Salam alaykoum,
Peu de monde le sait, mais la salafiya algérienne à coupé les ponts avec l'Arabie Saoudite. Le savant du palais saoudien Al Madkhali à appelé les salafi algériens à ne plus suivre leur sheikh Mohamed Ali Ferkous.
Il fut savoir que Al Madkhali est devenu tellement extrémiste qu'il n' est plus en odeur de sainteté en Arabie Saoudite.
Juste pour information, les salafi dits quietiste, c'est à dire Madkhaliste, ont dépassé DAESH au niveau de l'extrémisme, à tel point que DAESH lui même interdit à ses partisans de suivre les oulémas Madkhalistes tels que Al Hazimi, jugé trop extrémistes selon eux !
Jugez par vous mêmes les raisons officielles de la dispute entre le chef de la salafiya algérienne et le chef suprême des Salafi Al Madkhali:
CONSEIL SÉRIEUX À FERKOUS, JOUMOUA ET AZHAR
Au nom d’Allah le Tout Miséricordieux, le Très Miséricordieux. Toutes les
louanges sont à Allah. Que la prière et les salutations soient sur le Messager
d’Allah, ainsi que sur sa famille, ses compagnons et ceux ayant suivi sa voie.
Ceci dit :
Que les salafis et les doués de raison sachent que j’ai pris connaissance de ces
erreurs imputées à Muhammad Ali Ferkous, AbdulMajid Joumoua et Azhar
Seniqra.
Je leur adresse donc le conseil sérieux de s’en repentir à Allah d’un repentir
sincère, ainsi que d’annoncer aux gens ce repentir.
On compte certes parmi les bénéfices de ce repentir, que ceux ayant été trompés
par ces erreurs en aient connaissance. Ceci renferme un bien abondant pour eux
ainsi que pour ceux ayant été influencés par ces erreurs. Allah aime ceux qui se
repentent et Il aime ceux qui se purifient.
Écrit par Rabi’ Ibn Hadi Omayr Al-Madkhali.
LES CHOSES REPROCHÉES AU GROUPE DE FERKOUS
Au nom d’Allah, le Tout-Miséricordieux, le Très-Miséricordieux. Que la prière
et les salutations soient sur le Messager d’Allah. Ceci dit :
Ceci est une compilation de choses reprochées à cheikh Ferkous et son groupe :
En ce qui concerne Ferkous :
1. Ses éloges envers les têtes des adeptes de l’innovation, de l’égarement et
l’impiété (al-ilhad), tels que son éloge envers Ibn Sina (Avicenne) et envers le
philosophe égaré Ibn Rouchd, le petit-fils (Averroès), le décrivant par
l’éminence et la sagesse ; son éloge envers l’état acharite mou’tazilite et
kharijite des Almohades (al-mouwahiddin), ainsi que son éloge envers les
zaouïas soufies. [Voir l’article de Abdullah Al-Makki « Remarques d’ordre
méthodologiques »]
2. Son éloge envers un prêcheur qoutbi en Algérie, le dénommé Muhammad
Hadj ‘Issa, connu pour son inimitié envers la salafiyya, sa défense de Sayyid
Qoutb, ainsi que son dénigrement à l’encontre de Shaykh Rabi’ à cause de ses
répliques contre Sayyid Qoutb. Il a d’ailleurs écrit à ce sujet avec pour titre :
« Articles en réplique aux Madakhila et au Docteur Rabi’ Al-Madkhali ».
Shaykh a été repris concernant cet éloge à plusieurs reprises mais il n’en est
toujours pas revenu jusqu’à maintenant.
3. Durant cette dissension :
- Il a dénigré Shaykh Rabi’ et l’a décrit comme étant « cerné, qu’il ne connait
que les informations de son entourage, et que les recommandations qu’il fait lui
sont dictées par son entourage. » et il a considéré « les orientations et les
conseils de Shaykh Rabi’ comme des ambiguïtés par le biais desquelles celui qui
s’y cramponne tombera ».
- Il a dénigré Shaykh Rabi’ lorsque ce dernier a mis en garde contre Ibn Hadi. Il
a dit que « la mise en garde de Shaykh résulte d’une mésentente personnelle. »
[Les dénigrements sont propagés de sa voix]
- Il a soutenu Joumoua dans la dissension et dans la mise en garde contre les
mashaykh et étudiants en science salafiyyin. Il a dit à son propos : « qu’il est
dans une situation de lutte (djihad) » [Dans son assise, et sa parole s’est
propagée de manière notoire]
- Il a dédaigné les conseils de Shaykh Rabi’ aux mashaykhs d’Algérie afin qu’ils
s’assoient pour enterrer la dissension, se réconcilier et unir le discours. Il a
qualifié les orientations de Shaykh Rabi’ comme étant « un discours de façade
(un discours trompe-l’œil) », et il a dit : « Dites-lui : toi, assieds-toi avec Al-
Halabi. »
- Lorsque Shaykh Obayd a demandé aux mashaykh d’unifier leur discours, qu’il
a adressé un conseil spécifique à Joumoua et qu’il lui a demandé d’apporter les
preuves, Ferkous a dit : « Nous ne sommes pas des serviteurs (‘abid) de
Obayd ». Il a fait de cela une devise pour lui et son groupe afin de rejeter les
conseils et les orientations des savants.
