Voici un article paru dans Asia-Times sur la relation de la Famille Royale d'Angleterre avec l'islam en particulier celle du prince Charles au dessus duquel planerait le doute d'une conversion secrete.
récente visite de la Reine Elizabeth et du prince Philip en Turquie a été saluée comme un grand succès. La monarque britannique âgée de 82ans a trouvé grâce auprès de la population locale quand elle a décrit la Turquie comme une “démocratie dynamique et de confiance ” tout en prônant des liens étroits entre Ankara et Londres.
[…]
L'un des membres de la famille royale, le fils aîné de la reine, le Prince Charles, est soupçonné d'avoir une relation particulièrement forte avec la Turquie.
En Octobre 1996, le journal London Evening Standard citait le Grand Mufti de Chypre, qui affirmait que le prince s'était converti à l'islam. “Cela s'est produit en Turquie. Oh, oui, il s'est converti ” le grand mufti fut cité ainsi. «Quand vous serez chez vous, vérifiez combien il se rend souvent en Turquie. Vous découvrirez que votre futur roi est un musulman.” Ce fut l'un des différents épisodes liant le Prince Charles à l'Islam mis en évidence par les auteurs Ronni L. Gordon et David M Stillman dans la revue trimestrielle du Moyen-Orient en 1997.
Il y a eu plusieurs allégations de preuves offertes pour soutenir ce mythe de la conversion. De nombreuses fois au cours des trois dernières décennies, Charles a parlé pour soutenir les musulmans et l'Islam. En 1989, lorsque l'ayatollah iranien Khomeiny avait émis une fatwa contre l'écrivain Salman Rushdie, Charles avait réagi à ce décret par une réflexion sur les aspects positifs que l'Islam a à offrir au vide spirituel de la vie de ses compatriotes.
En 1993, s'exprimant à l'Université d'Oxford, il a déclaré, : «Notre jugement sur l'Islam a été gravement déformée en prenant les extrêmes comme la norme. La vérité est, bien sûr, différente et toujours plus complexe. Ma propre compréhension est que les extrêmes, comme les amputations de mains, sont rarement pratiqués. Les principes moraux et l'esprit de la loi islamique, pris directement du Coran, devraient être ceux de l'équité et de la compassion. L'Islam peut nous enseigner aujourd'hui une compréhension de la vie et du monde dont le christianisme s'est appauvri pour l'avoir perdu. “
En Juin 1994 dans un documentaire télévisé, il a déclaré sa préférence pour le titre de “Défenseur des Fois” plutôt que “Défenseur de la Foi”, ce qui a poussé le Premier ministre John Major à faire cette observation: “Il est un peu étrange que le Prince Charles soit le défenseur de confessions dont il n'est pas membre. “
Dans un discours au Centre de Conférence des Affaires étrangères le 13 Décembre 1996, il faisait appel à la pédagogie et la philosophie islamiques pour aider les jeunes Britanniques à développer une vision saine du monde. “Il y a beaucoup d'enseignements que nous pouvons tirer de cette vision du monde islamique à cet égard. Partout dans le monde les gens veulent apprendre l'anglais. Mais en occident, en revanche, nous avons besoin que les musulmans nous enseignent comment apprendre avec nos cœurs, aussi bien qu'avec nos têtes. “
« La culture musulmane, dans sa forme traditionnelle, a réussi à préserver une conception spirituelle globale et complète du monde actuel; chose que nous et nos récentes générations n'avons pas cru utile de faire, en Occident....Il y a une opportunité potentielle à établir de nouveaux et précieux liens entre la civilisation musulmane et l'Occident....Peut-être devrions-nous commencer déjà par recruter plus d'enseignants musulmans dans les établissements d'enseignement britanniques... » (“The Weekly Telegraph” n°282 du 18 Décembre 1996.)
En 1997, le Daily Mail de Londres signalait qu'il avait mis en place un groupe de 12 “sages” (en fait, 11 hommes et une femme) pour le conseiller sur la religion et la culture islamique. Aucun autre organe n'a été créé pour le conseiller sur aucune autre foi.
Il est co-parrain du Centre d'études islamiques à l'Université d'Oxford, un centre construit avec les 33 millions de dollars offert par l'Arabie Saoudite avec l'objectif déclaré d'introduire l'islam dans le cœur du système éducatif britannique.
En 2003, le Prince Charles s'etait rendu en Amérique pour un séjour de 8 jours. Sa mission était de persuader le président George W. Bush et les Américains des mérites de l'Islam. Il a exprimé ses inquiétudes sur l'approche conflictuelle de l'Amérique en direction des pays musulmans et son incapacité à apprécier les atouts de l'Islam. Il pense que les États-Unis se sont montrés intolérants envers cette religion.
Les visites plus récentes du Prince Charles en Turquie datent de 2005 pour le 90e anniversaire du débarquement de Gallipoli et de 2007 avec Camilla, duchesse de Cornouailles, pour un séjour de 4 jours.
Converti ou non, ce qui est bien sûr vivement contestée par les portes-parole de Buckingham Palace, il reste immensément populaire dans tout le Moyen-Orient. Les Saoudiens le considèrent comme un ami sincère du monde musulman. L'Universitaire britannique John Casey, de l'Université de Cambridge, dit que le statut de héros du Prince de Galles dans le monde arabe (pour ses commentaires et actes en faveurs de l'islam) est permanent et qu'”aucune autre personnalité occidentale n'inspire ce type d'admiration.”
