Givre sur les vitres de ce chez-nous improvisé
Tu te réveille avant ce soleil, intimidé par toi
Tu m’illumine ; par tes « bonjour » murmurés
Sous ma couette je souris
je te retiens, encore un instant…
Encore un baiser…
Encore une étreinte…
Encore…
Nos draps témoins de nos ébats
Imprégnés de toi, de ton odeur ; de ta présence
La cafetière sur le feu
Tu reviens au creux du lit
Au creux de mes bras
Baiser sur le front ; sur la bouche ; sur le nez
Et des « bonjour » murmurés
Pour un moment ;
Pour une matinée
Pour une vie
Pour l’éternité
Siffle la cafetière
Signale de mon bonheur quotidien.
Matinal ;
Certain ;
Une femme enfant
Dans ton pyjama beaucoup trop large
Ta tasse de lait à la main
Ma tasse de café
Et ton sourire sucré
Ta bouche sent le lait frais
Et mes lèvres exhalent du café
C’est nos matinées
Café-au-lait
Je t’aime…
Moi aussi.
Tu te réveille avant ce soleil, intimidé par toi
Tu m’illumine ; par tes « bonjour » murmurés
Sous ma couette je souris
je te retiens, encore un instant…
Encore un baiser…
Encore une étreinte…
Encore…
Nos draps témoins de nos ébats
Imprégnés de toi, de ton odeur ; de ta présence
La cafetière sur le feu
Tu reviens au creux du lit
Au creux de mes bras
Baiser sur le front ; sur la bouche ; sur le nez
Et des « bonjour » murmurés
Pour un moment ;
Pour une matinée
Pour une vie
Pour l’éternité
Siffle la cafetière
Signale de mon bonheur quotidien.
Matinal ;
Certain ;
Une femme enfant
Dans ton pyjama beaucoup trop large
Ta tasse de lait à la main
Ma tasse de café
Et ton sourire sucré
Ta bouche sent le lait frais
Et mes lèvres exhalent du café
C’est nos matinées
Café-au-lait
Je t’aime…
Moi aussi.
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