoire,
Vous l’avez oublié,
Nous en sommes tous là ;
Le coeur le plus aimant n’est qu’une vaste armoire.

Depuis les pieds jusqu’à la tête,
Sans regret, comme sans remord,
Nous l’avions fait beau pour la mort.

De tous côtés, d’ici, de là,
Les oiseaux chantaient dans les branches,
En si bémol, en ut, en la, de tous côtés..

Loin d'ici, loin des yeux
Tu resteras gravé dans mes pensées
Laisse-moi longtemps respirer
L'odeur ambrée de tes cheveux
Ta vertu fera l'intégrale de mon éternité
Là tout n'est qu'ordre et beauté……

Nous nous sentions si forts,
Nous voulions être doux ! tout à l’heure,
Je parlais de devoir calme, d’une demeure
Regarde donc le ciel ! C’est trop petit pour nous,
Nous crèverions de chaud………





Eh bien ! Chère amour,
La nature est prête
Le nid vous attend…
Comment ! Vous riez ?
C’était pour savoir ce que vous diriez……

Monter lentement, dans un immense amour,
De la prison terrestre à la beauté du jour,
Je ne sais plus même être heureux !.........

Veux-tu de moi jusqu'à la fin de tes jours ?
Acceptes-tu ma folie et ma ferveur ?
Veux-tu mon amante me donner ton amour ?
Et répondre à mes ardeurs ?...........




J’ai ouvert les portes de mon cœur pour toi seulement aicha,
Si tu me comprends si bien, si comme tu as réuni tous les liens
De mon passé de mon présent sont mon futur….
Je dédie ces mots pour toi…et au soleil qui suit.
Oh ma plume un peu de courage on est presque arriver..avant
Que tu ne deviens Cancre j’aimerai te dire que je t’aime
De tout mon cœur……j’ai pas de la veineplus d’encre »

Le 05/09/2009 à 00:59

[sam87]

…je n’incrimine pas le temps

C’est m’ont quitté ceux qui j’aime
Je n’incrimine pas le temps sur notre séparation
Dans l’oublie j’arrangerai ses lettres et ses numéros
Dans l’oublie je mettrais les points sur les I….

D’une heure à l’autre ton cœur change
Ton visage ostensible s’est évanoui
Au firmament tes mains rayent mes souvenirs

J’ai cru que j’ai laissé mes traces
A chaque fois que je mis mon pas
Après le temps j’ai virai ma tête
Et j’ai trouvé que je marche sur l’eau ….

Mon cœur est continuellement en révolte
Et je sais ce qui en est la cause
L’objet de ses désirs est top loin

Constamment torturé par des chagrins
Il ne veut se confesser à personne
Chaque jour il me plonge dans de nouvelles inquiétudes….

Tandis que nous, endurant toutes les tortures
Avec de l’absinthe, nous nous plongeons dans l’ivresse
Nous deux ensemble, mon âme et moi….

Attend-moi ne décampe pas c’est toi ma lumière..
Mon cœur a fendu, à genou je cintre sur terre
Qui pense que le temps nous sépare….

Dis à celle qui est la plus belle des filles
A celle dont la peau est comme la fleur de lys
Qu’avant de la connaitre, j’étais tout a la dévotion…

Lampe prends garde de t’éteindre
Pour que les autres puissent se réjouir
Surtout les beaux ceux qui en sont dignes….

Voila pourquoi, je l’aime
Si le sommeil m’abandonne d’amour pour elle
Je supplie dieu: ménage-nous une rencontre…

[sam87]

Combien je voudrais te parler ?

Toi l’étoile, point brillant cours cette fois..
Tu me diras ce qui se passe en son cœur
Ses gestes, ses ennuis et tous ses dires ….

Allons faucon, fils de noble origine
Va, si tu peux traverser les plaines et
Les montagnes vers la chère amie, lui dire..

Que depuis le jour de son absence,
Que, quoique ma vie soit des plus agitées d'elle,
La belle, j'en conserve toujours le souvenir…

Rêveur, j’en sentirai la fraîcheur à mes pieds.
Je laisserai le vent baigner ma tête nue.
Je ne parlerai pas, je ne penserai rien,

Mais l’amour infini me montera dans l’âme,
Et j’irai loin, bien loin, comme un bohémien,
Par la nature, heureux avec une femme.

Le soleil, le foyer de tendresse et de vie,
Verse l’amour brûlant à la terre ravie,
Et, quand on est couché sur la vallée, on sent
Que la terre est pubère et déborde de sang ;

Où les arbres muets, berçant l’oiseau qui chante,
La terre berçant l’homme, et tout l’Océan bleu
Sur les feuilles blanches la plume déchire les mots
En encre sépia qui s’abîme à la lumière…

La lumière de cette étoile lointaine
Qui jette ses rayons en sarisse
Sur le chemin des années de chandelle
En comptant les jours en espérant
Que l’heure est bientôt proche….

