C’est parce que sont issues des mariages les générations successives de musulmans que l’Islam nous a enjoint de veiller à bien choisir nos conjoints.
Allah dit dans le Coran, Sourate An Nour, verset 26 :
« Les mauvaises (femmes) aux mauvais (hommes), et les mauvais (hommes) aux mauvaises (femmes). De même, les bonnes (femmes) aux bons (hommes), et les bons (hommes) aux bonnes (femmes)… »
Ce verset dégage une sagesse incroyable pour ceux qui le méditent. Un homme qui souhaiterait épouser une femme vierge et pure de tout péché devrait pouvoir lui proposer l’équivalent et inversement.
Sourate An Nour, verset 32 :
« Mariez les célibataires d'entre vous et aussi les gens de bien parmi vos esclaves hommes et vos esclaves femmes… S'ils sont pauvres, Allah les enrichira de sa générosité et Allah est large et parfaitement sachant »
La seule condition que pose ce verset est que l’homme ou la femme soit croyant et de bonne moralité, qu’il ou elle soit en pleine possession de ses moyens physiques et psychiques. La richesse n’est pas une condition posée, au contraire, Allah a promis de faire largesse aux époux qui se trouvent dans la gêne.
Le Prophète a dit : « On épouse la femme pour quatre raisons: Son argent, sa noblesse, sa beauté et sa foi. Alors conquiert celle qui a la foi, si tu ne veux pas avoir de la terre dans les mains. »
("Si tu ne veux pas avoir de la terre dans les mains": C'est une expression chez les Arabes pour exhorter une personne à faire une action précise).
La foi est la qualité la plus importante car une personne pieuse, qui respectera les prescriptions divines aura une éthique certaine et des valeurs fiables. Un homme pieux saura qu’il a des devoirs et des responsabilités à respecter vis-à-vis de sa femme et la femme pieuse saura qu’elle a également sa part de responsabilités au sein du ménage. Un couple s’unissant pour la vie et ayant une même ligne de conduite a plus de chance de vivre en harmonie que deux personnes n’ayant pas la même appréhension des questions existentielles qui parsèment leur route.
En vue donc de la construction d’une famille équilibrée et solide, l’Islam recommande aux jeunes gens de prendre soin de choisir leur conjoint en fonction de la foi car elle est synonyme de réussite et de félicité.
Sourate An Nour, verset 3 : « Le fornicateur ne se marie qu’avec une fornicatrice ou une faiseuse de dieux. Et quant à la fornicatrice, ne se marie avec elle qu’un fornicateur ou un faiseur de dieux, - ce qui aux croyants est rendu illicite. »
L’imam Ahmad Ibn Hanbal, que la miséricorde d’Allah soit sur lui, a dit que le contrat de mariage entre un homme chaste et une prostituée n’est valable que si celle-ci se repent. De même, il ne faudrait pas marier la femme libre et chaste a un débauché jusqu’à ce qu’il se repentît car Allah a dit : « ce qui aux croyants est rendu illicite. »
Une femme croyante et vertueuse n’a pas le droit d’épouser un non croyant ou un débauché. Si elle le faisait elle s’exposerait à des dangers, pour sa vie comme pour sa foi. Aux côtés d’un homme sans vertu, sa foi s’affaiblirait de jour à jour alors que si elle était avec quelqu’un de pieux elle pourrait avancer et progresser.
