Les dernières découvertes de la greffe du cœur dans le Coran ?
« Le cœur n’est pas, tel qu’on le pensait jusqu’à il y a quelques années, une simple pompe de sang. Depuis les premières greffes cardiaques, les médecins ont remarqué de profonds changements dans le comportement de leurs malades. Leur nature psychique, leurs désirs, ce qu'ils aiment, ce qu'ils détestent et même leurs croyances religieuses sont complètement bouleversés. Aucune explication scientifique n'a pu être donnée à ce phénomène.
En examinant les rapports des recherches et les statistiques collectés au cours des dernières années, on remarque que leurs conclusions se retrouvent dans le Coran. Jusque là, les savants du Coran eux même expliquaient les Versets parlant du cœur en leur donnant un sens figuré ou moral au même titre que l'âme et le souffle.
Qu'en est-il au juste maintenant?
Notons d'abord que les médecins soutenaient que le coeur et ses battements sont commandés par le cerveau. Or les chirurgiens qui ont procédé à l'implantation des cœurs étrangers dans les thorax des malades, ont remarqué que le cœur implanté commence immédiatement à battre sans attendre les ordres du cerveau anesthésié. Il bat son rithme pendant toute notre vie et ne s’endort jamais, même lorsque le cerveau dort de tous ses sommeils !
Il est important de noter par ailleurs que le cœur se forme dans le fœtus avant le cerveau et commence à battre dès le 21ème jour de la grossesse. Ceci suggère que le cœur opère indépendamment du cerveau. Certains spécialistes tels que le Dr Schwartz pensent même que c'est le cœur qui dirige le cerveau et que dans chacune de ses cellules un historique de notre vie est enregistré!
Les cellules du cœur seraient donc dotées d'une mémoire !
En fait la science moderne est très en retard dans ce domaine et il n'ya aucune certitude sur la relation cerveau - cœur ni aucune sur les lois qui régissent le sommeil, la mémoire, les sentiments …etc.
Ce que la science a pu établir avec certitude depuis une trentaine d'années, c'est que le cœur et le cerveau communiquent avec harmonie, à travers un réseau nerveux très dense. Ils le font au moyen de signaux électriques et les perturbations de l'un agissent immédiatement sur l'autre.
Le Dr Armour souligne que le cœur est capable de traiter d'une façon particulière les informations lui parvenant de l'organisme tout entier. C'est la raison pour laquelle la greffe d'un cœur se base essentiellement sur la qualité du système nerveux et sa capacité d'adaptation avec l'organisme récepteur.
Observations surprenantes
Au cours de la décennie 90, Le Dr Linda Rask a pu établir une relation directe entre les impulsions électromagnétiques émises par le cœur et celles du cerveau. Elle a pu détecter une influence directe de champ électromagnétique du cœur sur celui du cerveau. A la suite de ces observations le Dr Gary Schwartz et le Dr Linda Russek pensent que le cœur possède une capacité de stockage et de traitement des informations et que la mémoire ne réside pas seulement dans le cerveau mais qu'elle résiderait également dans le cœur et c'est ce dernier qui commanderait leur traitement.
Le Dr Schwartz a participé à l'implantation d'un cœur appartenant à un enfant décédé, dans la poitrine d'un autre enfant. Lorsque l'enfant opéré a recouvert, la maman du défunt l'a pris dans ses bras. Elle dit qu'elle sentait le souffle et les battements du cœur de son fils. Mieux encore, l'enfant greffé a commencé à présenter des troubles du cerveau gauche, la maman du défunt a informé les médecins que son enfant avait commencé à présenter les mêmes troubles avant sa mort. Ceci prouve que le désordre du cerveau du défunt a été transporté par le cœur greffé sur le cerveau auparavant sain, du malade soigné !
Parmi les cas les plus surprenants, la littérature rapporte celui d'une fille qui a reçu un cœur d'une autre. Au lendemain de l'opération, la malade greffée commença à se plaindre de chocs au niveau de la poitrine. Il s'est avéré que la défunte était morte d'un accident de voiture. Les derniers mots qu'elle a prononcés furent : "J'ai mal à la poitrine"!
