Islam, meilleur système politique, selon Jean-Jacques Rousseau
Gloire à Toi ! Nous n’avons de savoir que ce que Tu nous a appris. Certes c’est Toi l’Omniscient, le Sage » S.2 V.32
« Mahomet eut des vues très saines, il lia bien son système politique, et tant que la forme de son gouvernement subsista sous les califes ses successeurs, ce gouvernement fut exactement un, et bon en cela. Mais les arabes devenus florissants, lettrés, polis, mous et lâches, furent subjugués par des barbares ;… » Jean-Jacques Rousseau, Du contrat social, Garnier-Flammarion, page 173, Paris, 1966.
Suite à nos propos, sur l’attitude des musulmans tchadiens et tchadiennes, en complicités avec la famille Itno, qui siphonnent sans gêne les ressources de l’Etat, nous réitérons nos propos : sont tous dans l’illégalité morale et institutionnelle. Et, pourtant, les pauvres sont complètement inconscients, malgré les multiples signes de Dieu. Et, ont corrompu cette sublime religion ; d’ailleurs la corruption de l’Islam commença après l’assassinat du calife et législateur, Ali Ibn Abitalib, en 661. Jean-Jacques Rousseau a écrit son essai au XVIII, siècle des lumières, plusieurs années, après le dérapage de l’Etat Islamique, la foi des croyants reste le même, mais le cadre institutionnel et politique traverse des turbulences, dû au non-respect de la profession de foi de l’Islam, par les croyants.
Du contrat social, dans cet essai, Rousseau a imaginé les mécanismes institutionnels, d’un Etat idéal. Son essai est aujourd’hui, la bible du système, de démocratie pluraliste. En conclusion de cet essai, Rousseau fait l’éloge du système politique musulman. Il a certes rêvé la démocratie, à son époque au XVIII siècle ; et a engendré une ingénieuse idée institutionnelle, juridique et politique, la preuve est que, son essai reste ici et maintenant toujours d’actualité. En revanche, il trouva très saine et meilleur, le système politique musulman. Si les musulmans n’ont pas laissé choir leur foi a Dieu, Jean-Jacques Rousseau, serait convertie ! A notre grande surprise, des individus cuistres et hypocrites essai de hausser le système inefficace ; la démocratie occidentale, à la place de notre sublime système politique. Il est moins honnête de croire a Rousseau et de dénigrer l’Islam ; cette religion reste toujours la même, les principes et les règles ne changeront jamais. Les croyants corrompent cette belle et splendide religion ; ce qui amène les occidentaux à se méfier, de notre religion. La faute est à qui ? Nous les musulmans, et cela est une évidence, repentons-nous !
article du Web.
Gloire à Toi ! Nous n’avons de savoir que ce que Tu nous a appris. Certes c’est Toi l’Omniscient, le Sage » S.2 V.32
« Mahomet eut des vues très saines, il lia bien son système politique, et tant que la forme de son gouvernement subsista sous les califes ses successeurs, ce gouvernement fut exactement un, et bon en cela. Mais les arabes devenus florissants, lettrés, polis, mous et lâches, furent subjugués par des barbares ;… » Jean-Jacques Rousseau, Du contrat social, Garnier-Flammarion, page 173, Paris, 1966.
Suite à nos propos, sur l’attitude des musulmans tchadiens et tchadiennes, en complicités avec la famille Itno, qui siphonnent sans gêne les ressources de l’Etat, nous réitérons nos propos : sont tous dans l’illégalité morale et institutionnelle. Et, pourtant, les pauvres sont complètement inconscients, malgré les multiples signes de Dieu. Et, ont corrompu cette sublime religion ; d’ailleurs la corruption de l’Islam commença après l’assassinat du calife et législateur, Ali Ibn Abitalib, en 661. Jean-Jacques Rousseau a écrit son essai au XVIII, siècle des lumières, plusieurs années, après le dérapage de l’Etat Islamique, la foi des croyants reste le même, mais le cadre institutionnel et politique traverse des turbulences, dû au non-respect de la profession de foi de l’Islam, par les croyants.
Du contrat social, dans cet essai, Rousseau a imaginé les mécanismes institutionnels, d’un Etat idéal. Son essai est aujourd’hui, la bible du système, de démocratie pluraliste. En conclusion de cet essai, Rousseau fait l’éloge du système politique musulman. Il a certes rêvé la démocratie, à son époque au XVIII siècle ; et a engendré une ingénieuse idée institutionnelle, juridique et politique, la preuve est que, son essai reste ici et maintenant toujours d’actualité. En revanche, il trouva très saine et meilleur, le système politique musulman. Si les musulmans n’ont pas laissé choir leur foi a Dieu, Jean-Jacques Rousseau, serait convertie ! A notre grande surprise, des individus cuistres et hypocrites essai de hausser le système inefficace ; la démocratie occidentale, à la place de notre sublime système politique. Il est moins honnête de croire a Rousseau et de dénigrer l’Islam ; cette religion reste toujours la même, les principes et les règles ne changeront jamais. Les croyants corrompent cette belle et splendide religion ; ce qui amène les occidentaux à se méfier, de notre religion. La faute est à qui ? Nous les musulmans, et cela est une évidence, repentons-nous !
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