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    28e anniversaire de la disparition de Hadj M’Hamed El Anka
    Un hommage à la salle El Mougar
    Organisé sous les auspices de la télévision algérienne, cet hommage a rassemblé les anciens élèves du défunt et les invétérés de la musique châabie. La salle était archicomble pour la circonstance. Un grand portrait du maître faisait face à la scène.

    A droite, un écran plasma est installé où des images défilent pour témoigner de la prestance du maître en concert dans les années soixante. L’émotion était à son paroxysme. Des souvenirs ressurgissent des mémoires. La plupart des « ankaouiyas » sont impatients de s’enivrer de la musique des élèves de Hadj M’hamed El Anka. Le premier à conquérir la scène sera le chanteur Omar Boudjemia lequel enchantera l’assistance par un « istikhbar » suivi de Mi el ghâam et Haramtou Nouâassi. Kamel Ferdjellah prend le relais en exécutant Ya hbabi salou aâla el-nabi suivi de Ya ahle ezzine el fassi. Le quatrième à monter sur scène sera H’cicène Saâdi. Avec talent et aisance, il se lancera dans une rythmique qui laisse deviner des titres fort connus et très chers au regretté El-Anka : Koul min el yatim et Min indahoum bil djawab. Ensuite,ce sera au tour de Abdelkader Chercham d’assurer en exécutant la célèbre qaçida Lalla Zhor suivi de Ya ahle ezzine el-fassi. Le fils du défunt, El-Hadi El Anka, quant à lui, reprendra l’incontournable chanson L’hamam elli waleftou m’cha aâlia. D’une voix éraillée, El-Hadi ajoutera quelques phrases clés dans son texte pour mettre en avant-plan les qualités de son regretté père. Des youyous et des applaudissements retentissent dans la salle. La soirée s’est clôturée par un autre prestigieux élève d’El Anka, à savoir Mehdi Tamache. Dès que ce dernier fait son apparition sur scène, le public est impressionné par la ressemblance frappante avec le phénix. Vêtu d’une kachabia noire, d’un foulard noué autour du cou, d’une chéchia stamboul grenat et d’une paire de lunettes noires à double foyer, Mehdi Temache gratte sur sa guitare. Dès les premières notes, les mordus de châabi mettent le nom sur la chanson. Il s’agit de Soubhane Allah y a l’tif. Un titre qui met en exergue les qualités du créateur. Au bout de deux heures de prestation, les anciens élèves d’El Anka se sont quittés dans l’espoir de se revoir bientôt pour un autre concert de châabi. En aparté, la plupart d’entre eux se sont dit émus par cette soirée. Ils ont vanté les mérites de leur maître qui a su leur inculquer l’amour de cette musique éternelle. Enseignant au conservatoire d’Alger, Omar Boudjemia affirme que cette soirée lui a rappelé les moments merveilleux passés en compagnie du maître. « Pendant toute la durée de cet hommage, j’ai eu l’impression que son âme planait parmi nous. Notre contribution n’est qu’une goutte dans l’océan. Nous essayons nous, ses élèves, de perpétuer le legs qu’il nous a laissé ». A son tour, Abdelkader Cherchem dira : « Nous, ses anciens élèves, sommes le fruit de la graine qu’a semée El Anka. Son travail n’a pas été vain puisque ses œuvres sont demandées par tous les âges ». H’cissène Sâadi, quant à lui, a évoqué la rigueur du travail de son défunt professeur : « Il était modeste et attentionné à la fois. Je suis très ému de lui rendre cet hommage ce soir. Il est difficile de parler de lui aujourd’hui tant ses qualités étaient abondantes. Il nous a laissé comme des orphelins. L’oublier est pratiquement impossible. » Abondant dans le même sens, Mehdi Tamache a tenu à préciser que le « sang » d’El Anka coule dans ses veines. Il est content de constater aujourd’hui que le châabi reprend sa place, celle qu’il n’aurait jamais dû quitter. « Le maître nous a transmis un précieux savoir que nous devons, à notre tour, transmettre à la génération montante. Je suis confiant, la relève est bien assurée. Contrairement à d’autres musiques, le châabi ne se démodera jamais », ajoute-t-il. Au delà de cette soirée hommage, il est nécessaire encore une fois de souligner que le « phénomène » El Anka est bien incrusté dans les mœurs. Il est certain que la musique chaâbie est assurée d’avoir une relève à même de perpétuer ses lettres de noblesse.

