Le problème des interférences dans la réception des chaînes de la radio nationale est dû à "l’absence d’une vision stratégique", a indiqué, dimanche à Tipasa, le ministre de la Communication, Hamid Grine.
Lors de l'inspection d’un projet de renforcement de la diffusion radiophonique en grandes ondes, sur les hauteurs de la ville, le ministre a souligné la nécessité "d’adopter une vision stratégique pour mettre un terme à ce problème".
Le projet consiste en une station de 750 kw/2 de grandes ondes qui émet des ondes sur 700 km durant la journée et sur 1.500 km durant la nuit.
Cette station devrait être réceptionnée en septembre prochain. Des projets similaires ont été lancés également à Ouled Fayet (Alger), Nâama, Tindouf, Bechar et In Amenas.
"Il est inconcevable que nous recevons les ondes de chaînes étrangères, dans le Centre du pays, alors que la réception des chaînes nationales et régionales connaît des interférences", a observé M. Grine, en marge d’une visite d’inspection et de travail qu’il a effectuée dans la wilaya et où il a présidé une rencontre des cadres de la radio nationale.
"Le problème de ces interférences réside dans l’absence d’une vision et d’une stratégie à même de l’annihiler et de rendre, par conséquent, la réception des chaînes de la radio algérienne avec une grande qualité de son", a insisté le ministre, dans une déclaration à l’APS, en marge de sa visite de travail.
Exprimant sa désapprobation face à ce problème, il a affirmé que "l’Algérie dispose de tous les moyens et matériels nécessaires pour assurer une diffusion radiophonique conforme à l’image du pays sur les plans africain et mondial".
L’Entreprise de télédiffusion (TDA) est appelée, a-t-il ajouté, à travailler en coordination avec le ministère de tutelle pour régler définitivement ce problème.
Le ministre a, par ailleurs, indiqué que ses services réfléchissent sur l’éventualité de la création "d’un organisme, d’une agence ou d’un espace chargé d’accompagner les prouesses de la diplomatie algérienne et l’image du pays à l’étranger". Cet organisme aura également la charge de mettre en valeur la bonne gouvernance algérienne, ainsi que les différents acquis et les potentialités du pays, a-t-il ajouté.
APS
Lors de l'inspection d’un projet de renforcement de la diffusion radiophonique en grandes ondes, sur les hauteurs de la ville, le ministre a souligné la nécessité "d’adopter une vision stratégique pour mettre un terme à ce problème".
Le projet consiste en une station de 750 kw/2 de grandes ondes qui émet des ondes sur 700 km durant la journée et sur 1.500 km durant la nuit.
Cette station devrait être réceptionnée en septembre prochain. Des projets similaires ont été lancés également à Ouled Fayet (Alger), Nâama, Tindouf, Bechar et In Amenas.
"Il est inconcevable que nous recevons les ondes de chaînes étrangères, dans le Centre du pays, alors que la réception des chaînes nationales et régionales connaît des interférences", a observé M. Grine, en marge d’une visite d’inspection et de travail qu’il a effectuée dans la wilaya et où il a présidé une rencontre des cadres de la radio nationale.
"Le problème de ces interférences réside dans l’absence d’une vision et d’une stratégie à même de l’annihiler et de rendre, par conséquent, la réception des chaînes de la radio algérienne avec une grande qualité de son", a insisté le ministre, dans une déclaration à l’APS, en marge de sa visite de travail.
Exprimant sa désapprobation face à ce problème, il a affirmé que "l’Algérie dispose de tous les moyens et matériels nécessaires pour assurer une diffusion radiophonique conforme à l’image du pays sur les plans africain et mondial".
L’Entreprise de télédiffusion (TDA) est appelée, a-t-il ajouté, à travailler en coordination avec le ministère de tutelle pour régler définitivement ce problème.
Le ministre a, par ailleurs, indiqué que ses services réfléchissent sur l’éventualité de la création "d’un organisme, d’une agence ou d’un espace chargé d’accompagner les prouesses de la diplomatie algérienne et l’image du pays à l’étranger". Cet organisme aura également la charge de mettre en valeur la bonne gouvernance algérienne, ainsi que les différents acquis et les potentialités du pays, a-t-il ajouté.
APS