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Hamid Zahir est un chanteur et musicien marocain d’Oud considéré comme l’un des meilleurs artistes du monde arabe, à l’instar d’un Abdel Halim Hafez ou d’une Oum Kalthoum.
Il voit le jour à Marrakech au début des années 20,sous le vrai nom de Hamid Ben Tahir. Très jeune, il chante déjà avec des copains et s’applique à l’apprentissage du Oud. Dès 1957, il crée son premier groupe de musique composé de deux chanteuses et de deux percussionnistes « keffaffa » dans le pure style « Dakka marrakchia ».
L’ensemble chante des grands classiques arabes et se produit dans diverses cérémonies de Marrakech, où la renommée de Hamid Ben Tahir prend une ampleur considérable. La décennie suivante sera couronnée de succès pour notre artiste. Le public l’ovationne de plus en plus grâce à des tubes comme « Awin awin », « Rouah li Bgha Yzour » et « Lila a Sidi Aamara ».
A cette époque, le roi Mohammed 5 vient de mourir et Hamid Ben Tahir enregistre une chanson d’hommage intitulée « Marrakech a sidi koulou Fareh lik ». Le titre est un tel succès que l’artiste engage une tournée de 45 dates nationales. Dès les années 70, sa renommée dépasse les frontières marocaines pour s’étendre jusqu’en Tunisie, en Arabie Saoudite et au Koweït, mais aussi au Japon et en Australie.
Malgré cette carrière impressionnante, Hamid Zahir se retire de la chanson dans les années 90, n’offrant que de rares apparitions télévisées et préférant se reposer dans sa demeure de Marrakech. L’inoubliable créateur de chansons phares comme « Lella Fatima » ou « Ach Edak Temchi Lzine » fait désormais partie intégrante des immortels de la chanson arabe.
Il voit le jour à Marrakech au début des années 20,sous le vrai nom de Hamid Ben Tahir. Très jeune, il chante déjà avec des copains et s’applique à l’apprentissage du Oud. Dès 1957, il crée son premier groupe de musique composé de deux chanteuses et de deux percussionnistes « keffaffa » dans le pure style « Dakka marrakchia ».
L’ensemble chante des grands classiques arabes et se produit dans diverses cérémonies de Marrakech, où la renommée de Hamid Ben Tahir prend une ampleur considérable. La décennie suivante sera couronnée de succès pour notre artiste. Le public l’ovationne de plus en plus grâce à des tubes comme « Awin awin », « Rouah li Bgha Yzour » et « Lila a Sidi Aamara ».
A cette époque, le roi Mohammed 5 vient de mourir et Hamid Ben Tahir enregistre une chanson d’hommage intitulée « Marrakech a sidi koulou Fareh lik ». Le titre est un tel succès que l’artiste engage une tournée de 45 dates nationales. Dès les années 70, sa renommée dépasse les frontières marocaines pour s’étendre jusqu’en Tunisie, en Arabie Saoudite et au Koweït, mais aussi au Japon et en Australie.
Malgré cette carrière impressionnante, Hamid Zahir se retire de la chanson dans les années 90, n’offrant que de rares apparitions télévisées et préférant se reposer dans sa demeure de Marrakech. L’inoubliable créateur de chansons phares comme « Lella Fatima » ou « Ach Edak Temchi Lzine » fait désormais partie intégrante des immortels de la chanson arabe.