Annonce

Réduire
Aucune annonce.

Ait menguellet - Hymne a la liberté

Réduire
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • Ait menguellet - Hymne a la liberté

    LLi Faqu, Faqu Bakri... Un cadeau a Capo et son parrain GS.


    Elle n est pas traduite en arabe. Allez sur settings dals video et enclenchez sous-titrage arabic et voila!. elle est transcrite en taqvaylit.
    Bonne ecoute...


    Je suis tombe' dessus lors de mes recherches sur les manif. du 21eme vendredi ... les paroles m ont simplement surpris . Je connaissais la chanson pour l avoir ecoute' avant... mais cette fois ci avec l avenement que nous vivons, ces paroles ont eu l effet d une bombe!... Ait Menguelat avait deja tout dit....bien sur, en bon patriote il a du l entendre de ses aine's et ce depuis l infame Ete 62.


    Vivement une Algerie de DROIT!


    Correction:
    Pas la peine de traduire. Elle a ete deja traduite. Il suffit d aller sur "settings" et d enclencher "sous titrage -arabic" pour lire la traduction en fuss-h'a uchaylallah!

    M.
    Dernière modification par mmis_ttaq-vaylit, 18 août 2019, 21h25.
    Lu-legh-d d'aq-vayli, d-ragh d'aq-vayli, a-d'em-tegh d'aq-vayli.

  • #2
    Le grand sage parla...
    “Si je ne brûle pas, si tu ne brûles pas, si nous ne brûlons pas,
    comment veux-tu que les ténèbres deviennent clarté!”

    Nazim Hikmet

    Commentaire


    • #3
      Les histoires sont là pour nous rappeler qu'il y a plus et autrement que la réalité, ou sinon comment ferions-nous pour changer la réalité ?”

      dz(0000/1111)dz

      Commentaire


      • #4
        Attas s-yennan

        dz(0000/1111)dz

        Commentaire


        • #5
          Katiaret, focus mon ami focus. un poete a la fois. Tout le monde n est pas aussi aguerri que toi pour absorber plusieurs coup de poings a la fois...
          Au compte goutte mon ami, avec les sans dignite' il faut aller doucement....
          (ouvre un autre thread pour notre grand Matoub).
          Je reprends et remets le fleuve en son lit.
          Lu-legh-d d'aq-vayli, d-ragh d'aq-vayli, a-d'em-tegh d'aq-vayli.

          Commentaire


          • #6
            Ait Menguellet - Taqsit ik

            dz(0000/1111)dz

            Commentaire


            • #7
              Aït Menguellet - Ini-d ay Amɣar

              dz(0000/1111)dz

              Commentaire


              • #8
                Tis xamsa

                dz(0000/1111)dz

                Commentaire


                • #9
                  @Katiaret,


                  Mon mentor m a prodigue' le meilleur conseil qui puisse m aider a me faire comprendre par ceux qui lisent mes ecrits:
                  Un (1) paragraph = Une (1) idee


                  Dans notre cas:
                  Un (1) thread = Une (1) chanson.


                  As tu pris la peine de lire et comprendre la chanson Tafat de Ait Menguelat? Elle merite a elle seule tout un thread sinon plus...
                  Il faudra que j aille creer un autre thread et je te prie de rester a l ecart... car on ne semble pas etre sur la meme page.


                  hum...
                  Lu-legh-d d'aq-vayli, d-ragh d'aq-vayli, a-d'em-tegh d'aq-vayli.

                  Commentaire


                  • #10
                    m

                    Mmis Taqbaylit,

                    Tagi ilaq anem3awan fellas pour une traduction en derdja dédiée à nos compatriotes. L'exercice n'est pas du tout facile du fait de la proximité des deux langues.

                    Slimane Benaissa l'a fait pour le texte d'Ammi.

                    Voici un bout à partir de 29' 45''.
                    https://www.youtube.com/watch?v=G8SBwol3eWA
                    "Tout ce que je sais, c'est que je ne sais rien."
                    Socrate.

                    Commentaire


                    • #11
                      Azul a mmis t-familt,


                      heureux de te lire de nouveau... atas aya ur nah-d'ir.
                      On a essaye', ma femme et moi, une petite ebauche pour la traduction en darija pour les 6 premiers vers de l ecran... je pense qu a nous trois on peut peut etre l adapter a la situation presente... ma darija date un peu mais celle de ma femme est relativement plus recente.

                      imagine cette chanson traduite/adapte'e a la facon casa del mouradia... d'afeleq...surtout dans les rues d alger :-) ou Kalytus...

                      Je m absente pour 2 semaines et je ne serai pas sur le net mais des mon retour je tacherai de poster quelque chose... peut etre bien avant la fin du weekend .. tout depend...
                      La chanson est du meme "style" que "aj-tiyi avrid ad'3eddigh" de Ideflawen.


                      Grans salut a toi et que nos espoirs d une Algerie prospere et de droit aboutissent!


                      M.
                      Lu-legh-d d'aq-vayli, d-ragh d'aq-vayli, a-d'em-tegh d'aq-vayli.

                      Commentaire


                      • #12
                        Je suis tombée sur cette vidéo, d ailleurs elle a été mise dans le site officiel de Lounis Ait Menguellet.