L’imam Ibn Kathir a dit : «Allah a interdit la fornication, l’union avec les prostituées, et le mariage des filles chastes avec des hommes débauchés. Malheureusement, ces critères ne sont point respectés dans la plupart des familles. Si l’on rapporte à la famille de la fille sollicitée en mariage que le prétendant à la main de la fille effectue des actes de fornication, les parents de la fille diront : chaque homme a des aventures. Si on leur dit qu’il ne fait pas la prière, ils répondront : il est encore jeune et ignorant. Si on leur dit qu’il boit du vin, ils répondront par : Allah lui pardonnera son vice. Si on leur dit que sa foi est corrompue, peu leur importera. Mais si on leur dit que ses moyens sont limités, ils s’écrieront et le refuseront même s’il est honnête et a une bonne conduite. »
Abu Na’im raconte dans son « Hilia » : Abou Talha demanda Oum Soulaim en mariage avant qu’il n’embrasse 1’Islam ; alors elle lui dit : « C’est vrai, je désire t’épouser, et la demande d’un homme comme toi ne peut être rejetée, mais tu es un mécréant et je suis une musulmane; il ne conviendrait point que je t’épouse. « Qu’as-tu, femme ? » lui demanda-t-il. « Mais je n’ai rien. »
« Ne désires-tu point de l’or et de l’argent? » (Voulant la séduire) « Je ne veux ni or, ni argent, tu es un homme qui adore ce qui n’écoute pas, ne voit pas et cela ne te servira à rien. N’as-tu point honte d’adorer un morceau de bois scié par un Ethiopien ? Ta conversion à l’Islam serait la dot que j’exige. » « Comment puis-je me convertir, ô femme ? » « Adresse-toi au Prophète, qu’Allah le bénisse et le salue. » En effet, il eut recours au Prophète et se convertit à l’Islam ».
L’Islam a permis au fiancé, qui a des intentions honnêtes et qui est à même de fonder un foyer, de regarder la face et les mains de la future épouse.
‘Omar a dit : « Ne donnez pas vos filles en mariage à des hommes laids, elles doivent trouver en eux ce qu’ils recherchent en elles ».
Abou Daoud a rapporté d’après Moughira Ibn Chou’ba qu’il avait demandé une femme en mariage, alors le Prophète lui a demandé : « Est-ce que tu l’a contemplé ? ». Moughira lui a répondu que non. Le Prophète lui dit alors : « Va la contempler, votre mariage sera heureux ». Ce qui veut dire que la bonne entente durera.
[ Nasa’y, Ibn Maja et Tirmidhy ont rapporté ce hadith. Tirmidhy le considère comme bon. ]
Parmi les bienfaits de la vie conjugale, il y a le fait de contempler la femme avant la demande pour connaître sa beauté qui invite le prétendant à se marier avec elle ou sa laideur qui le repousse.
A’mach a dit : « Chaque mariage qui s’accomplit sans contemplation de la fiancée avant la demande se termine par des ennuis ». L’Islam a permis cette contemplation, elle a même incité à le faire afin d’éviter les mauvaises surprises ou les abus.
D’après Jabir Ibn ‘Abdoullah, le Prophète a dit : « Celui parmi vous qui demande une femme en mariage et qui peut regarder en elle ce qui l’invite au mariage, qu’il le fasse ».
Il ne faut cependant pas regarder uniquement les apparences :
Un homme est passé près du Prophète qu’Allah le bénisse et le salue, qui a dit: «Que pensez-vous de cet homme ? » Et les hommes de répondre : « Si cet homme demande la main d’une femme, sa demande devrait être exaucée ; S’il demande une intercession, il devrait être intercédé ; S’il parle, il devrait être écouté.»
Un pauvre musulman est passé, alors le Prophète a dit : « Que pensez-vous de cet homme ? » Si cet homme demande la main d’une femme, répondirent-ils, il doit être refusé ; s’il demande une intercession, il ne devrait pas être intercédé ; S’il parle, il ne devrait pas être écouté ! » Alors le Prophète qu’Allah le bénisse et le salue, dit : «La terre serait meilleure avec ce dernier qu’avec le premier ! » rapporté par Al-Boukhari
Le prétendant au mariage a également le droit de se renseigner par l’intermédiaire de l’entourage de la fille pour connaître ses traits de caractère principaux et savoir si ils sont compatibles ou non.
Autant pour l’attirance physique, nul n’est mieux placé que soi-même pour juger des affinités, autant pour les qualités morales et éthiques, les prétendants au mariage ne peuvent se fier qu’à la description de l’entourage de la jeune fille ou du jeune homme.