Maintenant, je vois qu’il est sage de songer à l’avenir
Car la vie est instable, changeante
Elle n’est durable et fidèle à personne…

Que celui qui peut raffermir sa volonté, le fasse
Qu’il ait sentiment exact de sa valeur personnelle
En cette époque-ci, à quelque chose le malheur est bon…..

C’est la fin du mois je parviens sur la lune,
La nuit est prête a sombrer mes jours…
A Quelle l’heure le soleil se couche ??

O ma belle combien je voudrais te parler
Tu verrais ce que j’enduire de souffrances
Sans doute, ton cœur s’attendrirait………..

[postra]

Laisse moi te dire franchement on lisant ton poème j’avais l’impression de lire un vieux troubadour comparé à Haiziya, c’est vraiment enchantant et envoutant. Une vrai poésie populaire clair belle ravissante à l’image de Aicha certainement. J’ai pas lu les autres une autres fois. Bon courage surtout pour la passion amoureuse de ta diva

[sam87]

merci pour toi postra...je suis trés loin de troubadour ...je suis content d'etre a l'aise devant mes ecris ... combien coute l'amour?...je pense que l'amour ne coute pas les mots....merci..

[sam87]

Elle me reste que ta beauté

Comme un feu sans fumée

Tu m’éteins par tes sentiments

Quelle beauté qui reste

Si les cours son désemplir d’amour

Quelle vie qui nous reste

Si les jours son amers

Quel miroir qui reflète nous images

Si ces glaces son tripotés…

Un océan de silence
Submerge ton coeur
Ce qui n'aurait jamais dû avoir lieu
Restera gravé dans l'obscurité……

Je ne peux t'aimer

Si tu ne me laisses pas
Tu ne peux pas me toucher

Si tu n'essayes même pas
Je peux te sentir
Je sais que tu es prête à prendre ça autrement

Tu n'as qu'à me faire un signe
Je ne te quitterai pas
Nous le ferons ensemble
Et jusqu'à la fin des temps….

Si tu as besoin de moi
Tu sais que je viendrai en courrant
Droit vers toi en fleurissant le cœur fracassé

J'ai beaucoup d'amour à te donner
Tu sais que je n'ais jamais voulu te contrôler
Je veux juste être à tes côtés

Quand je te regarde
Je peux voir la tristesse dans tes yeux
En ces moments désespérés
Nous sommes poussés de toutes parts

Douce âme et corps tu n'en sais rien
Mais le monde est froid dehors
Tu est trop jeune pour réaliser
Ce qu'il attend de toi ce soir…

Il me reste que ta beauté car

Mon cœur est plein de tes dires

Il me reste dans la vie que les jours

Que je passerais en ta compagnie…

C’est un mal qui m’est prédestiné

N’ayant jamais été favorise par le sort

Je voudrais pouvoir un jour goûter de cet amour..

Azgga yella anwa athyafen assa…

Azkka yekethev anwa assyanefen azgga

[postra]

c'est le principale que tu te sente a l’aise devant tes écrits on es pas dans un concours marketing, mais je pensais vraiment dans ma remarque ton texte Aicha est vraiment un régale... bon courage

[sam87]

merci postra..

[sam87]

Le chemin de temps

J’avais planté une greffe de rosier
Que je soignais et binais tous les nuits
Chaque jour c’était autour de lui un drainage..

Les jours sont jaunes, le cœur détériore
Le soleil incinère les fleurs en cendre
Sans fumée ni flamme dans son cœur amoureux

Dans le jardin, les feuillage des roses se tarirent et
Le jeune arbuste en fleurs et en feuilles s’épanouit
Au ciel les étoiles s’éteignent et disparaissent
L’obscur remplace et berne la beauté de la lumière…

Toute notre foi est en elle
Si la fille est peu experte aux choses de l’amour
Elle est polie bien élevées et pleine de délicatesse

Si la femme de ma vie a appris
Que l’homme de ses rêves a été détruit
Elle a du prendre le deuil le jour de noël…

Sur le balcon au milieu de la nuit
Elle m’attend un jour sans l’heure
Au dessus, les étoiles son témoins..

Je t’arriverai comme l’oiseau de tyran
Dans tes mains je chanterai la chanson
J’ouvrirai le cœur et je tu livreras ma passion..

De toi le coeur est tenu à distance
De loin il se contente seulement de t’admirer
Alors que la bécasse se réjouit avec toi…

Le froid m’a mis a genou devant ta chaleur
Une soirée neigée par la flamme de désir
Le corps est glacé et l’âme est en feu..

