La fête de l’amour ou la Saint-Valentin, occupe les esprits, même des habitants d’une ville réputée être “conservatrice” comme Mostaganem.
La preuve en est dans une frénésie inhabituelle de certains jeunes et moins jeunes qui se sont rués dès la veille du 14 février chez les rares fleuristes que compte la ville pour commander leurs fameux bouquets de roses fraîches de différentes couleurs. Et jusqu’à hier aux premières lueurs du jour, les fleuristes étaient au rendez-vous en ouvrant plutôt qu’à l’accoutumée car “c’est un jour spécial” comme nous l’a consenti le gérant de l’un des plus vieux magasins de vente de fleurs situé au centre-ville, juste derrière l’hôpital public.
Son nouveau patron continue aujourd’hui de bichonner les roses et a développé son activité, en y ajoutant les “accessoires” nécessaires comme le terreau, pour toute bonne main verte qui voudrait s’adonner au jardinage durant ses loisirs.
Malgré la crise et l’érosion inexorable du pouvoir d’achat des ménages, le négoce des fleurs se porte bien, surtout pendant les occasions de mariages et autres Saint-Valentin. Alors, mis à part les déclamations de poèmes amoureux à sa dulcinée, ce sont les fleuristes et autres vendeurs de cadeaux qui sont sortis hier gagnants dans l’affaire.
M. Salah
Liberté
La preuve en est dans une frénésie inhabituelle de certains jeunes et moins jeunes qui se sont rués dès la veille du 14 février chez les rares fleuristes que compte la ville pour commander leurs fameux bouquets de roses fraîches de différentes couleurs. Et jusqu’à hier aux premières lueurs du jour, les fleuristes étaient au rendez-vous en ouvrant plutôt qu’à l’accoutumée car “c’est un jour spécial” comme nous l’a consenti le gérant de l’un des plus vieux magasins de vente de fleurs situé au centre-ville, juste derrière l’hôpital public.
Son nouveau patron continue aujourd’hui de bichonner les roses et a développé son activité, en y ajoutant les “accessoires” nécessaires comme le terreau, pour toute bonne main verte qui voudrait s’adonner au jardinage durant ses loisirs.
Malgré la crise et l’érosion inexorable du pouvoir d’achat des ménages, le négoce des fleurs se porte bien, surtout pendant les occasions de mariages et autres Saint-Valentin. Alors, mis à part les déclamations de poèmes amoureux à sa dulcinée, ce sont les fleuristes et autres vendeurs de cadeaux qui sont sortis hier gagnants dans l’affaire.
M. Salah
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