Un cas similaire parmi des centaines s'est produit avec un garçon qui a reçu le cœur d'une fille morte noyée dans une piscine. Le garçon est devenu un effrayé de l'eau et disait souvent à ses parents: "Ne me jetez pas dans l'eau", même lorsqu'il était à la maison !
Le cœur siège des sentiments
Le 11/08/07 Washington Post publia un article sur Peter Houghton, qui avait reçu un cœur artificiel. Ce cœur consistait en une motopompe qui assurait la circulation du sang dans ses vaisseaux sanguins.
Ce malade a reconnu qu'il était devenu un être sans sentiments. Il disait qu'il avait dans la poitrine un objet dur comme la pierre: "Je ne ressens plus aucun amour même pas pour mes petits enfants. Je ne sais plus me comporter avec eux. On dirait qu'ils ne font plus partie de moi comme auparavant".
Cet homme n'a plus aucun penchant ni pour la vie, ni pour l'argent ni pour les autres plaisirs; il n'a plus d'espoir. Il a perdu jusqu'aux facultés de réfléchir, prévoir, comparer ou comprendre. Il songe souvent à se suicider pour se débarrasser de ce cœur horrible !
Le Professeur Arthur Caplan Directeur du département de l'Ethique Médicale à l'Université de Pennsylvanie, reconnaît que les savants n'ont pas encore percé ce mystère; ils ne se sont pas intéressés aux relations psychologiques et sentimentales des différents organes du corps humain. Ils ont traité ces derniers comme de simples machines. L'Administration Américaine des Soins et du Médicament a reconnu l'échec du cœur artificiel du fait de la dégradation intellectuelle et psychologique des malades; ces derniers sont d'ailleurs tous morts d'une angine de poitrine au cours des mois qui ont suivis l'opération..
La conclusion évidente est que le cœur constitue un véritable magasin des programmes de mémorisation qu'il transmet au cerveau pour traitement.
« Le cœur n’est pas, tel qu’on le pensait jusqu’à il y a quelques années, une simple pompe de sang. Depuis les premières greffes cardiaques, les médecins ont remarqué de profonds changements dans le comportement de leurs malades. Leur nature psychique, leurs désirs, ce qu'ils aiment, ce qu'ils détestent et même leurs croyances religieuses sont complètement bouleversés. Aucune explication scientifique n'a pu être donnée à ce phénomène.
En examinant les rapports des recherches et les statistiques collectés au cours des dernières années, on remarque que leurs conclusions se retrouvent dans le Coran. Jusque là, les savants du Coran eux même expliquaient les Versets parlant du cœur en leur donnant un sens figuré ou moral au même titre que l'âme et le souffle.
Qu'en est-il au juste maintenant?
Notons d'abord que les médecins soutenaient que le coeur et ses battements sont commandés par le cerveau. Or les chirurgiens qui ont procédé à l'implantation des cœurs étrangers dans les thorax des malades, ont remarqué que le cœur implanté commence immédiatement à battre sans attendre les ordres du cerveau anesthésié. Il bat son rithme pendant toute notre vie et ne s’endort jamais, même lorsque le cerveau dort de tous ses sommeils !
Il est important de noter par ailleurs que le cœur se forme dans le fœtus avant le cerveau et commence à battre dès le 21ème jour de la grossesse. Ceci suggère que le cœur opère indépendamment du cerveau. Certains spécialistes tels que le Dr Schwartz pensent même que c'est le cœur qui dirige le cerveau et que dans chacune de ses cellules un historique de notre vie est enregistré!
Les cellules du cœur seraient donc dotées d'une mémoire !
En fait la science moderne est très en retard dans ce domaine et il n'ya aucune certitude sur la relation cerveau - cœur ni aucune sur les lois qui régissent le sommeil, la mémoire, les sentiments …etc.
