Ivre
Jamais l'alcool conçut par les hommes n'a pénétré mon corps
Pourtant des ivresses je connais le goût brutal,
Les chutes dans les brumes épaisses d'une nuit décorée
Du regard déposés sur les chemins obscurs de la rage
Quant je suis ivre des fumées qui anesthésie mon âme
Je connais ce mélange létal, qui brule ces regard déposés sur le chemin
J'ai au creux de mes yeux de vaines espérances basée sur l'inconnu
Celle de l'ivresse que mon corps réclame, lorsque mon "moi"
Veux devenir, les "autres", lorsque les autre aspirent a être "moi"
Je respire les poumons dessiné dans leurs poitrines
Où je lis le désarroi, si cela est vrai pourquoi alors est ce que je cherche
La saveur d'un alcool qui causera ma chute...
Jamais l'alcool conçut pas les hommes ne brulera mes entrailles
Puisque je risque de ne jamais dégriser
Laquelle des ivresse est la plus nocive ?
Celle causer par le vin ?, ou celle causer par la folie ?
Le saoul se réveille le matin bégueule
Et le fou ne se réveillera qu'entre quatre planches
De la terre qui lui bloquera la respiration,
Étouffer par l'obscurité
Il est mort...
Je ne recherchais plus les ivresse fugitives
Je ne connais que trop bien les sales rengaines
Que l'alcool veut me forcer a trainer
La vie et mon enfance...
Je dit "vous" à celui qui me tue
Je tutoie celui qui me dit "vous"
J'ai de la politesse pour le sale, le mauvais
Mes amis trouve dans la boue de mon corps
Une eau pour se laver
De mes peines...
A tous les ivrognes, qui trouvent dans la puanteur de ces mots
Une raison supplémentaire pour se faire éclater la cervelle
A vous mes amis...Que je ne connaitrais jamais,
Je vous hait déjà
Vous me manquez tant
Chaarar,
Jamais l'alcool conçut par les hommes n'a pénétré mon corps
Pourtant des ivresses je connais le goût brutal,
Les chutes dans les brumes épaisses d'une nuit décorée
Du regard déposés sur les chemins obscurs de la rage
Quant je suis ivre des fumées qui anesthésie mon âme
Je connais ce mélange létal, qui brule ces regard déposés sur le chemin
J'ai au creux de mes yeux de vaines espérances basée sur l'inconnu
Celle de l'ivresse que mon corps réclame, lorsque mon "moi"
Veux devenir, les "autres", lorsque les autre aspirent a être "moi"
Je respire les poumons dessiné dans leurs poitrines
Où je lis le désarroi, si cela est vrai pourquoi alors est ce que je cherche
La saveur d'un alcool qui causera ma chute...
Jamais l'alcool conçut pas les hommes ne brulera mes entrailles
Puisque je risque de ne jamais dégriser
Laquelle des ivresse est la plus nocive ?
Celle causer par le vin ?, ou celle causer par la folie ?
Le saoul se réveille le matin bégueule
Et le fou ne se réveillera qu'entre quatre planches
De la terre qui lui bloquera la respiration,
Étouffer par l'obscurité
Il est mort...
Je ne recherchais plus les ivresse fugitives
Je ne connais que trop bien les sales rengaines
Que l'alcool veut me forcer a trainer
La vie et mon enfance...
Je dit "vous" à celui qui me tue
Je tutoie celui qui me dit "vous"
J'ai de la politesse pour le sale, le mauvais
Mes amis trouve dans la boue de mon corps
Une eau pour se laver
De mes peines...
A tous les ivrognes, qui trouvent dans la puanteur de ces mots
Une raison supplémentaire pour se faire éclater la cervelle
A vous mes amis...Que je ne connaitrais jamais,
Je vous hait déjà
Vous me manquez tant
Chaarar,
Commentaire