Tes cheveux dessinent toujours ce chemin qui me perd,
Au bras d'autres, endormi, ton regard est là si accusateur,
T'ignorer ... T'effacer ... j'ai fait, alors pourquoi tes souvenirs demeurent?
Pardon Amour, moi qui croyais mes yeux refroidis, pour toi ils pleurent,
Mais à quoi bon ces larmes, t'avoir à mes cotés n'est plus qu'un leurre,
Amour tu es la plus enivrante des liqueurs, mais tu restes un cruel vengeur!
Toi qui as détourné ton regard de ton Amour, pourquoi cris-tu ta douleur!
Toi qui as nié ton bonheur, pourquoi fuis-tu ton malheur.
G.A.
Au bras d'autres, endormi, ton regard est là si accusateur,
T'ignorer ... T'effacer ... j'ai fait, alors pourquoi tes souvenirs demeurent?
Pardon Amour, moi qui croyais mes yeux refroidis, pour toi ils pleurent,
Mais à quoi bon ces larmes, t'avoir à mes cotés n'est plus qu'un leurre,
Amour tu es la plus enivrante des liqueurs, mais tu restes un cruel vengeur!
Toi qui as détourné ton regard de ton Amour, pourquoi cris-tu ta douleur!
Toi qui as nié ton bonheur, pourquoi fuis-tu ton malheur.
G.A.
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