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Azul - Bonjour - Salam
Je me baladais tout à l'heure en fredonnant cette magnifique chanson d'Ait Menguellet et me suis dit "pourquoi ne pas la poster ici ?" J'ai même déniché une traduction (en vrac) destinée aux non kabylophones ................ pour qu'ils comprennent
Si je flippe, porte la nouvelle C'est plus fort que moi Ma vie est amère, sans elle Je ne supporte pas
Si je flippe, porte la nouvelle S'il te plaît, ô lettre, dis-lui C'est plus fort que moi Amère est, pour moi, la vie Depuis que je suis loin d'elle Je ne supporte pas
Je me rappelle cette journée Quand j'ai vu des filles passer Mon cœur a tremblé D'elle, je suis très éloigné Dis-lui, ô lettre, s'il te plaît Je suis déprimé Faites le vœu qu'il soit réjoui A son tour, dans cette vie Tels les jeunes comme lui
Jamais je ne pardonnerai Au rêve, un après midi Un somme, je faisais La vie m'a fait miroiter tout ce que j'ai espéré A toi, me ramena Réveillé, tout, elle changea Miel, en benjoin, converti Elle m'avait trahi
Maintenant, les jours sont tordus Les gens de Dieu ont tout vu J'attends la lumière Les nuits, veillant je suis fourbu Acceptant toute la misère Même si deux restant Ô chance, tout le temps, dormant Réveille-toi, montre ton pouvoir Lassé des cauchemars.
Je me baladais tout à l'heure en fredonnant cette magnifique chanson d'Ait Menguellet et me suis dit "pourquoi ne pas la poster ici ?" J'ai même déniché une traduction (en vrac) destinée aux non kabylophones ................ pour qu'ils comprennent
Si je flippe, porte la nouvelle C'est plus fort que moi Ma vie est amère, sans elle Je ne supporte pas
Si je flippe, porte la nouvelle S'il te plaît, ô lettre, dis-lui C'est plus fort que moi Amère est, pour moi, la vie Depuis que je suis loin d'elle Je ne supporte pas
Je me rappelle cette journée Quand j'ai vu des filles passer Mon cœur a tremblé D'elle, je suis très éloigné Dis-lui, ô lettre, s'il te plaît Je suis déprimé Faites le vœu qu'il soit réjoui A son tour, dans cette vie Tels les jeunes comme lui
Jamais je ne pardonnerai Au rêve, un après midi Un somme, je faisais La vie m'a fait miroiter tout ce que j'ai espéré A toi, me ramena Réveillé, tout, elle changea Miel, en benjoin, converti Elle m'avait trahi
Maintenant, les jours sont tordus Les gens de Dieu ont tout vu J'attends la lumière Les nuits, veillant je suis fourbu Acceptant toute la misère Même si deux restant Ô chance, tout le temps, dormant Réveille-toi, montre ton pouvoir Lassé des cauchemars.
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