La femme : trophée de la piété musulmane.
Ne voulant pas trop m’étendre sur le sujet de la femme, bien que ce soit agréable par ailleurs, je me limiterai à faire seulement part de mon intrigue quant à sa place en tant qu’objet sexuel mis en exergue comme trophée dans notre religion.
Beaucoup de plumes ont volé à ce sujet.
Il me parait curieux dans notre religion, qu’un accent aussi aigue soit mis sur la sexualité du musulman.
Il nous est montré clairement, aussi bien à travers les quelques versets coraniques abondamment cités pour identifier les récompenses attendues et du développement que l’on a fait de l’idée de l’extrême récompense, qu’au sommet de notre piété siège une femme avec de généreux attributs. Attributs tellement accentués, enjolivés qu’ils pourraient constituer le but ultime de notre présence ici-bas.
Si l’on se risquait à faire un rapprochement quelconque avec la structure sociale de l’entité ayant eu le privilège d’enfanter le messager et recevoir le message divin, il nous apparaîtrait alors, que l’abcès de fixation de tous les errements était la femme, elle-même y était considérée dans la période antéislamique comme l’origine de tous les « maux sociaux ».
L’islam qui a restreint, autant que toutes les autres religions monothéistes la liberté de la femme dans ses activités sociales, l’a encensée par ailleurs et l’a affublée de qualités extrêmes dans l’imaginaire commun en la transformant en trophée.
Je ne dis pas par là que l’islam a désavantagée la femme, il a compensé sa minorité décrétée clairement dans l’enchevêtrement des relations sociales, familiales et inter sexuelles par l’idéalisation de « ses services » au point où elle devient la finalité de l’adoration de Dieu.
N’est il pas dit que toutes les frustration sont exploitées à bon escient ? Pourquoi pas celle-là?
:wink:
Ne voulant pas trop m’étendre sur le sujet de la femme, bien que ce soit agréable par ailleurs, je me limiterai à faire seulement part de mon intrigue quant à sa place en tant qu’objet sexuel mis en exergue comme trophée dans notre religion.
Beaucoup de plumes ont volé à ce sujet.
Il me parait curieux dans notre religion, qu’un accent aussi aigue soit mis sur la sexualité du musulman.
Il nous est montré clairement, aussi bien à travers les quelques versets coraniques abondamment cités pour identifier les récompenses attendues et du développement que l’on a fait de l’idée de l’extrême récompense, qu’au sommet de notre piété siège une femme avec de généreux attributs. Attributs tellement accentués, enjolivés qu’ils pourraient constituer le but ultime de notre présence ici-bas.
Si l’on se risquait à faire un rapprochement quelconque avec la structure sociale de l’entité ayant eu le privilège d’enfanter le messager et recevoir le message divin, il nous apparaîtrait alors, que l’abcès de fixation de tous les errements était la femme, elle-même y était considérée dans la période antéislamique comme l’origine de tous les « maux sociaux ».
L’islam qui a restreint, autant que toutes les autres religions monothéistes la liberté de la femme dans ses activités sociales, l’a encensée par ailleurs et l’a affublée de qualités extrêmes dans l’imaginaire commun en la transformant en trophée.
Je ne dis pas par là que l’islam a désavantagée la femme, il a compensé sa minorité décrétée clairement dans l’enchevêtrement des relations sociales, familiales et inter sexuelles par l’idéalisation de « ses services » au point où elle devient la finalité de l’adoration de Dieu.
N’est il pas dit que toutes les frustration sont exploitées à bon escient ? Pourquoi pas celle-là?
:wink:
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