Quand la nuit s’éternise
Jusqu’au au bout de l’insomnie
Quand je pourrais mourir
A force de ne pas dormir
Je pense à toi à chaque seconde
Toi mon ami du bout du monde
Qui sans fracas est entré dans ma vie
Du bout des mots, sur la pointe de ta poésie
Je t’aime petit à petit
Sans coup de foudre,
Sans choc thermique
Tu me fais rire, pas besoin de « poudre »
Tu me fais pleurer quand tu te traites de « bique »
Je t’imagine avec à la main
Un verre de calva, d’Arma ou de Tequila
Très digne dans ta djellaba
Et « caressant » ta darbouka
On caresse ce que l’on peut
Et pas toujours ce que l’on veut
Mais qu’importe ce que l’on caresse
Pourvu que l’on ait l’ivresse
Du moment que c’est bio
Du moment que c’est granolo
Et si tu crains pour ton esprit vacillant
Les méfaits de la vache folle,
Sois rassuré,
A mon sujet,
Parfois vache, parfois folle
Je ne suis jamais les deux en même temps
Je ne dis pas ton nom, tu te reconnaîtras
Sache que je te prime
Non pas d’argent mais d’or
Et t’auras même une surprime
Je ne dis pas plus encore
Et j'aime ta voix
Quand je suis aux abois
Voilà, je termine et je t’aime
Et te dédis ce pouème
Jusqu’au au bout de l’insomnie
Quand je pourrais mourir
A force de ne pas dormir
Je pense à toi à chaque seconde
Toi mon ami du bout du monde
Qui sans fracas est entré dans ma vie
Du bout des mots, sur la pointe de ta poésie
Je t’aime petit à petit
Sans coup de foudre,
Sans choc thermique
Tu me fais rire, pas besoin de « poudre »
Tu me fais pleurer quand tu te traites de « bique »
Je t’imagine avec à la main
Un verre de calva, d’Arma ou de Tequila
Très digne dans ta djellaba
Et « caressant » ta darbouka
On caresse ce que l’on peut
Et pas toujours ce que l’on veut
Mais qu’importe ce que l’on caresse
Pourvu que l’on ait l’ivresse
Du moment que c’est bio
Du moment que c’est granolo
Et si tu crains pour ton esprit vacillant
Les méfaits de la vache folle,
Sois rassuré,
A mon sujet,
Parfois vache, parfois folle
Je ne suis jamais les deux en même temps
Je ne dis pas ton nom, tu te reconnaîtras
Sache que je te prime
Non pas d’argent mais d’or
Et t’auras même une surprime
Je ne dis pas plus encore
Et j'aime ta voix
Quand je suis aux abois
Voilà, je termine et je t’aime
Et te dédis ce pouème
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