Ce morceau est tiré d'un album que j'affectionne beaucoup non seulement parce que ces l'une des œuvres les plus raffinées et abouties qui puissent exister mais aussi parce qu'il a une grande valeur sentimentale.
Cet opus est un sacerdoce, Enrico Macias est au chant (on parlera de ces postions politiques une autre fois) pour rendre hommage à Cheikh Raymond, précepteur incontesté du malouf Constantinois, maître de nombreuses figures de la musique arabo-andalouse et beau père d'Enrico. Nous devons les chœurs, les cordes et les cuivres à l'orchestre Foundouk dirigé par Taoufik Bestandji dont le nom laisse supposer qu'il est d'origine turc, c'est aussi le petit fils de Abdelkrim Bestandji, un illustre maître du Maalouf.
Cet opus est un sacerdoce, Enrico Macias est au chant (on parlera de ces postions politiques une autre fois) pour rendre hommage à Cheikh Raymond, précepteur incontesté du malouf Constantinois, maître de nombreuses figures de la musique arabo-andalouse et beau père d'Enrico. Nous devons les chœurs, les cordes et les cuivres à l'orchestre Foundouk dirigé par Taoufik Bestandji dont le nom laisse supposer qu'il est d'origine turc, c'est aussi le petit fils de Abdelkrim Bestandji, un illustre maître du Maalouf.
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