Le projet de satellite Alsat Nano, conçu en collaboration par l’Agence spatiale algérienne (ASAL) et l’agence spatiale britannique dans le cadre du programme académique CubeSat, avance à grand pas. Le satellite en question a été transféré en septembre, « vers le centre spatial de Satish Dhawan en Inde où sa préparation devrait être finalisée », rapporte aujourd’hui le site spécialisé Satnews.
Le projet algéro-britannique devrait ensuite être intégré au véhicule de lancement de satellites, un lanceur développé par l’agence spatiale indienne dont la mission est de placer des satellites en orbite polaire. Son prochain lancement est prévu pour fin septembre, ajoute la même source.
L’Alsat Nano constitue la première mission CubeSat de l’Algérie. Il rentre dans le cadre d’un mémorandum d’entente de coopération spatiale signé en 2014 entre l’Algérie et le Royaume-Uni, et au travers duquel des scientifiques algériens poursuivent un programme conjoint au centre spatiale de Surrey, dans le sud-est de l’Angleterre.
Ces nouveaux satellites, « low cost » connus sous le nom de CubeSat permettent aux pays dont les moyens sont réduits d’envoyer des projets dans l’espace sans passer par les grandes agences spatiales. Cette technologie a permis à l’Algérie, toujours dans le cadre de projets scientifiques menés avec le Royaume-Uni, de mettre en orbite des satellites destinés à cartographier, gérer les ressources naturelles ou encore prévenir les catastrophes naturelles.
TSA
Par Zahra Rahmouni
Le projet algéro-britannique devrait ensuite être intégré au véhicule de lancement de satellites, un lanceur développé par l’agence spatiale indienne dont la mission est de placer des satellites en orbite polaire. Son prochain lancement est prévu pour fin septembre, ajoute la même source.
L’Alsat Nano constitue la première mission CubeSat de l’Algérie. Il rentre dans le cadre d’un mémorandum d’entente de coopération spatiale signé en 2014 entre l’Algérie et le Royaume-Uni, et au travers duquel des scientifiques algériens poursuivent un programme conjoint au centre spatiale de Surrey, dans le sud-est de l’Angleterre.
Ces nouveaux satellites, « low cost » connus sous le nom de CubeSat permettent aux pays dont les moyens sont réduits d’envoyer des projets dans l’espace sans passer par les grandes agences spatiales. Cette technologie a permis à l’Algérie, toujours dans le cadre de projets scientifiques menés avec le Royaume-Uni, de mettre en orbite des satellites destinés à cartographier, gérer les ressources naturelles ou encore prévenir les catastrophes naturelles.
TSA
Par Zahra Rahmouni
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