By Fazile Zahir.
Source :Asia Times.
récente visite de la Reine Elizabeth et du prince Philip en Turquie a été saluée comme un grand succès. La monarque britannique âgée de 82ans a trouvé grâce auprès de la population locale quand elle a décrit la Turquie comme une “démocratie dynamique et de confiance ” tout en prônant des liens étroits entre Ankara et Londres.
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L'un des membres de la famille royale, le fils aîné de la reine, le Prince Charles, est soupçonné d'avoir une relation particulièrement forte avec la Turquie.
En Octobre 1996, le journal London Evening Standard citait le Grand Mufti de Chypre, qui affirmait que le prince s'était converti à l'islam. “Cela s'est produit en Turquie. Oh, oui, il s'est converti ” le grand mufti fut cité ainsi. «Quand vous serez chez vous, vérifiez combien il se rend souvent en Turquie. Vous découvrirez que votre futur roi est un musulman.” Ce fut l'un des différents épisodes liant le Prince Charles à l'Islam mis en évidence par les auteurs Ronni L. Gordon et David M Stillman dans la revue trimestrielle du Moyen-Orient en 1997.
Il y a eu plusieurs allégations de preuves offertes pour soutenir ce mythe de la conversion. De nombreuses fois au cours des trois dernières décennies, Charles a parlé pour soutenir les musulmans et l'Islam. En 1989, lorsque l'ayatollah iranien Khomeiny avait émis une fatwa contre l'écrivain Salman Rushdie, Charles avait réagi à ce décret par une réflexion sur les aspects positifs que l'Islam a à offrir au vide spirituel de la vie de ses compatriotes.
En 1993, s'exprimant à l'Université d'Oxford, il a déclaré, : «Notre jugement sur l'Islam a été gravement déformée en prenant les extrêmes comme la norme. La vérité est, bien sûr, différente et toujours plus complexe. Ma propre compréhension est que les extrêmes, comme les amputations de mains, sont rarement pratiqués. Les principes moraux et l'esprit de la loi islamique, pris directement du Coran, devraient être ceux de l'équité et de la compassion. L'Islam peut nous enseigner aujourd'hui une compréhension de la vie et du monde dont le christianisme s'est appauvri pour l'avoir perdu. “
En Juin 1994 dans un documentaire télévisé, il a déclaré sa préférence pour le titre de “Défenseur des Fois” plutôt que “Défenseur de la Foi”, ce qui a poussé le Premier ministre John Major à faire cette observation: “Il est un peu étrange que le Prince Charles soit le défenseur de confessions dont il n'est pas membre. “
Dans un discours au Centre de Conférence des Affaires étrangères le 13 Décembre 1996, il faisait appel à la pédagogie et la philosophie islamiques pour aider les jeunes Britanniques à développer une vision saine du monde. “Il y a beaucoup d'enseignements que nous pouvons tirer de cette vision du monde islamique à cet égard. Partout dans le monde les gens veulent apprendre l'anglais. Mais en occident, en revanche, nous avons besoin que les musulmans nous enseignent comment apprendre avec nos cœurs, aussi bien qu'avec nos têtes. “
« La culture musulmane, dans sa forme traditionnelle, a réussi à préserver une conception spirituelle globale et complète du monde actuel; chose que nous et nos récentes générations n'avons pas cru utile de faire, en Occident....Il y a une opportunité potentielle à établir de nouveaux et précieux liens entre la civilisation musulmane et l'Occident....Peut-être devrions-nous commencer déjà par recruter plus d'enseignants musulmans dans les établissements d'enseignement britanniques... » (“The Weekly Telegraph” n°282 du 18 Décembre 1996.)
En 1997, le Daily Mail de Londres signalait qu'il avait mis en place un groupe de 12 “sages” (en fait, 11 hommes et une femme) pour le conseiller sur la religion et la culture islamique. Aucun autre organe n'a été créé pour le conseiller sur aucune autre foi.
Il est co-parrain du Centre d'études islamiques à l'Université d'Oxford, un centre construit avec les 33 millions de dollars offert par l'Arabie Saoudite avec l'objectif déclaré d'introduire l'islam dans le cœur du système éducatif britannique.
En 2003, le Prince Charles s'etait rendu en Amérique pour un séjour de 8 jours. Sa mission était de persuader le président George W. Bush et les Américains des mérites de l'Islam. Il a exprimé ses inquiétudes sur l'approche conflictuelle de l'Amérique en direction des pays musulmans et son incapacité à apprécier les atouts de l'Islam. Il pense que les États-Unis se sont montrés intolérants envers cette religion.
Les visites plus récentes du Prince Charles en Turquie datent de 2005 pour le 90e anniversaire du débarquement de Gallipoli et de 2007 avec Camilla, duchesse de Cornouailles, pour un séjour de 4 jours.
Converti ou non, ce qui est bien sûr vivement contestée par les portes-parole de Buckingham Palace, il reste immensément populaire dans tout le Moyen-Orient. Les Saoudiens le considèrent comme un ami sincère du monde musulman. L'Universitaire britannique John Casey, de l'Université de Cambridge, dit que le statut de héros du Prince de Galles dans le monde arabe (pour ses commentaires et actes en faveurs de l'islam) est permanent et qu'”aucune autre personnalité occidentale n'inspire ce type d'admiration.”
By Fazile Zahir.
Source :Asia Times.
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