Sur la route de cendres
Bercés par les cris de douleur
Les pleurs de mes sœurs
Que l’on martyrise
Depuis tant d’années
Dans encore tant de pays.
Pas besoin d’aller à l’école
L’instruction ce n’est pas bon
Surtout ne pas penser
Appendre le silence
Ne pas aimer
Ne pas se révolter
Oh non surtout pas
Enfermées dans l’existence
martyrisées à longueur d’années
Traité comme des esclaves
Sans le moindre respect
Elle doivent courber l’échine
Apprendre à survivre dans leur
Infirmité d’être née Femme
Elles deviennent invisibles
On ne les regarde pas
On ne les touche pas
Ah ! si pour les punir
Pour les violer
Les détruire
Lorsqu’elles osent se révolter
Pas le droit de travailler
Pas le droit de s’exprimer
Pas le droit de revendiquer
Pas le droit d’aimer,
Pas le droit de respirer
Pas le droit
de Vivre
A toutes les femmes opprimées, martyrisées, violées
A toutes ces fleurs que l’on voudrait voir faner
Dès leurs berceaux
Sachez que même réduite en silence
On entend vos cris
Vos pleurs vos douleurs
Vos souffrances
Le cliquetis de ces chaines
Parfois invisibles
Que vous portez
Votre souffrance
Est notre combat
Votre silence
Est notre voix
Vous êtes des femmes
Des reines
Mes sœurs.
morjane
08/03/09
Bercés par les cris de douleur
Les pleurs de mes sœurs
Que l’on martyrise
Depuis tant d’années
Dans encore tant de pays.
Pas besoin d’aller à l’école
L’instruction ce n’est pas bon
Surtout ne pas penser
Appendre le silence
Ne pas aimer
Ne pas se révolter
Oh non surtout pas
Enfermées dans l’existence
martyrisées à longueur d’années
Traité comme des esclaves
Sans le moindre respect
Elle doivent courber l’échine
Apprendre à survivre dans leur
Infirmité d’être née Femme
Elles deviennent invisibles
On ne les regarde pas
On ne les touche pas
Ah ! si pour les punir
Pour les violer
Les détruire
Lorsqu’elles osent se révolter
Pas le droit de travailler
Pas le droit de s’exprimer
Pas le droit de revendiquer
Pas le droit d’aimer,
Pas le droit de respirer
Pas le droit
de Vivre
A toutes les femmes opprimées, martyrisées, violées
A toutes ces fleurs que l’on voudrait voir faner
Dès leurs berceaux
Sachez que même réduite en silence
On entend vos cris
Vos pleurs vos douleurs
Vos souffrances
Le cliquetis de ces chaines
Parfois invisibles
Que vous portez
Votre souffrance
Est notre combat
Votre silence
Est notre voix
Vous êtes des femmes
Des reines
Mes sœurs.
morjane
08/03/09
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