Qui n’aime pas ne vit pas !
« Quieno no ama, no vive !”
Oh ! vous, qui que vous soyez, jeune ou vieux ;
Si vous n’avez jamais attendu, en regardant les cieux,
Derrière les vitres humides, dans un désespoir, son retour,
En versant toutes vos perles en espérant d’elle un détour.
Si vous n’avez jamais senti la douleur,
De voir le cœur aimé, battre pour d’autres cœurs,
Et vous ! impuissants, sans force, ne pouvant rien faire,
A part, crier, hurler, maudire le sort puis vous taire.
Si jamais vous n’avez le soir sous les tilleuls,
Caché en vous parlant tout bas, quoique tout seul,
Vous dire, ce que personne ne peut entendre,
Ou même pire, des phrases que personne ne peut comprendre.
Si jamais vous n’avez pleuré à force de souffrir,
Crié mille fois son nom du coucher jusqu’à l’aurore,
Et cru qu’elle viendrait, en l’appelant encore,
Et maudire votre sort et désiré mourir.
Si jamais une main, n’a fait trembler la vôtre ;
Si jamais ce seul mot, qu’on dit l’un après l’autre :
« Je t’aime ! » n’a rempli votre âme d’allégresse,
Et vouloir effacer, toutes les douleurs qui t’agressent.
Si jamais vous n’avez senti que d’une femme,
Le regard dans votre âme allumait la flamme,
Il me serait possible de vous dire à travers mes vers :
« Vous n’avez point aimé, vous n’avez point souffert ! »
22 novembre 1997
* Poeme inspiré d'un poeme (qui porte aussi le meme titre) du grand auteur Victor Hugo.
« Quieno no ama, no vive !”
Oh ! vous, qui que vous soyez, jeune ou vieux ;
Si vous n’avez jamais attendu, en regardant les cieux,
Derrière les vitres humides, dans un désespoir, son retour,
En versant toutes vos perles en espérant d’elle un détour.
Si vous n’avez jamais senti la douleur,
De voir le cœur aimé, battre pour d’autres cœurs,
Et vous ! impuissants, sans force, ne pouvant rien faire,
A part, crier, hurler, maudire le sort puis vous taire.
Si jamais vous n’avez le soir sous les tilleuls,
Caché en vous parlant tout bas, quoique tout seul,
Vous dire, ce que personne ne peut entendre,
Ou même pire, des phrases que personne ne peut comprendre.
Si jamais vous n’avez pleuré à force de souffrir,
Crié mille fois son nom du coucher jusqu’à l’aurore,
Et cru qu’elle viendrait, en l’appelant encore,
Et maudire votre sort et désiré mourir.
Si jamais une main, n’a fait trembler la vôtre ;
Si jamais ce seul mot, qu’on dit l’un après l’autre :
« Je t’aime ! » n’a rempli votre âme d’allégresse,
Et vouloir effacer, toutes les douleurs qui t’agressent.
Si jamais vous n’avez senti que d’une femme,
Le regard dans votre âme allumait la flamme,
Il me serait possible de vous dire à travers mes vers :
« Vous n’avez point aimé, vous n’avez point souffert ! »
22 novembre 1997
* Poeme inspiré d'un poeme (qui porte aussi le meme titre) du grand auteur Victor Hugo.
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