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Brahim Tayeb - Levdha
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wawwwwwwwwwwwwwwwwwwwwwwwwww
hram 3lik wellah !!!ayen aka aya melhane nagh !!
suuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuublime !!!
PS/ Faut dire que c'est la voix de sa propre femme qu'on entend là !!!!!(elle est prof de français)
Alors Dani sois sympa poste nous les paroles !!!
Sahit a dadesse nyanni !!
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Quelle agreable decouverte.
C'est la premiere fois que je l'entend alors que j'ai entendu parler de lui !
Tres fort, ce poeme. Wellah qu'il est digne des grand poetes Francophones.
Ah, c'est sa femme qui l'accompagne ! Merci pour l'info, MamSi la vie n'est pas une partie de plaisir, l'alternative est pire.
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bsr Amigo,comment vas tu???????
Ah, c'est sa femme qui l'accompagne ! Merci pour l'info, Mam
Mec en connaiT encore plus sur ce grand poète ,j'espere qu'il nous postera les paroles car elles sont sublimes !!!!!!!
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hram 3lik wellah !!! ayen aka aya melhane nagh !!
suuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuublime !!!
PS/ Faut dire que c'est la voix de sa propre femme qu'on entend là !!!!!(elle est prof de français )
L'essentiel que tu aimes bcp, merci de passer par la
Alors Dani sois sympa poste nous les paroles !!!
Sahit a dadesse nyanni !!
Ils s'aiment dans les tréfonds de l'absence, se murmurent toutes les notes du silence, voyagent d'exil en exil, traversent les horloges et s'éternisent dans les brèves fractions temporelles...
Je repose sur l'étendue de ton regard ;
Ton regard contient mon ombre et ses cendres ...
A l'approche de ta flamme je deviens comète et dans notre nuit séculaire je prie pour l'extinction universelle ...
Comme tu me ressembles, tes sables mouvants et mes désires ;
Ta vague rebrousse son chemin quand (comme) mes paupières rebroussent un regard,
L'hiver mélodieux danse au gré de mes funérailles ;
Chant de tous mes silences...
Je suis là-bas, justement là-bas là où le regard se passe de la vue...
Je te pressens à chaque mouvement de l'univers,
A chaque voyage des dunes, tu dénudes les printemps et t'habilles de leurs verdures...
Je devine ta main cueillant la braise de mon arbre incinéré pour un baiser vermeil en fond de nos flammes...
Je me pressens dans une poésie qui naitra à terme...
Nous deux et puis rien,
Soubresaut au coma et nous écumons l'univers de nos sueurs lactescentes, nos baiser à l'hydromel et luminosité bleue passant outre et murmurant notre longue nuit épileptique...
Et je renais de ton étreinte,
Dépourvue de mon corps évanoui dans une multitude d'ivresses....
Le printemps pourrait alors se réécrire entre les lignes hivernales ou sur la marge estivale, et l'automne pourrait assassiner autant de feuilles qu'il voudra...
Nous prendrons le train funambule et le temps de rien nous nous envolerons jusqu'aux cimes, nous froisserons des nuages au dessus des verdures déteintes pour que s'essorent les rêves...
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