Annonce

Réduire
Aucune annonce.

Hadith: relation femme & étrangers

Réduire
Cette discussion est fermée.
X
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • Hadith: relation femme & étrangers



    Safiyya bint Huyayy (qu'Allah soit satisfait d'elle) a dit:
    Je rendis visite une nuit a l'Envoyé d'Allah (pbAsl), pendant qu'il était en retraite spirituelle dans la mosquée. Après m'être entretenue avec lui, je me levai pour me retirer; le Prophète se leva également pour me reconduire (Safiyya habitait dans la maison d' 'Usâma ibn Zayd). Deux hommes des 'Ansâr vinrent à passer, qui apercevant le Prophète (pbAsl), pressèrent le pas. L'Envoyé d'Allah (pbAsl) leur dit alors: "Doucement! C'est Safiyya bint Huyayy". "O Envoyé d'Allah! s'écrièrent-ils, que Dieu ne plaise (que nous ayons aucune mauvaise pensée)!". - "Certes, dit le Prophète, le diable s'infiltre chez l'homme comme s'y infiltre le sang; et j'ai craint qu'il ne jetât dans vos cœurs quelques mauvaises pensées -ou quelque chose".

    Numéro du Hadith dans le Sahîh de Muslim [Arabe uniquement]: 4041


    D’après 'Umm Salama (qu'Allah soit satisfait d'elle),
    un efféminé était chez elle alors que l'Envoyé d'Allah (pbAsl) se trouvait à la maison. L'efféminé s'adressa au frère de 'Umm Salama en disant: "O `Abd-Allah ibn 'Abî 'Umayya! Si demain Allah vous accorde la conquête de Taëf, je t'indiquerai Bint Ghaylân, qui quand elle s'avance en montre quatre et huit quand elle s'éloigne". (il s'agit des quatre plis du ventre qu'elle montre en s'avançant et par "et huit quand elle s'éloigne" il faut entendre les extrémités de ces quatre plis qui embrassent les deux côtés du corps au point de se rejoindre). L'Envoyé d'Allah (pbAsl), l'ayant entendu, dit: "Que de tels gens n'entrent plus chez vous".

    Numéro du Hadith dans le Sahîh de Muslim [Arabe uniquement]: 4048


    D’après 'Asmâ' bint 'Abî Bakr (qu'Allah soit satisfait d'elle),
    "Az-Zubayr m'avait épousé, alors qu’il ne possédait sur terre ni biens, ni argent, ni esclave, ni autre chose à l'exception de son cheval. Je donnais à son cheval le fourrage, je lui assurais sa provende et prenais soin de lui. En outre je moulais les grains à son nâdih (chameau de pompage et d'arrosage) pour le nourrir, je puisais l'eau et je raccommodais ses outres. Je pétrissais aussi la farine, mais comme je n'étais pas habile à préparer le pain, des voisines, femmes des 'Ansâr, de bonnes amies, me faisaient le pain. Je transportais sur ma tête les récoltes qui provenaient d'une terre que l'Envoyé d'Allah (pbAsl) avait concédée à Az-zubayr et cette terre était éloignée de ma demeure de deux tiers de parasange. Un jour que je portais le fardeau des récoltes sur la tête, je rencontrais l'Envoyé d'Allah (pbAsl) accompagné d'un certain nombre de ses Compagnons. Le Prophète m'appela, puis fit agenouiller sa monture pour me prendre en croupe. J'éprouvais quelque honte à voyager avec des hommes et je songeais à ta jalousie (de Az-zubayr)". Mais, Az-zubayr, lui répondit: "Par Dieu, il m'eût été moins pénible de te voir en croupe derrière lui, que de porter cette charge sur ta tête". "Je continuai à mener cette existence, ajouta 'Asmâ', jusqu'au jour où 'Abû Bakr (son père), après cette aventure, m'envoya un domestique qui me débarrassa des soins à donner au cheval et il me sembla alors que je venais d'être affranchie".

    Numéro du Hadith dans le Sahîh de Muslim [Arabe uniquement]: 4050


Chargement...
X