Le service de renseignement électronique britannique cherche de nouveaux espions avec une première étape de sélection consistant à casser un code.
" Pouvez-vous le casser ? " C'est la question posée par un site Web bien mystérieux qui affiche une sorte de puzzle constitué de paires de caractères alphanumériques. De quoi susciter une certaine curiosité auprès de hackers. L'effet recherché.
Avec ce seul site, il était difficile d'en savoir plus, comptant sur la viralité via les réseaux sociaux pour se faire connaître. Le GCHQ - Government Communications Headquarters - vient de vendre la mèche. C'est en effet le service de renseignement électronique du gouvernement britannique qui est l'instigateur de ce qui s'apparente à une campagne de recrutement de nouveaux espions ou du moins de spécialistes dans le domaine de la cybersécurité.
Le site a été très discrètement mis en ligne au début du mois de novembre. Pour le GCHQ, il s'agit de s'adresser à un public souvent autodidacte qui n'aurait pas été intéressé ou eu l'idée de postuler à ses offres d'emploi de manière plus traditionnelle. Casser le code pour découvrir un mot de passe n'est toutefois pas synonyme d'un emploi à la clé, mais d'un entretien avec une redirection vers les offres d'emploi sur le site du GCHQ.
Le GCHQ veut des hackers éthiques, et pas question - a priori - d'embaucher ceux qui ont trempé dans des affaires illégales de piratage. Un porte-parole du GCHQ a déclaré à l'Associated Press que plus de 50 personnes ont déjà réussi à déchiffrer avec succès le code et 80 % d'entre elles ont formulé une demande d'entretien.
Quant aux plus malins qui " piratent le code illégalement ", il n'y aura pas de recrutement pour eux... Allez comprendre.
Generation NT
" Pouvez-vous le casser ? " C'est la question posée par un site Web bien mystérieux qui affiche une sorte de puzzle constitué de paires de caractères alphanumériques. De quoi susciter une certaine curiosité auprès de hackers. L'effet recherché.
Avec ce seul site, il était difficile d'en savoir plus, comptant sur la viralité via les réseaux sociaux pour se faire connaître. Le GCHQ - Government Communications Headquarters - vient de vendre la mèche. C'est en effet le service de renseignement électronique du gouvernement britannique qui est l'instigateur de ce qui s'apparente à une campagne de recrutement de nouveaux espions ou du moins de spécialistes dans le domaine de la cybersécurité.
Le site a été très discrètement mis en ligne au début du mois de novembre. Pour le GCHQ, il s'agit de s'adresser à un public souvent autodidacte qui n'aurait pas été intéressé ou eu l'idée de postuler à ses offres d'emploi de manière plus traditionnelle. Casser le code pour découvrir un mot de passe n'est toutefois pas synonyme d'un emploi à la clé, mais d'un entretien avec une redirection vers les offres d'emploi sur le site du GCHQ.
Le GCHQ veut des hackers éthiques, et pas question - a priori - d'embaucher ceux qui ont trempé dans des affaires illégales de piratage. Un porte-parole du GCHQ a déclaré à l'Associated Press que plus de 50 personnes ont déjà réussi à déchiffrer avec succès le code et 80 % d'entre elles ont formulé une demande d'entretien.
Quant aux plus malins qui " piratent le code illégalement ", il n'y aura pas de recrutement pour eux... Allez comprendre.
Generation NT
Commentaire