Bienvenue sur Forum Algérie, la communauté du site algerie-dz.com, votre fenêtre sur l'Algérie et le monde!
Pour avoir un accès total au forum algerie-dz.com, vous devez vous inscrire pour un compte gratuit. En tant que membre du forum, vous pourrez participer aux discussions, communiquer avec les autres membres et rejoindre le Club des Membres.
Si vous rencontrez des difficultés à vous inscrire ou à vous identifier sur Forum Algérie, n'hésitez pas à contacter l'équipe du support algerie-dz.com.
...quelle douceur de l'écouter, je ne connais pas cette chanteuse, belle voix "hnina", ce dont on a besoin pour nous apaiser...
merci h'bibti pour ce partage
..."Le sourire que tu m'envoies, revient vers toi" ...
Épris de la beauté de Layla, je devins esclave
Le cœur en proie à un amour fou errait avec elle
«Ô Layla! Que le salut soit sur toi», lui dis-je et
«Sur tous les nobles qui sont les successeurs»
Accorde Ô mon Dieu une bénédiction sublime
Au flambeau de la nuit, Taha le bienfaiteur...
- al 'Alaoui
(ça me rappelle qu'on ne chante jamais le pauvre Majnoun)
Je ne veux voyager que si le chemin monte
Et je n’aime l’éclair que s’il vient du Yemen
Aimez une Layla et pour morts je vous compte
Même si comme moi vous vivez de chagrin...
Je les entends : « Tu n’as qu’à l’oublier ! »
Et moi je dis : « Je ne veux ni ne puis,
Car son amour à mon cœur est lié
Comme le seau à la corde du puits...
Passant par la maison, la maison de Layla
Je baisse ce mur-ci, cet autre, et celui-là
Est-ce d’aimer les murs que tu perds la raison ?
Non pas les murs mon cœur ; les gens de la maison...
Son amour je le crois m’abandonne à l’errance
Dans un pays perdu, tout seul et dépouillé
Pas un ami pour les dernières confidences
Pour compagnie j’ai ma chamelle et son harnais...
Nous étions à Minâ, au Khayf quelqu’un cria
De mon âme avivant malgré lui les douleurs
Ce cri c’était le nom de Layla sans Layla
Et j’ai cru qu’un oiseau s’envolait de mon cœur...
Je n’irai pas plus loin, Layla : vingt ans c’est trop.
Je t’attendrai ici, pleurant sur ma misère.
Ton amour de mon cœur malade est le bourreau,
Mais contre l’ennemi, s’il est aimé, que faire ?
Je vais où va Layla, et puis elle me laisse.
Telle est la vie : on se rejoint, se désunit.
J’ai, passée à mon cœur, je crois bien, une laisse :
Layla me traîne ainsi partout, et je la suis.
La nuit est mon séjour, mon chemin, et je tremble
Comme le fou dont tout le corps se désassemble...
« La voix de la mer parle à l'âme. Le contact de la mer est sensuel et enlace le corps dans une douce et secrète étreinte. »
un jour de grand apparat, Haroun Ar Rachid se pencha et murmura à l'oreille de Layla:
«je ne comprends pas ce que ce Majnoun trouve en toi...
tu n'es même pas aussi belle que la moins belle de mes concubines.
pas un grain de la beauté de Dhat el Khal
ni une once du charme de Sihr
ni l'élan de ma gazelle Inan
ni même l'ombre de la volupté de Dananis.»
à quoi Zoubeida rétorqua:
«Tais-toi, Ignorant! Tu n'es pas Majnoun!»
Passant par la maison, la maison de Layla
Je baise ce mur-ci, cet autre, et celui-là
Est-ce d’aimer les murs que tu perds la raison ?
Non pas les murs mon cœur ; les gens de la maison...
est-ce ma faute si mon oreille est plus charmée par l'original en arabe ?
Commentaire