La dépêche du chagrin
Malgré tout, elle me dit : « je t’aime
Et elle me dit je t’aime,
Même si je te cherche la moitié du temps
Quand tu oublies mes souffrances l’autre moitié
Quand tu oublies que tu représente pour moi
Plus que ces deux moitiés »
Et elle me dit : « je t’aime,
Je te cherche dans mes souffrances
L’attente d’un signe de ton existence
Un signe d’un espoir qu’à moi tu pense
Un signe pour me dire que tu me désires
D’effervescence
Je te pleure, comme une folle
A longueur de la journée
Sans savoir si toi, tu te rappelles
Je te pleure
Seule dans ma chambre
Sur ma tristesse la porte fermée
Pour caché mes larmes
Et faire croire que je vis le vrai amour
Que jamais mon homme ne m’oublie »
Et elle me dit : « je t’aime
Je suis malade de toi
Je connais ton amour mais je ne sais comment
Le comprendre
L’amour d’un homme qui disparait de la terre
S’enfuit entre les pages d’une histoire
Isolé dans les nuits à penser sans désespoir
Sans cesse
Mais qui, ne voue aucune pensée à sa princesse
Comment comprendre tel amour ?
Malgré tout je t’aime, je sais que tu me vénères
Je sais que sans moi, tu ne peux vivre
Je ne sais seulement, si moi je peux encore
Supporter ton absence et tes manières
Je ne sais comment vivre sans toi
Ou concevoir une maison sans toit
Elle dit qu’elle m’aimera inlassablement
Malgré les larmes
La solitude
La joie des autres
Les recommandations des amis
Qui me demandent de t’oublier
Que tu ne mérites point mon sacrifice
Devant eux,
Moi je te défends, je te justifie
Que mon aimé ne peux faire autrement
Que mon destin ne peut écrire autrement
La vie m’a condamné un jour
Quand j’ai su ton existence
Depuis j’ai compris ta nature
Et j’ai appris ta connaissance
Ton amour
Ta bonté
Tes fortes pensées
Ton respect
Ta différence
Ta haine de toutes les sources du mal
Les impactes de ta loyauté
Dans la mémoire de tes amitiés
J’ai aimé avant de te rencontrer
J’ai adoré les histoires qui révèlent ta notoriété
Mais,
Je n’ai point imaginé être
Celle qui risque bien d’être
La maman de tes enfants
Tu m’as offert ton cœur
Dans un autre langage tu m’as apprit l’amour
Dans un autre âge tu m’as pris en voyage
Une époque où les hommes sont comme des anges
Mais ton amour est si loin
Inaccessible
Si froid comme une chose
Intenable
Je ne ressens plus l’amour dans tes flammes
Je ne sens que la chaleur de mes larmes
Et les douleurs de mes regrets
Mais,
Que pourrai-je regretter dans l’histoire ?
Ton amour
Ton indifférence
Le bonheur qui s’attarde
L’attente
Le temps qui m’apprend à supporter
Le temps qui m’apprend à supplier »
Et elle me dit : « je tiens à toi
Je ne peux vivre sans toi
Ce n’est pas que des paroles
Je t’offre toute une vie
Je te demande contre elle
Pour moi, un peu de ta partie
Pour mes soucis
Pour mes rêves avec toi
Un temps pour sentir les roses du jardin
Marcher au bord de la ravière
Me faire écouter tes promesses
Manger autour d’une table
Garnit de bonnes choses
Un bouquet de fleurs joyeusement cueilli
Des chandelles en rose de toutes les odeurs
Et des nappes en soie avec deux noms
Soigneusement brodé
Le tiens et le mien !
