Amr bil Ma’rouf wan Nahyi anil Mounkar avec sagesse!
Salam/Bonjour,
@ALGERIANA, il y a déjà un topic qui traite l'objet de tes deux derniers messages: El Amr bil maârouf wa nahi an al-mounkar!
Voici un trés bon texte (paroles de sage) qui va dans le même sens; c'est un extrait du livre "La vérité Amère" de l'auteur el-Cheikh Mohammed Al-Ghazali:
Je n’appréciai guère sa façon de s’habiller lorsqu’elle entra dans mon bureau. Toutefois, son regard était chargé d’une tristesse et d’un embarras qui appelaient à la compassion. Elle s’assit et commença à m’exposer ses soucis dans l’espoir de trouver une réponse chez moi. Je l’écoutai pendant un bon moment. J’appris que c’était une jeune femme arabe qui avait reçu son éducation en France. Il était également clair qu’elle connaissait à peine l’islam. Je commençai à lui expliquer des choses élémentaires, en écartant les soupçons qu’elle pouvait avoir ; je répondis à ses questions et je réfutai les mensonges que les missionnaires et les orientalistes propagent à l’égard de l’islam. Je n’oubliai pas de faire allusion à la civilisation contemporaine qui use du corps de la femme pour séduire les regards concupiscents, et qui ignore la chasteté, la beauté et la sérénité au sein de l’environnement familial. La jeune femme demanda un second rendez-vous puis s’en alla.
Peu après son départ, un jeune homme, dont l’apparence montrait un attachement religieux, entra brusquement dans mon bureau et me dit violemment : "Comment se fait-il qu’une personne aussi perverse soit reçue en ce lieu ?". "Le médecin reçoit les personnes malades avant les personnes saines. C’est son métier.", lui dis-je.
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Salam/Bonjour,
@ALGERIANA, il y a déjà un topic qui traite l'objet de tes deux derniers messages: El Amr bil maârouf wa nahi an al-mounkar!
Tout d’abord, le " Amr bil Ma’rouf wan Nahyi anil Mounkar " ne se fait pas de n’importe quelle façon. En effet, la condition primordiale pour son efficacité réside dans la sagesse avec laquelle il est fait.
Je n’appréciai guère sa façon de s’habiller lorsqu’elle entra dans mon bureau. Toutefois, son regard était chargé d’une tristesse et d’un embarras qui appelaient à la compassion. Elle s’assit et commença à m’exposer ses soucis dans l’espoir de trouver une réponse chez moi. Je l’écoutai pendant un bon moment. J’appris que c’était une jeune femme arabe qui avait reçu son éducation en France. Il était également clair qu’elle connaissait à peine l’islam. Je commençai à lui expliquer des choses élémentaires, en écartant les soupçons qu’elle pouvait avoir ; je répondis à ses questions et je réfutai les mensonges que les missionnaires et les orientalistes propagent à l’égard de l’islam. Je n’oubliai pas de faire allusion à la civilisation contemporaine qui use du corps de la femme pour séduire les regards concupiscents, et qui ignore la chasteté, la beauté et la sérénité au sein de l’environnement familial. La jeune femme demanda un second rendez-vous puis s’en alla.
Peu après son départ, un jeune homme, dont l’apparence montrait un attachement religieux, entra brusquement dans mon bureau et me dit violemment : "Comment se fait-il qu’une personne aussi perverse soit reçue en ce lieu ?". "Le médecin reçoit les personnes malades avant les personnes saines. C’est son métier.", lui dis-je.
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