Je suis toujours à attendre une autre révolution
Avec les hommes de la tribu,
Ou attendre une autre visite des hommes verts
Qui me conduiront dans l’autre chambre, en prison,
Ou j’ai sculpté ton nom, sur tous les coins du mur
On me demandait tant de fois,
De leur dire ou se trouve, le nom de ce complice
Pour le faire venir avec moi dans le supplice
Je leur disais que c’est un nom irréel, d’une veille chanson
Une veille histoire d’un sultan et ses animaux qui parlent
Je leur disais que j’étais le témoin de leur temps
Ils me dirent que je suis un fou d’un autre temps
Je leur disais qu’ils ne peuvent pas tuer ce nom
Il est gravé dans les coins de mon cœur de même
Dans la prison ou dans cette chambre, je reviens le même
Pour écrire ces lettres que je n’envoi jamais
Pour envoyer ces écrits que je ne lis jamais
Avec les hommes de la tribu,
Ou attendre une autre visite des hommes verts
Qui me conduiront dans l’autre chambre, en prison,
Ou j’ai sculpté ton nom, sur tous les coins du mur
On me demandait tant de fois,
De leur dire ou se trouve, le nom de ce complice
Pour le faire venir avec moi dans le supplice
Je leur disais que c’est un nom irréel, d’une veille chanson
Une veille histoire d’un sultan et ses animaux qui parlent
Je leur disais que j’étais le témoin de leur temps
Ils me dirent que je suis un fou d’un autre temps
Je leur disais qu’ils ne peuvent pas tuer ce nom
Il est gravé dans les coins de mon cœur de même
Dans la prison ou dans cette chambre, je reviens le même
Pour écrire ces lettres que je n’envoi jamais
Pour envoyer ces écrits que je ne lis jamais
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