Je veux que tu me cherche dans la foulée
A la sortie de l’école
Entre les vois et les cris des filles
Je veux que tu m’attendes inquiet
Je veux que tu me cherche sans cesse
Que t’exprimes le besoin de ma tendresse
D’être auprès de toi sans cesse
Que tu plis le journal à ma présence
Que je sois ton sujet d’actualité
Que tu me prennes à chaque fois dans tes bras
Comme si je te manque depuis une éternité
Je t’aime, … . »
Fin de la lettre
Malgré tout, elle me dit : « je t’aime
Et elle me dit je t’aime,
Même si je te cherche la moitié du temps
Quand tu oublies mes souffrances l’autre moitié
Quand tu oublies que tu représente pour moi
Plus que ces deux moitiés »
Et elle me dit : « je t’aime,
Je te cherche dans mes souffrances
L’attente d’un signe de ton existence
Un signe d’un espoir qu’à moi tu pense
Un signe pour me dire que tu me désires
D’effervescence
Je te pleure, comme une folle
A longueur de la journée
Sans savoir si toi, tu te rappelles
Je te pleure
Seule dans ma chambre
Sur ma tristesse la porte fermée
Pour caché mes larmes
Et faire croire que je vis le vrai amour
Que jamais mon homme ne m’oublie »
Et elle me dit : « je t’aime
Je suis malade de toi
Je connais ton amour mais je ne sais comment
Le comprendre
L’amour d’un homme qui disparait de la terre
S’enfuit entre les pages d’une histoire
Isolé dans les nuits à penser sans désespoir
Sans cesse
Mais qui, ne voue aucune pensée à sa princesse
Comment comprendre tel amour ?
Malgré tout je t’aime, je sais que tu me vénères
Je sais que sans moi, tu ne peux vivre
Je ne sais seulement, si moi je peux encore
Supporter ton absence et tes manières
Je ne sais comment vivre sans toi
Ou concevoir une maison sans toit
Elle dit qu’elle m’aimera inlassablement
Malgré les larmes
La solitude
La joie des autres
Les recommandations des amis
Qui me demandent de t’oublier
Que tu ne mérites point mon sacrifice
Devant eux,
Moi je te défends, je te justifie
Que mon aimé ne peux faire autrement
Que mon destin ne peut écrire autrement
La vie m’a condamné un jour
Quand j’ai su ton existence
Depuis j’ai compris ta nature
Et j’ai appris ta connaissance
Ton amour
Ta bonté
Tes fortes pensées
Ton respect
Ta différence
Ta haine de toutes les sources du mal
Les impactes de ta loyauté
Dans la mémoire de tes amitiés
J’ai aimé avant de te rencontrer
J’ai adoré les histoires qui révèlent ta notoriété
Mais,
Je n’ai point imaginé être
Celle qui risque bien d’être
La maman de tes enfants
Tu m’as offert ton cœur
Dans un autre langage tu m’as apprit l’amour
Dans un autre âge tu m’as pris en voyage
Une époque où les hommes sont comme des anges
Mais ton amour est si loin
Inaccessible
Si froid comme une chose
Intenable
Je ne ressens plus l’amour dans tes flammes
Je ne sens que la chaleur de mes larmes
Et les douleurs de mes regrets
Mais,
Que pourrai-je regretter dans l’histoire ?
Ton amour
Ton indifférence
Le bonheur qui s’attarde
L’attente
Le temps qui m’apprend à supporter
Le temps qui m’apprend à supplier »
Et elle me dit : « je tiens à toi
Je ne peux vivre sans toi
Ce n’est pas que des paroles
Je t’offre toute une vie
Je te demande contre elle
Pour moi, un peu de ta partie
Pour mes soucis
Pour mes rêves avec toi
Un temps pour sentir les roses du jardin
Marcher au bord de la ravière
Me faire écouter tes promesses
Manger autour d’une table
Garnit de bonnes choses
Un bouquet de fleurs joyeusement cueilli
Des chandelles en rose de toutes les odeurs
Et des nappes en soie avec deux noms
Soigneusement brodé
Le tiens et le mien !
Je veux que tu me cherche dans la foulée
A la sortie de l’école
Entre les vois et les cris des filles
Je veux que tu m’attendes inquiet
Je veux que tu me cherche sans cesse
Que t’exprimes le besoin de ma tendresse
D’être auprès de toi sans cesse
Que tu plis le journal à ma présence
Que je sois ton sujet d’actualité
Que tu me prennes à chaque fois dans tes bras
Comme si je te manque depuis une éternité
Je t’aime, … . »
Fin de la lettre
Commentaire