Le musicien compositeur et arrangeur, Said Bouchelouche est décédé dans la soirée de samedi à Alger, à l’âge de 45 ans, des suites d’une longue maladie, ont annoncé ses proches sur les réseaux sociaux.
Très jeune déjà alors qu’il avait intégré les Scout musulmans algériens, il a commencé à s’intéresser à la musique, et appris tout seul, en autodidacte à jouer au piano, instrument de base à la composition, montrant une grande musicalité et un sens aigu de la mélodie.
Ayant assuré plusieurs arrangements à des génériques de feuilletons et travaillé avec des musiciens de renom, à l’instar de Noubli Fadhel, Said Bouchelouche a vite fait l’unanimité pour devenir durant les années 1990-2000, l’incontournable compositeur des feuilletons télévisés, ainsi que du théâtre et de la nouvelle scène de variétés.
Parmi les travaux à travers lesquels il s’était distingué dans le domaine de la chanson, plusieurs titres réalisés avec entre autres chanteurs, Mohamed Allaoua, Kader japonais, Cheb Khaled, Rachid Kosayla, Djalil Palermo, ses albums, « Tendance 1 et 2 », et récemment une chanson pour enfants célébrant la Journée nationale de l’enfance.
Said Bouchelouche avait également collaboré dans le monde du 4e Art, signant plusieurs bandes son de différentes pièces de théâtre, à l’instar de « Chkoun Yekhdaâ chkoun », spectacle présenté récemment à Constantine, monté par le Théâtre régional de Skikda sur un texte et une mise en scène de Ahmed El Aggoune.
Côté télévision, il s’était notamment distingué avec des musiques génériques qui ont contribué à imprimer la réussite et le succès de plusieurs feuilletons dont, « Errabie el aswad » (2006), « El Imtihane
Es’Saâb » (2007), « Kouloub fi sirae » (2008), pour lequel le défunt a été distingué en 2009 lors de la 6e « Nuit des du Fennecs d’Or », et « Eddikra el Akhira » (2010).
Said Bouchelouche sera inhumé dimanche après midi à Alger, au cimetière de Baba Hassen.
Rédaction d’Algérie-360
Très jeune déjà alors qu’il avait intégré les Scout musulmans algériens, il a commencé à s’intéresser à la musique, et appris tout seul, en autodidacte à jouer au piano, instrument de base à la composition, montrant une grande musicalité et un sens aigu de la mélodie.
Ayant assuré plusieurs arrangements à des génériques de feuilletons et travaillé avec des musiciens de renom, à l’instar de Noubli Fadhel, Said Bouchelouche a vite fait l’unanimité pour devenir durant les années 1990-2000, l’incontournable compositeur des feuilletons télévisés, ainsi que du théâtre et de la nouvelle scène de variétés.
Parmi les travaux à travers lesquels il s’était distingué dans le domaine de la chanson, plusieurs titres réalisés avec entre autres chanteurs, Mohamed Allaoua, Kader japonais, Cheb Khaled, Rachid Kosayla, Djalil Palermo, ses albums, « Tendance 1 et 2 », et récemment une chanson pour enfants célébrant la Journée nationale de l’enfance.
Said Bouchelouche avait également collaboré dans le monde du 4e Art, signant plusieurs bandes son de différentes pièces de théâtre, à l’instar de « Chkoun Yekhdaâ chkoun », spectacle présenté récemment à Constantine, monté par le Théâtre régional de Skikda sur un texte et une mise en scène de Ahmed El Aggoune.
Côté télévision, il s’était notamment distingué avec des musiques génériques qui ont contribué à imprimer la réussite et le succès de plusieurs feuilletons dont, « Errabie el aswad » (2006), « El Imtihane
Es’Saâb » (2007), « Kouloub fi sirae » (2008), pour lequel le défunt a été distingué en 2009 lors de la 6e « Nuit des du Fennecs d’Or », et « Eddikra el Akhira » (2010).
Said Bouchelouche sera inhumé dimanche après midi à Alger, au cimetière de Baba Hassen.
Rédaction d’Algérie-360
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