L’Islam autorise alors aux prétendants au mariage, de demander aux personnes les plus proches de leurs futurs conjoints de décrire les qualités du jeune homme ou de la jeune femme.
Al Ghazali a dit dans son livre « Al Ihya » : « On ne demande de décrire ses caractères moraux et sa beauté qu’à une personne clairvoyante, honnête, savante en ce qui est visible et invisible, qui n’a pas un penchant vers elle pour ne pas exagérer dans les compliments, qui ne soit pas jalouse d’elle non plus pour ne pas en faire défaut, car la nature humaine penche vers l’exagération en ce qui concerne les principes du mariage et la description des femmes - rares sont celles qui disent la vérité et qui sont honnêtes, la tricherie et la séduction gagnent la plupart du temps – la précaution est alors très importante pour celui qui craint regarder une femme autre que la sienne ».
Les deux prétendants au mariage n’ont en aucun cas le droit de s’isoler tous les deux.
D’après Jabir, le Prophète a dit : « Que celui qui croit en Allah et au jour dernier ne s’isole pas avec une femme sans qu’elle n’ait avec elle un homme qui lui est illicite en tant que mari (mahram ) car le démon les accompagne » hadith rapporté par Ahmad
D’après ‘Amir Ibn Abi Rabi’a, le Messager d’Allah a dit : « Que l’homme ne s’isole pas avec une femme qui lui est licite sans un homme (mahram) car le démon sera la troisième personne »
On comprend à travers ces hadiths qu’il y a un danger (tentation) lorsque l’homme s’isole seul à seul avec la femme. Pour ôter tout doute, toute ambiguïté et toute tentation, l’Islam interdit aux jeunes gens de se rencontrer sans la présence d’un tuteur légal de la jeune femme. Cette mesure vise à éviter la corruption des vertus des femmes ainsi qu’à préserver leur dignité. Aussi il n’est pas obligé que la demande aboutisse à un mariage, cette mesure permet donc d’éviter toute suspicion concernant la moralité de la jeune fille.
Allah dit dans le Coran, Sourate An Nour, verset 26 :
« Les mauvaises (femmes) aux mauvais (hommes), et les mauvais (hommes) aux mauvaises (femmes). De même, les bonnes (femmes) aux bons (hommes), et les bons (hommes) aux bonnes (femmes)… »
Ce verset dégage une sagesse incroyable pour ceux qui le méditent. Un homme qui souhaiterait épouser une femme vierge et pure de tout péché devrait pouvoir lui proposer l’équivalent et inversement.
Sourate An Nour, verset 32 :
« Mariez les célibataires d'entre vous et aussi les gens de bien parmi vos esclaves hommes et vos esclaves femmes… S'ils sont pauvres, Allah les enrichira de sa générosité et Allah est large et parfaitement sachant »
La seule condition que pose ce verset est que l’homme ou la femme soit croyant et de bonne moralité, qu’il ou elle soit en pleine possession de ses moyens physiques et psychiques. La richesse n’est pas une condition posée, au contraire, Allah a promis de faire largesse aux époux qui se trouvent dans la gêne.
Le Prophète a dit : « On épouse la femme pour quatre raisons: Son argent, sa noblesse, sa beauté et sa foi. Alors conquiert celle qui a la foi, si tu ne veux pas avoir de la terre dans les mains. »
("Si tu ne veux pas avoir de la terre dans les mains": C'est une expression chez les Arabes pour exhorter une personne à faire une action précise).
La foi est la qualité la plus importante car une personne pieuse, qui respectera les prescriptions divines aura une éthique certaine et des valeurs fiables. Un homme pieux saura qu’il a des devoirs et des responsabilités à respecter vis-à-vis de sa femme et la femme pieuse saura qu’elle a également sa part de responsabilités au sein du ménage. Un couple s’unissant pour la vie et ayant une même ligne de conduite a plus de chance de vivre en harmonie que deux personnes n’ayant pas la même appréhension des questions existentielles qui parsèment leur route.
