© Jean-philippe Seguin
Un rayon de soleil vient
Caresser ma peau
Et je sens cette chaleur
Parcourir mon dos
La douleur qui m’oppresse
Trouve un peu de repos
Et je me dis que oui
Demain Il fera beau
L’angoisse de la nuit
Apaise en moi
Les cris et les bruits
Que chuchote
Mes voix
La douceur de ta peau
Eloigne un peu tout ça
Tu es là quand il faut
Et ça je l’oublie pas
Les horreurs de mes jours
S’éloignent à petit pas
La guerre, cette horreur
M’a toujours fait peur
La souffrance des autres
Me fait mal
Je m’envole bien Haut
pour trouver de l’eau
Me noyer de lumière
Pour m’éblouir
Et trouver du repos
Pour jouir de mon âme
Qui ne cesse de penser
Que c’est si doux la paix
N’est ce pas mon aimé,
Prends moi dans tes bras
Que tu me noies de caresses
Mon cœur est blessé
Tu vas le soigner
Panser mes blessures
Colmater ma détresse
Mon angoisse et ce stress
De demain.
Morjane
20 Mars 2003
Un rayon de soleil vient
Caresser ma peau
Et je sens cette chaleur
Parcourir mon dos
La douleur qui m’oppresse
Trouve un peu de repos
Et je me dis que oui
Demain Il fera beau
L’angoisse de la nuit
Apaise en moi
Les cris et les bruits
Que chuchote
Mes voix
La douceur de ta peau
Eloigne un peu tout ça
Tu es là quand il faut
Et ça je l’oublie pas
Les horreurs de mes jours
S’éloignent à petit pas
La guerre, cette horreur
M’a toujours fait peur
La souffrance des autres
Me fait mal
Je m’envole bien Haut
pour trouver de l’eau
Me noyer de lumière
Pour m’éblouir
Et trouver du repos
Pour jouir de mon âme
Qui ne cesse de penser
Que c’est si doux la paix
N’est ce pas mon aimé,
Prends moi dans tes bras
Que tu me noies de caresses
Mon cœur est blessé
Tu vas le soigner
Panser mes blessures
Colmater ma détresse
Mon angoisse et ce stress
De demain.
Morjane
20 Mars 2003
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