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Sexagénaire, la zappette demeure une grande inconnue. Le dépanneur explique comment bien la prendre en main.
"Tu allumes la box avec la grise, puis tu changes d'AV avec la noire, mais fais attention de bien régler le son avec la noire, pas la grise." Michael m'a prêté son appartement bruxellois pour le week-end, les difficultés de télé en bonus. En 2014, alors que les montres disposent de la puissance d'un ordinateur, la zappette, pourtant sexagénaire, demeure toujours aussi difficile à dompter.
Sur la table basse, pas moins de quatre télécommandes, bien alignées, m'observent. Au total, 141 boutons me fixent, flegmatiques, alors que je n'en voudrais qu'un pour allumer l'écran encore noir. Pire, il faut jongler entre l'une et l'autre pour effectuer les bons réglages, tout en évitant la maudite touche qui sera synonyme d'errance dans les abysses des menus et sous-menus.
Après avoir épluché les différents manuels, un constat s'impose : une trentaine de touches suffisent pour utiliser sa télécommande. La plupart des gens n'en utilisent pas la moitié.
Mieux vaut occulter le sibyllin "T.Opt", ou les autres boutons de couleur à l'usage bien spécifique, pour se concentrer sur la touche dénommée "src" (pour "source") ou "input". Ce sésame permet de passer de l'image de sa télé à celle de son lecteur Blu-ray.
Le zappeur peut aussi compter sur les touches "info" pour en savoir plus sur le programme en cours, et "guide" pour accéder d'un coup d'oeil à la programmation des chaînes. Enfin, les fonctions d'enregistrement nécessitent de disposer d'une box compatible ou d'un Blu-ray.
Le dépanneur vous simplifie la tâche en résumant les boutons essentiels et leurs fonctions :
Nouvelobs
"Tu allumes la box avec la grise, puis tu changes d'AV avec la noire, mais fais attention de bien régler le son avec la noire, pas la grise." Michael m'a prêté son appartement bruxellois pour le week-end, les difficultés de télé en bonus. En 2014, alors que les montres disposent de la puissance d'un ordinateur, la zappette, pourtant sexagénaire, demeure toujours aussi difficile à dompter.
Sur la table basse, pas moins de quatre télécommandes, bien alignées, m'observent. Au total, 141 boutons me fixent, flegmatiques, alors que je n'en voudrais qu'un pour allumer l'écran encore noir. Pire, il faut jongler entre l'une et l'autre pour effectuer les bons réglages, tout en évitant la maudite touche qui sera synonyme d'errance dans les abysses des menus et sous-menus.
Après avoir épluché les différents manuels, un constat s'impose : une trentaine de touches suffisent pour utiliser sa télécommande. La plupart des gens n'en utilisent pas la moitié.
Mieux vaut occulter le sibyllin "T.Opt", ou les autres boutons de couleur à l'usage bien spécifique, pour se concentrer sur la touche dénommée "src" (pour "source") ou "input". Ce sésame permet de passer de l'image de sa télé à celle de son lecteur Blu-ray.
Le zappeur peut aussi compter sur les touches "info" pour en savoir plus sur le programme en cours, et "guide" pour accéder d'un coup d'oeil à la programmation des chaînes. Enfin, les fonctions d'enregistrement nécessitent de disposer d'une box compatible ou d'un Blu-ray.
Le dépanneur vous simplifie la tâche en résumant les boutons essentiels et leurs fonctions :
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