Peu de monde le sait, mais la salafiya algérienne à coupé les ponts avec l'Arabie Saoudite. Le savant du palais saoudien Al Madkhali à appelé les salafi algériens à ne plus suivre leur sheikh Mohamed Ali Ferkous.
Il fut savoir que Al Madkhali est devenu tellement extrémiste qu'il n' est plus en odeur de sainteté en Arabie Saoudite.
Juste pour information, les salafi dits quietiste, c'est à dire Madkhaliste, ont dépassé DAESH au niveau de l'extrémisme, à tel point que DAESH lui même interdit à ses partisans de suivre les oulémas Madkhalistes tels que Al Hazimi, jugé trop extrémistes selon eux !
Jugez par vous mêmes les raisons officielles de la dispute entre le chef de la salafiya algérienne et le chef suprême des Salafi Al Madkhali:
CONSEIL SÉRIEUX À FERKOUS, JOUMOUA ET AZHAR
Au nom d’Allah le Tout Miséricordieux, le Très Miséricordieux. Toutes les
louanges sont à Allah. Que la prière et les salutations soient sur le Messager
d’Allah, ainsi que sur sa famille, ses compagnons et ceux ayant suivi sa voie.
Ceci dit :
Que les salafis et les doués de raison sachent que j’ai pris connaissance de ces
erreurs imputées à Muhammad Ali Ferkous, AbdulMajid Joumoua et Azhar
Seniqra.
Je leur adresse donc le conseil sérieux de s’en repentir à Allah d’un repentir
sincère, ainsi que d’annoncer aux gens ce repentir.
On compte certes parmi les bénéfices de ce repentir, que ceux ayant été trompés
par ces erreurs en aient connaissance. Ceci renferme un bien abondant pour eux
ainsi que pour ceux ayant été influencés par ces erreurs. Allah aime ceux qui se
repentent et Il aime ceux qui se purifient.
Écrit par Rabi’ Ibn Hadi Omayr Al-Madkhali.
LES CHOSES REPROCHÉES AU GROUPE DE FERKOUS
Au nom d’Allah, le Tout-Miséricordieux, le Très-Miséricordieux. Que la prière
et les salutations soient sur le Messager d’Allah. Ceci dit :
Ceci est une compilation de choses reprochées à cheikh Ferkous et son groupe :
En ce qui concerne Ferkous :
1. Ses éloges envers les têtes des adeptes de l’innovation, de l’égarement et
l’impiété (al-ilhad), tels que son éloge envers Ibn Sina (Avicenne) et envers le
philosophe égaré Ibn Rouchd, le petit-fils (Averroès), le décrivant par
l’éminence et la sagesse ; son éloge envers l’état acharite mou’tazilite et
kharijite des Almohades (al-mouwahiddin), ainsi que son éloge envers les
zaouïas soufies. [Voir l’article de Abdullah Al-Makki « Remarques d’ordre
méthodologiques »]
2. Son éloge envers un prêcheur qoutbi en Algérie, le dénommé Muhammad
Hadj ‘Issa, connu pour son inimitié envers la salafiyya, sa défense de Sayyid
Qoutb, ainsi que son dénigrement à l’encontre de Shaykh Rabi’ à cause de ses
répliques contre Sayyid Qoutb. Il a d’ailleurs écrit à ce sujet avec pour titre :
« Articles en réplique aux Madakhila et au Docteur Rabi’ Al-Madkhali ».
Shaykh a été repris concernant cet éloge à plusieurs reprises mais il n’en est
toujours pas revenu jusqu’à maintenant.
3. Durant cette dissension :
- Il a dénigré Shaykh Rabi’ et l’a décrit comme étant « cerné, qu’il ne connait
que les informations de son entourage, et que les recommandations qu’il fait lui
sont dictées par son entourage. » et il a considéré « les orientations et les
conseils de Shaykh Rabi’ comme des ambiguïtés par le biais desquelles celui qui
s’y cramponne tombera ».
- Il a dénigré Shaykh Rabi’ lorsque ce dernier a mis en garde contre Ibn Hadi. Il
a dit que « la mise en garde de Shaykh résulte d’une mésentente personnelle. »
[Les dénigrements sont propagés de sa voix]
- Il a soutenu Joumoua dans la dissension et dans la mise en garde contre les
mashaykh et étudiants en science salafiyyin. Il a dit à son propos : « qu’il est
dans une situation de lutte (djihad) » [Dans son assise, et sa parole s’est
propagée de manière notoire]
- Il a dédaigné les conseils de Shaykh Rabi’ aux mashaykhs d’Algérie afin qu’ils
s’assoient pour enterrer la dissension, se réconcilier et unir le discours. Il a
qualifié les orientations de Shaykh Rabi’ comme étant « un discours de façade
(un discours trompe-l’œil) », et il a dit : « Dites-lui : toi, assieds-toi avec Al-
Halabi. »
- Lorsque Shaykh Obayd a demandé aux mashaykh d’unifier leur discours, qu’il
a adressé un conseil spécifique à Joumoua et qu’il lui a demandé d’apporter les
preuves, Ferkous a dit : « Nous ne sommes pas des serviteurs (‘abid) de
Obayd ». Il a fait de cela une devise pour lui et son groupe afin de rejeter les
conseils et les orientations des savants.