En vue donc de la construction d’une famille équilibrée et solide, l’Islam recommande aux jeunes gens de prendre soin de choisir leur conjoint en fonction de la foi car elle est synonyme de réussite et de félicité.
Sourate An Nour, verset 3 : « Le fornicateur ne se marie qu’avec une fornicatrice ou une faiseuse de dieux. Et quant à la fornicatrice, ne se marie avec elle qu’un fornicateur ou un faiseur de dieux, - ce qui aux croyants est rendu illicite. »
L’imam Ahmad Ibn Hanbal, que la miséricorde d’Allah soit sur lui, a dit que le contrat de mariage entre un homme chaste et une prostituée n’est valable que si celle-ci se repent. De même, il ne faudrait pas marier la femme libre et chaste a un débauché jusqu’à ce qu’il se repentît car Allah a dit : « ce qui aux croyants est rendu illicite. »
Une femme croyante et vertueuse n’a pas le droit d’épouser un non croyant ou un débauché. Si elle le faisait elle s’exposerait à des dangers, pour sa vie comme pour sa foi. Aux côtés d’un homme sans vertu, sa foi s’affaiblirait de jour à jour alors que si elle était avec quelqu’un de pieux elle pourrait avancer et progresser.
L’imam Ibn Kathir a dit : «Allah a interdit la fornication, l’union avec les prostituées, et le mariage des filles chastes avec des hommes débauchés. Malheureusement, ces critères ne sont point respectés dans la plupart des familles. Si l’on rapporte à la famille de la fille sollicitée en mariage que le prétendant à la main de la fille effectue des actes de fornication, les parents de la fille diront : chaque homme a des aventures. Si on leur dit qu’il ne fait pas la prière, ils répondront : il est encore jeune et ignorant. Si on leur dit qu’il boit du vin, ils répondront par : Allah lui pardonnera son vice. Si on leur dit que sa foi est corrompue, peu leur importera. Mais si on leur dit que ses moyens sont limités, ils s’écrieront et le refuseront même s’il est honnête et a une bonne conduite. »
Abu Na’im raconte dans son « Hilia » : Abou Talha demanda Oum Soulaim en mariage avant qu’il n’embrasse 1’Islam ; alors elle lui dit : « C’est vrai, je désire t’épouser, et la demande d’un homme comme toi ne peut être rejetée, mais tu es un mécréant et je suis une musulmane; il ne conviendrait point que je t’épouse. « Qu’as-tu, femme ? » lui demanda-t-il. « Mais je n’ai rien. »
« Ne désires-tu point de l’or et de l’argent? » (Voulant la séduire) « Je ne veux ni or, ni argent, tu es un homme qui adore ce qui n’écoute pas, ne voit pas et cela ne te servira à rien. N’as-tu point honte d’adorer un morceau de bois scié par un Ethiopien ? Ta conversion à l’Islam serait la dot que j’exige. » « Comment puis-je me convertir, ô femme ? » « Adresse-toi au Prophète, qu’Allah le bénisse et le salue. » En effet, il eut recours au Prophète et se convertit à l’Islam ».
L’Islam a permis au fiancé, qui a des intentions honnêtes et qui est à même de fonder un foyer, de regarder la face et les mains de la future épouse.
‘Omar a dit : « Ne donnez pas vos filles en mariage à des hommes laids, elles doivent trouver en eux ce qu’ils recherchent en elles ».
Abou Daoud a rapporté d’après Moughira Ibn Chou’ba qu’il avait demandé une femme en mariage, alors le Prophète lui a demandé : « Est-ce que tu l’a contemplé ? ». Moughira lui a répondu que non. Le Prophète lui dit alors : « Va la contempler, votre mariage sera heureux ». Ce qui veut dire que la bonne entente durera.