                        Je copie ici la description
                        Dans cette vidéo ,« Ad nili », l'extrait du titre « Abrid n temzi », de l’album éponyme, sorti en 1990, est chanté par la chorale de l’Association Culturelle « Mbarek Ait Menguellet » lors de l'hommage rendu à Lounis Aït Menguellet à l'occasion de ses 50 années de carrière par son village Ighil Bwamas.
                        Cette même chorale avait accompagné Lounis sur scène, en 1991, lors des galas organisés pour la collecte des fonds, en vue de la réalisation d’une maison de la culture à Ighil Bwammas.
                        Ce titre, chanté voilà près de 30 ans, est plus que jamais d’actualité.

                        “Si je ne brûle pas, si tu ne brûles pas, si nous ne brûlons pas,
                        comment veux-tu que les ténèbres deviennent clarté!”

                        Nazim Hikmet

                        Commentaire


                        • #13
                          Je copie aussi le poeme écrtit en berbere et traduit en français

                          Tafat mi tt-neẓra //// Nous entrevoyons la lumière
                          Tusam-d a tt-tessensem //// Vous arrivez pour l’obstruer
                          Tiṭ i s i nwala //// Des yeux qui nous assurent la vue
                          Tebγam a tt-tesdreγlem //// Vous désirez nous en priver
                          Ur tezmirem ara //// Vous ne pourrez pas
                          A γ-tekksem tamuγli //// Nous voler notre regard
                          An-nwali, an-nwali, an-nwali //// Nous regarderons, nous observerons, nous verrons////

                          Ma tennam susmet //// Si vous nous sommez de nous taire
                          Isem-nneγ a t-nεeggeḍ //// Nous tonnerons notre nom
                          Ur nqebbel ad yemmet //// Nous n’admettrons qu’il disparaisse
                          S igenni a t-nessiweḍ //// Au firmament, nous l’élèverons
                          S idmaren-nneγ wtet//// Tirez donc sur nos torses
                          Takwmamt ard a tt-nefsi //// Nous nous délivrerons de nos muselières
                          A d-nini, a d-nini, a d-nini //// Nous parlerons, nous dirons, nous nous exprimerons

                          Ma tennam wexxret //// Vous nous ordonnez la retraite ?
                          Γer zdat an-nqerreb //// Vers l’avant, point de recul
                          Ma tennam ḥebset //// Vous voulez nous circonscrire ?
                          Ur nqebbel aẓerreb //// Nous ne permettrons nulle limite
                          Akken ibγu nmerret //// Aussi éprouvant soit-il
                          Abrid ard a t-nelli //// Notre chemin nous l’emprunterons
                          An-nεeddi, an-nεeddi, an-nεeddi //// Nous passerons, nous marcherons, nous avancerons

                          Gezmet taciṭa //// Aux rameaux que vous couperez
                          Aẓar a t-id-neḥyu //// Nous revigorerons les racines
                          Sefḍet kra i d-nenna //// La parole que vous effacerez
                          S yidammen-nneγ a t-naru //// Nous la réécrirons en lettres de sang
                          Mi tneṭlem ass-a //// Enterrez le présent
                          A d-iban yiḍelli //// Le passé ressurgira
                          An-ili, an-ili, an-ili //// Nous serons, nous vivrons, nous existerons

                          Paroles et musique: Lounis Aït Menguellet
                          Traduction -français-: Mohand Arezki Hocine
                          Dernière modification par Hirondelle dz, 14 août 2019, 15h47.
                          “Si je ne brûle pas, si tu ne brûles pas, si nous ne brûlons pas,
                          comment veux-tu que les ténèbres deviennent clarté!”

                          Nazim Hikmet

                          Commentaire


                          • #14
                            tifirelest,

                            aruy im am w-aruy u medyez

                            Commentaire


                            • #15
                              Le texte est simplement splendide. Merci hirondelle pour avoir trouve' le texte en entier.
                              Il ne manque plus que l adaptation en darija...



                              quand je l ecoute, cela me rappelle la casa d el mouradia... bien sur le texte de notre poete est plus riche et plus raffine' mais l objectif demeure le meme: eveiller le peuple!


                              Combien de fois avais je ecoute' ce texte et pourtant j ai vecu 1980 tres jeune, 1988 et 2001 loin mais tres proche des evenements, mais cette chanson ne m a vraiment pas touche' autant que maintenant... peut etre que maintenant ce n est plus une affaire de kabylie... mais plutot de l algerie entiere...ou encore que rien ne peut etre concue de concret et vrai sans se considerer une partie de cette Algerie que nous partageons... Nos aines apres tout se sont battus un peu partout... donc cela ne m etonne pas que maintenant il y a cette lueur d espoir de construire enfin une algerie a l image de ce que nos aines voulaient: une algerie de droit et dont la meritocratie est le seul moyen d avancer.


                              Salutations.


                              M.
                              Lu-legh-d d'aq-vayli, d-ragh d'aq-vayli, a-d'em-tegh d'aq-vayli.

                              Commentaire

                              Chargement...
                              X