Les fêtes célébrées par les musulmans ont toutes une source provenant du Saint Coran ou des hadiths authentiques.
Allah n’a jamais prescrit pour les musulmans la célébration de leurs anniversaires ou celui du Prophète (sallAllahou ’alayhi wa salam) mais de nombreux croyants fêtent cet événement sans se rendre compte qu’ils mettent le pied dans le “shirk”.
En effet, il est devenu une tradition incontournable de souffler les bougies d’un gâteau pour célébrer une année de vie de plus. Cette fête remonte à l’époque Greco-Romaine où les Grecs avaient pour habitude de préparer un gâteau au miel de forme ronde et de le déposer en offrande pour la “déesse” de la lune et de la chasse Artemis.
La forme du gâteau évoquait la forme d’un astre et les cierges allumés dessus représentaient la lune. Puis, les Grecs louait la déesse à genoux, ce qui rappelle le souhait formulé avant de souffler les bougies.
Ainsi, le caractère invocatoire est exacerbé par le fait d’associer une chose à l’adoration à l’égard d’Allah.
De plus, l’anniversaire est une invention des non-musulmans, et le fait de les imiter dans leurs fêtes et leurs coutumes revient à vouloir leur ressembler, hors il est interdit de les imiter dans l’Islam.
Les deux fêtes prescrites par Allah (Subhannou wa ta’ala) sont la fête de la rupture du jeûne (‘Aïd el-Fitr) et celle du sacrifice (‘Aïd el-Adhâ) qui remplacent les fêtes de la période pré-islamique (al-Jâhiliyya).
De même, Il a prescrit des jours contenant différentes sortes de rappels et d’adoration, comme le jour du vendredi, de ‘Arafât, et les 3 jours suivants la fête du sacrifice (Ayyâm-ut-Tachrîq).
Pour certains, cette célébration comme (pour le soir de Noël), peut être atténué en prenant pour excuse l’envie irrépressible des enfants de souffler des bougies. Mais, la responsabilité des parents concernent l’éducation religieuse de leurs enfants devraient privilégier l’apprentissage des principes propres à l’Islam plutôt que de s’associer à des pratiques d’autres peuples.
alNas
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