La princesse du royaume de la muse.
La rue est par de gros nuages, chapotée.
De ceux qui font gronder les orages d’été.
Son air esseulée cache mal sa tristesse,
Et son aire vide est avide de sa princesse.
La muse faisait souvent des détours par la rue
De son royaume, de son fief et aussi de son cru,
Elle offrait souvent des bouquets, des pétales,
Imbibés de parfums et de senteurs orientales.
Il pleut de sa plume des torrents de bonheur
Qui éteignent la tristesse et abreuve le cœur
Et depuis si longtemps qu’elle nous fait rêver,
Son absence subite laisse un goût d’inachevé.
Depuis un moment, ses pas n’ont pas résonné
Sur les pavés de la rue. S’est-elle cloisonnée ?
Même du balcon s’il le faut, pour tes mélomanes
Donne juste un petit signe, chère… Morjane.
La rue est par de gros nuages, chapotée.
De ceux qui font gronder les orages d’été.
Son air esseulée cache mal sa tristesse,
Et son aire vide est avide de sa princesse.
La muse faisait souvent des détours par la rue
De son royaume, de son fief et aussi de son cru,
Elle offrait souvent des bouquets, des pétales,
Imbibés de parfums et de senteurs orientales.
Il pleut de sa plume des torrents de bonheur
Qui éteignent la tristesse et abreuve le cœur
Et depuis si longtemps qu’elle nous fait rêver,
Son absence subite laisse un goût d’inachevé.
Depuis un moment, ses pas n’ont pas résonné
Sur les pavés de la rue. S’est-elle cloisonnée ?
Même du balcon s’il le faut, pour tes mélomanes
Donne juste un petit signe, chère… Morjane.
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