Les frondaisons de mes pensées tombent sur terre
Le vent les ramasser en moissonnant les mots
Pour te construire un navire de vers en morceau
Sur le chemin de temps les heures ne comptes pas..

[sam87]

L’amour est’un mystère

J’ai peur de demain, je tressaille..
J’ai peur de ce sourire malsain, je frissonne..
Cet amour mystère qui me tourmente
Embrase le corps et l’âme. …..

Sur l’arène de ma vie
Je regarde passer mes jours.
Vêtue des couleurs de l'envie,
Je rêve encore à mes amours….

Malgré que devant mes yeux tu es disparue
Dans mon coeur tu es encore vivante
Ce que tu m’as laisse je ne peut le supporter..

Ton visage jamais je l’oublier
Malgré que le temps le sombre
Avec toi je suis égayé
Et maintenant je suis triste et tracasser …

Les jours passent et le cœur est anhydre
Ma foie est déchirée en morceau et
Chaque partie à une lettre de ton nom.
Je ne peux pas aimer comme je t’ai aimé…

Un poème pour rêver
Ne plus réfléchir,
Je veux t'imaginer…..

Tu as caressé le tronc lisse
Auquel tu t’étais adossée
Après une longue marche
Dans la forêt complice de tes rêves…..

L’arbre a déployé sur le ciel
Ses immenses ramures
Peuplées d’un feuillage
Luisant et frémissant…..

Elles ont fait taire
Le murmure bruyant
Des oiseaux bavards
Et leurs ombres fugitives
Ont envahi le chemin forestier.

De mon cœur...
Pleine de mots tendres et légers
Comme pour accompagner
Un nouveau chant d’amour….
Au non de la rose je ferai une overdose de cannabis..

[suzanna]

L'amour est un mystere

" Un poeme pour rever , ne plus reflechir..."

Merci pour la beaute , purete et limpidite de ton poeme
Merci de nous le partager,

S

[sam87]

merci suzanna pour te viste..

Il est difficile de définir l'amour. Ce qu'on en peut dire est que dans l'âme c'est une passion de régner, dans les esprits c'est une sympathie, et dans le corps ce n'est qu'une envie cachée et délicate de posséder ce que l'on aime après beaucoup de mystères.

c'est pour ça un poeme pour réver,ne plus reflechir

[sam87]

Ouvre la porte et laisse entrer l'avenir.

La femme voit avec son cœur
Veut sourire à tous ceux qu’elle rencontre
Heureuse, qui se réveille chaque matin
Au chant d’un oiseau qu’il Plût au ciel
Elle pleure et sent la vie un laps de temps….

Oh ! miroir bleuté qui irise
Ton visage que tiennent mes mains !
Droite sous ton ciel étoilé
Regardant notre firmament,
Tu étincelles dans ton tenue de lumière.
Reflet des profondeurs de la mer..

Tu me fasses découvrir, de tes mains lyriques
Tout ce que je t'offre, et qu'en ce jour j'abdique
Car ne plus t'aimer, ne plus te désirer, ne plus te respirer
Serait comme demander à la mer de ne plus bercer.

Dans tes yeux, j’ai vu plein de voyages
Ou l’amour heureux t’a rendue seyante
Ouvre la porte et laisse entrer l'avenir…

Ton charme imperceptible
Se noie dans l’auréole lunaire.
Je partage tes longs silences.
Me déçoit ton éternelle absence
Je te dois cette reconnaissance
Bienveillante, tu t'égares en mes nuits.
Dans tes yeux J'ai vu le rivage
D'une terre sans fin où le temps suit le vent.


Mon visage se reflétait dans l'eau,
J'entendais l’allure des chevaux,
Les rayons du soleil perçaient,
Pour rebondir sur le marécage.

Dans tes yeux j'ai vu un invite
A un voyage à deux, que le temps me quitte !

Dans ce vaste océan, sous la voûte hyaline d'étoiles
Apparaisse un nuage diaphane, Que la nuit lève son voile
Sous le bleu de tes yeux, fixés sur les courbes de mon corps
Que je t'offrirais comme un joyau, aux couleurs de l'aurore.

J'aimerais ! Que tu t'allonges à mes cotés, et me consume
Et sur mon corps, des caresses que je hume
Dans le ressac de la vague, emportée et inondée
Me couler en toi, cueillir cette source de lascivité.

La terre tourne autour de soleil et la lune autour de la terre..

[suzanna]

Ouvre la porte et laisse entrer l'avenir

Sam..

Bellissimo et bravissimo!!!!
J'aime beaucoup ton passage-la : " dans ce vaste ocean sous la voute hyaline d'etoiles apparaisse un nuage diaphane que la nuit leve son voile..." ca ressemble a un conte de fees
merci d'avoir pris le temps de l'ecrire et merci pour tes beaux vers,

S