    Nassima Chabani

  • #2
    cet hommage a rassemblé les anciens élèves du défunt

    28e anniversaire de la disparition de Hadj M’Hamed El Anka

    cet hommage a rassemblé les anciens élèves du défunt

    Omar Boudjemia
    Kamel Ferdjellah
    H’cicène Saâdi
    Abdelkader Chercham
    Le fils du défunt, El-Hadi El Anka
    Mehdi Tamache

    _suite a c est six merveilleux chanteurs de chaabi que je remercie personnellement.
    Jetais vraiment surpris par le meilleur éléve d’el anka dailleur c etais la star de la soirée vetus d’une tenus traditionnel qui porter son maître cheikh el anka .sans oublier sa voix c est bien el mahdi tamache.
    Et je l aurais classer le premier oui !

    _Pour le fils du maitre je parle d’el hadi el anka j aurais aimer le voir comme son père présenter une de c es chanson ou kasidat el hamdoullilah mabka listiemer fi bladena suivie de la choral par le fils de cheikh boudjemea el ankis (hakim el ankis)et du el hachemi guerrouabi (mustapha guerrouabi)ainsi que le fils de hsen said ( ! ?)et un éleve de amer zaahi ( ! ?)

    Tout en espérant que c ette idée qui me tient dans la téte depuis que jai découvert ou jai assister a des fétes oraganisser par el ankis junior ou guerrouabi junior ainsi que el hadi ou tamache .

    Moi personnellement je trouve cette idée merveilleuse mais qui pourras la faire montée et comment ? .

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    • #3
      c'est vrai que le spectactle etait beau ,mais a mon avis tres cour !! mais en generale c'est un beau hommage realisé par les eleve et le fils du maitre du monument de la base du chaabi "el hadj mhamed el anka" alah yerahmou ,et meme les quacidat choisi etait aproprié totue ont etait chanté interpereté par le maitre aussi magistueuse ,mais y'a toujour un mais j'aurai aimer si kamel bourdib et el koubi etait present sur la scene ,sinon ca serai trop beau pour etre vrai !! mais amar ezzahi etait parmis les spectateur ,c'est l'essentielle

      krimou
      pour ton idée , je trouve quelle est bonne et tres realisable ,mais amar ezzahi pourai tres bien chanté avec la corale mais si ma memoire est bonne amar ezzahi n'etait pas dans la corale d'el anka en tout cas sur la chanson mabkach isti3mar fi bladna y'avais 4 deriere lui "el hachmi guerouabi" elah yerahmou ,boudjemaa el ankis ,hsen said ,et hsissen !!

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      • #4
        oui c est vrais amar d'ailleur j 'attender ton intervention pour cheikna amar ezzahi je suis pas de ton avis qu il sois avec le groupe des quatres lui c est un pro et tu es daccord a mon avis c est un peut different ...mais koi que tu avais raison il etaias pas parmis le groupe de la choral je crois que si jai une bonne memoire c etais med ezerboute celuis qui a ecris chirete layani editer et musique par boudjemea el ankis .
        tu nous parlez de la presence preferer de el koubi et kamel bourdib moi je te dit que le meilleur et sa sois claire dans le domaine de el ankaouia c est bien mahdi tamache meilleur éleve d el anka apret hecen el kaouane ellah yerhmou . lui jaurais preferer moi qu il sois present mais dommage les gents de nos jours ne parle meme pas de lui ....tahe rahe !rabi yerhmou .
        pour te rappellez encors c est le seul eleve qui a chater le repertoire de el anka en kahbyle souvient toi de ca car ca compte parmis chouyoukhes
        entik amar enta tani chikkkkkkkkkhe hahahahaha .

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        • #5
          resalut chiekh !!

          je rigole quand je dis amar ezzahi avec la corale ,bien sur c'est pas tres coherant de maitre un maitre avec des jeune ca va les bouffé !!

          mais sinon je suis dacord avec toi sur mehdi tamach ,c'est un tres grand de la chanson ,il faut juste d'assisté a ces fete c'est un voyage dans le temp tout la soirée !!

          a+++++ chiekh

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