Salam
la musique Andalouse algerienne est présente en Algérie, à travers trois importantes écoles : le Ghernati de Tlemcen qui se revendique de Grenade, le Ça'naa d'Alger qui se revendique de Cordoue et le Malouf de Constantine qui se revendique de Séville. Chacune de ces écoles pratiquent cette musique avec certaines nuances. Dans les trois écoles cette pratique est représentée par la nouba, qui correspond à une composition instrumentale et vocale qui se déroule selon un ordre établi et des règles rythmiques et modales bien déterminées. Chaque nouba est construite sur un mode (Tab) précis duquel elle tire son nom.
Les différents mouvements qui la composent et qui vont en s'accélerant, sont les suivants :
Daira : Pièce vocale de rythme libre exécutée à l’unisson strict.
Mestekhber : Prélude instrumental de rythme libre, exécuté à l’unisson.
Touchia : Pièce instrumentale servant d’ouverture, composée sur un rythme binaire ou quaternaire (2/4; 4/4).
Mçedder : Pièce vocale et instrumentale la plus importante de la Nouba, jouée sur un rythme 4/4.
Btayhi : Deuxième pièce vocale et instrumentale, construite sur le même rythme que le Mçedder (4/4 moins lent).
Derdj : Mouvement vocal et instrumental construit sur un rythme binaire, plus accéléré que les deux précédentes pièces.
Touchiat el inçirafate : Pièce instrumentale annonçant une partie accélérée et vive, construite sur un rythme ternaire.
Inçiraf : Mouvement vocal et instrumental à rythme ternaire (5/8).
Khlass : Ultime pièce chantée de la Nouba, il est exécuté sur un rythme alerte et dansant (6/8).
Touchiat el Kamal : c’est une pièce instrumentale construite sur un rythme binaire ou quaternaire.

http://www.dailymotion.com/video/xjnnc_01istikhbar-1
la musique Andalouse algerienne est présente en Algérie, à travers trois importantes écoles : le Ghernati de Tlemcen qui se revendique de Grenade, le Ça'naa d'Alger qui se revendique de Cordoue et le Malouf de Constantine qui se revendique de Séville. Chacune de ces écoles pratiquent cette musique avec certaines nuances. Dans les trois écoles cette pratique est représentée par la nouba, qui correspond à une composition instrumentale et vocale qui se déroule selon un ordre établi et des règles rythmiques et modales bien déterminées. Chaque nouba est construite sur un mode (Tab) précis duquel elle tire son nom.
Les différents mouvements qui la composent et qui vont en s'accélerant, sont les suivants :
Daira : Pièce vocale de rythme libre exécutée à l’unisson strict.
Mestekhber : Prélude instrumental de rythme libre, exécuté à l’unisson.
Touchia : Pièce instrumentale servant d’ouverture, composée sur un rythme binaire ou quaternaire (2/4; 4/4).
Mçedder : Pièce vocale et instrumentale la plus importante de la Nouba, jouée sur un rythme 4/4.
Btayhi : Deuxième pièce vocale et instrumentale, construite sur le même rythme que le Mçedder (4/4 moins lent).
Derdj : Mouvement vocal et instrumental construit sur un rythme binaire, plus accéléré que les deux précédentes pièces.
Touchiat el inçirafate : Pièce instrumentale annonçant une partie accélérée et vive, construite sur un rythme ternaire.
Inçiraf : Mouvement vocal et instrumental à rythme ternaire (5/8).
Khlass : Ultime pièce chantée de la Nouba, il est exécuté sur un rythme alerte et dansant (6/8).
Touchiat el Kamal : c’est une pièce instrumentale construite sur un rythme binaire ou quaternaire.

http://www.dailymotion.com/video/xjnnc_01istikhbar-1
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