Ce que la science a pu établir avec certitude depuis une trentaine d'années, c'est que le cœur et le cerveau communiquent avec harmonie, à travers un réseau nerveux très dense. Ils le font au moyen de signaux électriques et les perturbations de l'un agissent immédiatement sur l'autre.
Le Dr Armour souligne que le cœur est capable de traiter d'une façon particulière les informations lui parvenant de l'organisme tout entier. C'est la raison pour laquelle la greffe d'un cœur se base essentiellement sur la qualité du système nerveux et sa capacité d'adaptation avec l'organisme récepteur.
Observations surprenantes
Au cours de la décennie 90, Le Dr Linda Rask a pu établir une relation directe entre les impulsions électromagnétiques émises par le cœur et celles du cerveau. Elle a pu détecter une influence directe de champ électromagnétique du cœur sur celui du cerveau. A la suite de ces observations le Dr Gary Schwartz et le Dr Linda Russek pensent que le cœur possède une capacité de stockage et de traitement des informations et que la mémoire ne réside pas seulement dans le cerveau mais qu'elle résiderait également dans le cœur et c'est ce dernier qui commanderait leur traitement.
Le Dr Schwartz a participé à l'implantation d'un cœur appartenant à un enfant décédé, dans la poitrine d'un autre enfant. Lorsque l'enfant opéré a recouvert, la maman du défunt l'a pris dans ses bras. Elle dit qu'elle sentait le souffle et les battements du cœur de son fils. Mieux encore, l'enfant greffé a commencé à présenter des troubles du cerveau gauche, la maman du défunt a informé les médecins que son enfant avait commencé à présenter les mêmes troubles avant sa mort. Ceci prouve que le désordre du cerveau du défunt a été transporté par le cœur greffé sur le cerveau auparavant sain, du malade soigné !
Parmi les cas les plus surprenants, la littérature rapporte celui d'une fille qui a reçu un cœur d'une autre. Au lendemain de l'opération, la malade greffée commença à se plaindre de chocs au niveau de la poitrine. Il s'est avéré que la défunte était morte d'un accident de voiture. Les derniers mots qu'elle a prononcés furent : "J'ai mal à la poitrine"!
Un cas similaire parmi des centaines s'est produit avec un garçon qui a reçu le cœur d'une fille morte noyée dans une piscine. Le garçon est devenu un effrayé de l'eau et disait souvent à ses parents: "Ne me jetez pas dans l'eau", même lorsqu'il était à la maison !
Le cœur siège des sentiments
Le 11/08/07 Washington Post publia un article sur Peter Houghton, qui avait reçu un cœur artificiel. Ce cœur consistait en une motopompe qui assurait la circulation du sang dans ses vaisseaux sanguins.
Ce malade a reconnu qu'il était devenu un être sans sentiments. Il disait qu'il avait dans la poitrine un objet dur comme la pierre: "Je ne ressens plus aucun amour même pas pour mes petits enfants. Je ne sais plus me comporter avec eux. On dirait qu'ils ne font plus partie de moi comme auparavant".
Cet homme n'a plus aucun penchant ni pour la vie, ni pour l'argent ni pour les autres plaisirs; il n'a plus d'espoir. Il a perdu jusqu'aux facultés de réfléchir, prévoir, comparer ou comprendre. Il songe souvent à se suicider pour se débarrasser de ce cœur horrible !
Le Professeur Arthur Caplan Directeur du département de l'Ethique Médicale à l'Université de Pennsylvanie, reconnaît que les savants n'ont pas encore percé ce mystère; ils ne se sont pas intéressés aux relations psychologiques et sentimentales des différents organes du corps humain. Ils ont traité ces derniers comme de simples machines. L'Administration Américaine des Soins et du Médicament a reconnu l'échec du cœur artificiel du fait de la dégradation intellectuelle et psychologique des malades; ces derniers sont d'ailleurs tous morts d'une angine de poitrine au cours des mois qui ont suivis l'opération..
La conclusion évidente est que le cœur constitue un véritable magasin des programmes de mémorisation qu'il transmet au cerveau pour traitement.
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