Tu m’as appris

[absente]

Tu m’as appris le sens de chacun pour soi
Tu m’as appris que rien ne compte dans cette vie
Tu m’as appris le sens ‘le silence est d’or’
Rien ne vaut la peine d’en parler
Que rien ne mérite d’être soi même
Tu m’appris que la vraie grande amitié
Ne peut être que cette solitude
Qui t’oppresse à en perdre le souffle
Toi mon cœur, tu me demandais
A quoi sert d’écrire ?
Je ne sais pas, peut être relaté
Ce que je n’arrive pas à exprimer
Ce qui t’étouffe, ce qui te déçoit
Toi,
Ma déception, tu ne la comprendras pas
Ai-je trop demandé ?
Ai-je été trop égoïste ?
Je n’en sais rien aussi
Des moments durs m’ont appris
Que je ne compter que sur moi
Que personne ne peut te lancer une bouée
Pour remonter sur la surface
Rien ne peut cicatriser une plaie
Tu m’as déçue et difficile de l’oublier

[Inata]

on ne peut s'empêcher de pardonner la tendresse du cœur tsu!

c'est triste.

[Harrachi78]

@Tsu

Souvent la vie et les gens sont rudes
Mais patience même dans la solitude
Un tour ça va, un autre en turpitude
Mais soit sans inquiétude
A la fin le Soleil illumine toutes les longitudes ...

[la revanche]

Et puis n'est ce pas le sens de la vie?, nous faire valser au gré de ses envies , tantôt nous éblouir et tantôt nous obscurcir ce qui nous entoure..



je n'ai pas inhalé la rose de peur de transmettre mon virus

[absente]

Merci Scyla !

Pas mal Harrachi !


La revanche, plutôt au gré des vague.

Tu gardes ton rhume.

[Zacmako]

Alors Tsu,
tu sembles bien mélencolique. De l'amertume? un coup de blues?
ça passera; après la pluie, le beau temps...

La ténébreuse nuit, aussi longue soit-elle
Devra tôt ou tard devant le jour, s’éclipser
Disparaître au loin et emporter avec elle
Les douleurs et les souffrances passées.

Lorsque enfin, du bout de l’horizon, le soleil
Lui enlèvera son lugubre et furtif voile noir;
Et fera sortir l’allégresse de son sommeil,
Ce jour là, tu verras, tu finiras par y croire.

Par croire que ta poitrine ainsi que ton cœur
Qui paraissent si petits, si frêles et si fragiles
Sont bien plus amples que tous tes malheurs,
Qui, à tes yeux, paraîtront puérils et bien futiles.

Le bonheur est partout, il suffit juste de le voir,
Dans ton petit enfant et son étreinte si ardente,
Dans cette eau fraîche qu’on s’apprête à boire,
Ou encore auprès de ce rossignol qui chante.

La vie est faite ainsi, d’amertume et de peines
Alors ne désespère pas, même si tu es seule.
Lève ton regard, ne t’isole pas, brise tes chaînes
Bientôt tu enterreras ta peine dans son linceul.

[absente]

Merci Zac ! Ton poème me va droit au cœur.

[warry]

fermer les yeux...ne rien entendre......ad susmer.....

Ihhhh !! le coeur c’est l’un des rares organes que je ne pourrai jamais gérer
douce nuit tsu

[NaZwA]

Ihhhh !! le coeur c’est l’un des rares organes que je ne pourrai jamais gérer

Moi ,non seulement je le gère, parfois, il m'arrive de le menacer d'ettouffement

Tjrs aussi beau tsu

[Harrachi78]

@Poulpou

Il y a aussi el-kebda (le foie), encore plus dure ...

[warry]

poulpou

Il y a aussi el-kebda (le foie), encore plus dure ...

des complices... elle ne marchera pas sans lui....
azul nazwa

[Harrachi78]

@Poulpou

Tu me dira oui, une kebda sans un galb c'est comme des yeux sans la bouche ...

[Tite-fée]

Triste et très beau poème Tsunami

Que je ne compter que sur moi
Que personne ne peut te lancer une bouée
Pour remonter sur la surface
Rien ne peut cicatriser une plaie
Tu m’as déçue et difficile de l’oublier

La partie qui ma le plus touché , je me vois un peu dedans .

[absente]

Merci Warry, Nazwa et Tite-Fée !

[Océane]

On en apprend chaque jour que Dieu Fait

... En fin de compte n'était-ce pas une bonne leçon ?