Bonne lecture....
Plus vraie qu'un aveu, plus douce qu'un poème,
Plus désirée qu'un vœu, plus belle qu'un je t'aime
D'un élan merveilleux, étoiles pour emblème,
La nuit aux rêves radieux devint diadème.
Chants de cigales et des soirs d'été crépitants
Un ton trop heureux, pour des visages trop blêmes...
La solitude étreint ces instants fulgurants
La nuit secrète portait l'écho des blasphèmes
Tout s'en ira
Coucher l'âme vide, toute passion dérobée,
Frémir au son grave de ses pas incertains
Puis par un trop gris brouillard se laisser aller
Par le chant mortel révoquant les lendemains.
Visage pâle et triste d'un espoir fané
De l'image trouble d'un rêve anéanti,
Au souvenir terne d'un désir consumé,
C'est le revers de la nuit...deuil de nos envies
Tout s'en va
Douze heures et douze tours de l'horloge vieillie
Puis tour de mon âme où, souvent, loge l'ennui
La nuit murmurait les paroles du silence
Dès lors le temps et le vent dansaient en cadence.
Ni doute ni peur ne se mêlait à nos jeux
Brisant ce silence j'allumai la radio
Ferré dénonçait l'interminable fléau
Avec le temps, que reste t-il de merveilleux ?
Tout s'en est allé
Rose du printemps éclora tel un poème
Plus désirée qu'un vœu, plus belle qu'un je t'aime
D'un élan merveilleux, étoiles pour emblème,
La nuit aux rêves radieux devint diadème.
Tout revient
Plus vraie qu'un aveu, plus douce qu'un poème,
Plus désirée qu'un vœu, plus belle qu'un je t'aime
D'un élan merveilleux, étoiles pour emblème,
La nuit aux rêves radieux devint diadème.
Chants de cigales et des soirs d'été crépitants
Un ton trop heureux, pour des visages trop blêmes...
La solitude étreint ces instants fulgurants
La nuit secrète portait l'écho des blasphèmes
Tout s'en ira
Coucher l'âme vide, toute passion dérobée,
Frémir au son grave de ses pas incertains
Puis par un trop gris brouillard se laisser aller
Par le chant mortel révoquant les lendemains.
Visage pâle et triste d'un espoir fané
De l'image trouble d'un rêve anéanti,
Au souvenir terne d'un désir consumé,
C'est le revers de la nuit...deuil de nos envies
Tout s'en va
Douze heures et douze tours de l'horloge vieillie
Puis tour de mon âme où, souvent, loge l'ennui
La nuit murmurait les paroles du silence
Dès lors le temps et le vent dansaient en cadence.
Ni doute ni peur ne se mêlait à nos jeux
Brisant ce silence j'allumai la radio
Ferré dénonçait l'interminable fléau
Avec le temps, que reste t-il de merveilleux ?
Tout s'en est allé
Rose du printemps éclora tel un poème
Plus désirée qu'un vœu, plus belle qu'un je t'aime
D'un élan merveilleux, étoiles pour emblème,
La nuit aux rêves radieux devint diadème.
Tout revient
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