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Marguerite (L'ultime rend-contre)

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  • Marguerite (L'ultime rend-contre)

    Marguerite


    Silence...
    La pièce commence
    Masqué
    Il entre
    L'air funèbre
    Le visage pale
    Souffrant de son voyage abyssal
    Qu'a-t-il vu ?
    Qu'a-t-il rencontré ?
    Marchant ivre
    Ivre de quoi ?
    Certainement pas de joie
    Il soulève la tête
    Et la voit...
    Emoi... émoi
    Pourtant il le croyait mort !
    Pas... encore...
    Profère la voix
    Douce et berceuse
    Mot par mot
    Lettre par lettre
    Lui embrasse la joue
    L'affecte de chaleur
    N'aies pas peur...
    Se faufilent dans son oreille
    L'œil ébloui
    Il voulait savoir qui est-ce
    Oh sylphide
    Parle-moi
    Parle...
    Elle commença à marcher
    Elle cheminait en retrait
    Faut-il la suivre ?
    Lui... qui est ivre
    Se posa la question
    Peu importe la réponse :
    Il était en marche
    Vers l'inconnu
    Une fois de plus
    Le sourire sur les lèvres
    A-t-il un espoir ?
    Se demanda l'audience
    Il continu
    Perdu de vue
    Il s'oubli
    Flâner dans une forêt
    Il prit mille et une laies
    Les arbres dénudés
    Et pourtant c'était un printemps
    Qu'arrive-t-il au temps
    Y'avait plus de fleurs
    Depuis sa mort
    Elle
    couronne blanche
    Le cœur ensoleillé
    Une larme se retire
    Et tombe en martyre
    D'un amour
    Tout court
    Elle apparait
    Puis...
    Disparait
    A quoi joue-t-elle ?
    L'audience encore égaré
    Eu milieu de la scène
    Un rire sarcastique
    Il enlève le masque
    Des brouhahas
    Qui a-t-il ?
    Il et elle
    Ne font qu'un


    === MODERATION ===
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  • #2
    bonjour silence

    très beau, mais j'ai pas compris "Pourtant il le croyait mort !" c'est pas qu'il la croyait morte? car aprés tu parle toujours d'une femme
    Le temps passe
    Et nous n'avons plus le temps de rêvè

    Commentaire


    • #3
      Bonjour Wacila, merci pour ton commentaire. Pour le "il", il n'est pas anaphorique dans le sens que je parle pas de "elle" mais c'est le "il" qui remplace "le cœur". C'est son cœur qu'il croyait mort, et puis elle est aussi ce cœur qu'il croyait mort!

      Commentaire


      • #4
        merci, je comprend mieux
        Le temps passe
        Et nous n'avons plus le temps de rêvè

        Commentaire


        • #5
          très beau poème

          Commentaire


          • #6
            Je vous en prie, merci à vous

            Commentaire


            • #7
              bravo silence...
              c'est ters beau...
              une chose n'a pas de valeur parce qu'elle est chère, mais elle est chère parce qu'elle a une valeur!

              Commentaire

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