J'étais Gavroche sur les barricades
Debout, dressé, arrogant ; j'étais Invincible
Pourtant une balle me frappa
J'allai mourir ; Oh …Oui ! j'allai mourir
Lorsque soudain sur moi se penche
Un visage de femme
D'une étrange beauté
Comme elle me semblait douce
J'étais MORT … peut-être ?
Mais je n'étais plus triste
J'emportai avec moi
Pour l'ETERNITE
Ce regard …
Le regard d'une femme qui m'aimait.
( extrait du recueil ” Fleurs Asiatiques” - collection des Amitiés françaises - Paris - 1995)
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