[ Nasa’y, Ibn Maja et Tirmidhy ont rapporté ce hadith. Tirmidhy le considère comme bon. ]
Parmi les bienfaits de la vie conjugale, il y a le fait de contempler la femme avant la demande pour connaître sa beauté qui invite le prétendant à se marier avec elle ou sa laideur qui le repousse.
A’mach a dit : « Chaque mariage qui s’accomplit sans contemplation de la fiancée avant la demande se termine par des ennuis ». L’Islam a permis cette contemplation, elle a même incité à le faire afin d’éviter les mauvaises surprises ou les abus.
D’après Jabir Ibn ‘Abdoullah, le Prophète a dit : « Celui parmi vous qui demande une femme en mariage et qui peut regarder en elle ce qui l’invite au mariage, qu’il le fasse ».
Il ne faut cependant pas regarder uniquement les apparences :
Un homme est passé près du Prophète qu’Allah le bénisse et le salue, qui a dit: «Que pensez-vous de cet homme ? » Et les hommes de répondre : « Si cet homme demande la main d’une femme, sa demande devrait être exaucée ; S’il demande une intercession, il devrait être intercédé ; S’il parle, il devrait être écouté.»
Un pauvre musulman est passé, alors le Prophète a dit : « Que pensez-vous de cet homme ? » Si cet homme demande la main d’une femme, répondirent-ils, il doit être refusé ; s’il demande une intercession, il ne devrait pas être intercédé ; S’il parle, il ne devrait pas être écouté ! » Alors le Prophète qu’Allah le bénisse et le salue, dit : «La terre serait meilleure avec ce dernier qu’avec le premier ! » rapporté par Al-Boukhari
Le prétendant au mariage a également le droit de se renseigner par l’intermédiaire de l’entourage de la fille pour connaître ses traits de caractère principaux et savoir si ils sont compatibles ou non.
Autant pour l’attirance physique, nul n’est mieux placé que soi-même pour juger des affinités, autant pour les qualités morales et éthiques, les prétendants au mariage ne peuvent se fier qu’à la description de l’entourage de la jeune fille ou du jeune homme.
L’Islam autorise alors aux prétendants au mariage, de demander aux personnes les plus proches de leurs futurs conjoints de décrire les qualités du jeune homme ou de la jeune femme.
Al Ghazali a dit dans son livre « Al Ihya » : « On ne demande de décrire ses caractères moraux et sa beauté qu’à une personne clairvoyante, honnête, savante en ce qui est visible et invisible, qui n’a pas un penchant vers elle pour ne pas exagérer dans les compliments, qui ne soit pas jalouse d’elle non plus pour ne pas en faire défaut, car la nature humaine penche vers l’exagération en ce qui concerne les principes du mariage et la description des femmes - rares sont celles qui disent la vérité et qui sont honnêtes, la tricherie et la séduction gagnent la plupart du temps – la précaution est alors très importante pour celui qui craint regarder une femme autre que la sienne ».
Les deux prétendants au mariage n’ont en aucun cas le droit de s’isoler tous les deux.
D’après Jabir, le Prophète a dit : « Que celui qui croit en Allah et au jour dernier ne s’isole pas avec une femme sans qu’elle n’ait avec elle un homme qui lui est illicite en tant que mari (mahram ) car le démon les accompagne » hadith rapporté par Ahmad
D’après ‘Amir Ibn Abi Rabi’a, le Messager d’Allah a dit : « Que l’homme ne s’isole pas avec une femme qui lui est licite sans un homme (mahram) car le démon sera la troisième personne »
On comprend à travers ces hadiths qu’il y a un danger (tentation) lorsque l’homme s’isole seul à seul avec la femme. Pour ôter tout doute, toute ambiguïté et toute tentation, l’Islam interdit aux jeunes gens de se rencontrer sans la présence d’un tuteur légal de la jeune femme. Cette mesure vise à éviter la corruption des vertus des femmes ainsi qu’à préserver leur dignité. Aussi il n’est pas obligé que la demande aboutisse à un mariage, cette mesure permet donc d’éviter toute suspicion concernant la moralité de la jeune fille.
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