1-Le bon comportement envers les gens du livre est un devoir قال تعالى ((وَلَا تُجَادِلُوا أَهْلَ الْكِتَابِ إِلَّا بِالَّتِي هِيَ أَحْسَنُ إِلَّا الَّذِينَ ظَلَمُوا مِنْهُمْ ۖ وَقُولُوا آمَنَّا بِالَّذِي أُنزِلَ إِلَيْنَا وَأُنزِلَ إِلَيْكُمْ وَإِلَٰهُنَ
وَإِلَٰهُكُمْ وَاحِدٌ وَنَحْنُ لَهُ مُسْلِمُونَ)) سورة العنكبوت الاية 46
Allah dit dans le Coran : « Ne discutez avec les gens du Livre que de la manière la plus douce » Coran: Sourate 29, verset 46
Durant sa vie à la fois comme chef religieux et comme homme d’Etat, le Prophète Mohammad (que la paix soit sur lui) faisait preuve d'une grande sensibilité et de respect dans ses relations avec « les Peuples du Livre », les Juifs et les Chrétiens. Dans l'esprit de la révélation divine, le Prophète Mohammad interdisait de faire du mal aux non Musulmans et demandait aux Musulmans de bien les traiter. Il dit (paix et salut sur lui) à ce propos :
قال الرسول صلى الله عليه وسلم: « من آذى ذمياً فقد آذاني ومن آذاني كنت خصمة يوم القيامة"
رواه أبو داود بلفظ: ألا من ظلم معاهداً أو انتقصه أو كلفه فوق طاقته أو أخذ منه شيئاً بغير طيب نفسه فأنا خصمه يوم القيامة.
« Celui qui fait du mal à un Juif ou à un Chrétien (Dhimmi)* trouvera en moi son adversaire au Jour du Jugement.» *on reviendra sur cette notion de Dhimmi plus loin
La première chose que le Prophète Mohammad (que la paix soit sur lui) fit après s’être établi à Médine, où il avait été invité comme chef, fut de conclure un traité entre les Musulmans et les gens du Livre (les Juifs et les Chrétiens). D'après ce traité, les Musulmans garantissaient à ceux-ci la liberté de croyance et leur accordaient les mêmes droits et obligations que ceux dont ils jouissaient eux-mêmes.
La « Constitution de Médine » ou « la Charte de Médine » est la constitution du premier Etat islamique dans la ville de Médine qui a mis fin entre autre à près de 100 ans d’affrontements interethniques entre les deux tribus de Aws et les Khazraj au sein de Médine. Les historiens conviennent en outre sur le fait que cette Constitution a établi principalement ce qui suit à Médine par le Prophète de l’islam:
• la paix et la sécurité des communautés, • la liberté religieuse pour toutes les communautés, • l’acceptation de Médine comme un lieu
وَإِلَٰهُكُمْ وَاحِدٌ وَنَحْنُ لَهُ مُسْلِمُونَ)) سورة العنكبوت الاية 46
Allah dit dans le Coran : « Ne discutez avec les gens du Livre que de la manière la plus douce » Coran: Sourate 29, verset 46
Durant sa vie à la fois comme chef religieux et comme homme d’Etat, le Prophète Mohammad (que la paix soit sur lui) faisait preuve d'une grande sensibilité et de respect dans ses relations avec « les Peuples du Livre », les Juifs et les Chrétiens. Dans l'esprit de la révélation divine, le Prophète Mohammad interdisait de faire du mal aux non Musulmans et demandait aux Musulmans de bien les traiter. Il dit (paix et salut sur lui) à ce propos :
قال الرسول صلى الله عليه وسلم: « من آذى ذمياً فقد آذاني ومن آذاني كنت خصمة يوم القيامة"
رواه أبو داود بلفظ: ألا من ظلم معاهداً أو انتقصه أو كلفه فوق طاقته أو أخذ منه شيئاً بغير طيب نفسه فأنا خصمه يوم القيامة.
« Celui qui fait du mal à un Juif ou à un Chrétien (Dhimmi)* trouvera en moi son adversaire au Jour du Jugement.» *on reviendra sur cette notion de Dhimmi plus loin
La première chose que le Prophète Mohammad (que la paix soit sur lui) fit après s’être établi à Médine, où il avait été invité comme chef, fut de conclure un traité entre les Musulmans et les gens du Livre (les Juifs et les Chrétiens). D'après ce traité, les Musulmans garantissaient à ceux-ci la liberté de croyance et leur accordaient les mêmes droits et obligations que ceux dont ils jouissaient eux-mêmes.
La « Constitution de Médine » ou « la Charte de Médine » est la constitution du premier Etat islamique dans la ville de Médine qui a mis fin entre autre à près de 100 ans d’affrontements interethniques entre les deux tribus de Aws et les Khazraj au sein de Médine. Les historiens conviennent en outre sur le fait que cette Constitution a établi principalement ce qui suit à Médine par le Prophète de l’islam:
• la paix et la sécurité des communautés, • la liberté religieuse pour toutes les communautés, • l’acceptation de Médine comme un lieu
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