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En quoi la "science du Hadith" est-elle une "science"?
Les a7adiths sont des récits sur des paroles ou des actesdu rassoul et rien de plus ou de moins.
il me semble que la méthodologie de la collecte et la façon de rendre traçable le hadith (metn et 3an3ana) sont censés découler de la méthode scientifique
mais la science du hadith, ce n'est pas le 7adih en soi, c'est la méthode de recueillir ces hadits, de les interpréter, bref d'en faire une sounna, c'est cela qui est questionné.
Est-ce une science ou pas ?
3ilm el hadith c la quête de sens du hadith ainsi que sa réorganisation en hadith sahih et da3if (en classant les chaines logiques des personnes porteuses du hadith)
en soi, que les musulmans appellent ça science, cela révèle une décrépitude de la pensée musulmane
Dernière modification par tawenza, 01 octobre 2018, 07h38.
Le plus drôle c'est que si El Bukhari lui-même était vivant aujourd'hui et il aurait voulu sortir une nouvelle édition de son Sahih en utilisant les techniques modernes de vérification, ces mêmes personnes qui le vénèrent le tuerait au pire ou l'accuserait de rejeter la Sunna dans le meilleur des cas
L’histoire, est à la fois l’étude et l'écriture des faits et des événements passés
on désigne aussi par histoire le passé lui-même
pour le premier cas l'etude/l'ecriture de passé,est une activité littéraire ou scientifique qui a comme bute d'étudier un sujet donné
pour la seconde, en considère les evenements de passé comme ensemble de souvenir.
l'étude des ahadiths en elle détiennent une application méthodique destiné a l'esprit des croyants.
classifié les ahadiths dans la catégorie de l'histoire de passé (souvenirs) est un reniement d'une grande partie de contenu de message.
ça n'a pas le statut d'une science
le processus d'authentification de hadith certe, mais pas l'étude de hadith, certains éléments inclus sont étroitement liée à la science
c'est de la moral le plus souvent
et c'est quoi la morale? n'à t'elle pas nécessité de lui consacré toute une discipline scientifique?
si l'on admis est accepte que l'on soit endoctrinés par des pensées aient été émis par des êtres humains des milliers d'années avant jésus christ,qu'est ce qui empêche d'adopté une application méthode de la morale prophétique?
L'escalier de la science est l'échelle de Jacob,il ne s'achève qu'aux pieds de Dieu
Albert Einstein
Comme bien même on appliquerait les méthodes scientifiques les plus strictes, les plus rigoureuses on n'aboutirait jamais à un nouveau résultat qui contredit l’édifice de croyance donc cela sera de la tautologie il me semble et puis on démarre à la base par une croyance et un postulat
et on peut arriver à n'importe quoi et sans pouvoir rien vérifier ni étudier
le mieux est de privilégier la foi sur l'histoire de la religion , les tafssir et les études du moins pour notre religion
c'est mon avis le plus intime.
le reste conduit à des aberrations
car si les religieux chez nous étaient excellents ils seraient les plus talentieux historiens du monde et on aurait au moins eu un bénéfice des dates précises de faits et autre et dans tout pas que concernant elhijaz et la religion
ils n'étaient même pas foutus d'inventer l'imprimerie et ont parfois même détruits de grandes bibliothèques comme celle d'Alexandrie il me semble
j'ai un véritable problème avec l'abrutissement le dressage et l'endoctrinement qui a souvent été proche de notre religion jusqu'à nos jours
dans les mosquées et je te conseille d'analyser le vide qui se raconte l'absurde même le vendredi à la khoutba
Comme bien même on appliquerait les méthodes scientifiques les plus strictes, les plus rigoureuses on n'aboutirait jamais à un nouveau résultat qui contredit l’édifice de croyance donc cela sera de la tautologie
c'est la base de la croyance,voilà pourquoi on insiste et incite les gens pour en faire de cette ligne directrice de conduite une plate forme avant toute appréhension de ce que la science nous délivre comme déductions prématuré et théories.
ceux qui ont perdu cette règle se sont fait emporté par un ideal si borné jusqu'à bénir les rêves les plus illusoire d'un monde chimérique
il me semble et puis on démarre à la base par une croyance et un postulat
et on peut arriver à n'importe quoi et sans pouvoir rien vérifier ni étudier
le mieux est de privilégier la foi sur l'histoire de la religion , les tafssir et les études du moins pour notre religion
c'est mon avis le plus intime.
le reste conduit à des aberrations
si j'ai bien compris,je suis d'accord avec ce que tu avance.
car si les religieux chez nous étaient excellents ils seraient les plus talentieux historiens du monde et on aurait au moins eu un bénéfice des dates précises de faits et autre et dans tout pas que concernant elhijaz et la religion
ils n'étaient même pas foutus d'inventer l'imprimerie et ont parfois même détruits de grandes bibliothèques comme celle d'Alexandrie il me semble
j'ai un véritable problème avec l'abrutissement le dressage et l'endoctrinement qui a souvent été proche de notre religion jusqu'à nos jours
il faut pioché dans l'histoire et mettre la main sur les périodes où ça a marché,étudier les circonstances et les conditions qui ont permis de faire roulé la roue vers l'essor et la croissance et en tiré profit et analysé les causes de basculement vers le chaos et mettre des tris.
notre passé n'a pas sombré en entier dans l'obscurantisme il fut un temps où les musulmans ont etait couronné par le succès, la situation d'essor et d'aisance qu'ils ont atteint à fait bavé les occidentaux,ou point où ces périodes ne cessent d'en faire débats chez eux jusqu'à nos jours.
dans les mosquées et je te conseille d'analyser le vide qui se raconte l'absurde même le vendredi à la khoutba
le niveau de qualité dans les discours religieux à pris ses ailes,mais ce n'est pas une raison pour cadenassé la tête et ce contenté de la basse moyen, il y'a d'autres moyens qui sont en notre possession pour amélioré nos conbaissances.
L'escalier de la science est l'échelle de Jacob,il ne s'achève qu'aux pieds de Dieu
Albert Einstein
ils n'étaient même pas foutus d'inventer l'imprimerie et ont parfois même détruits de grandes bibliothèques comme celle d'Alexandrie il me semble
j'ai un véritable problème avec l'abrutissement le dressage et l'endoctrinement qui a souvent été proche de notre religion jusqu'à nos jours
pourquoi melanger tout .
tjs la meme letmotiv : vous dans les hadith et les autres sont dans mars.
eh bien celui qui dit ça je lui dirai : les mouhadithin ont excelé dans leur domaine , excele toi dans ton domaine.
Dernière modification par mertaw, 03 octobre 2018, 17h15.
Au sujet de la destruction de la bibliothèque d'Alexandrie .
Les recherches, nombreuses sur le sujet32, soulignent le manque de documents ou témoignages probants relatant ce récit. Il n'est mentionné par aucun historien, qu'il soit musulman ou chrétien33, entre le VIIe et le XIIIe siècle. Al-Baghdâdî et Ibn Al-Qiftî auraient forgé ce récit pour des raisons politiques34. Selon une autre hypothèse, avancée par Mostafa El-Abbadi, l'histoire serait un faux fabriqué par les Croisés visant à discréditer les Arabes et à les dépeindre comme des ennemis de la culture35.
Le récit est repris presque tel quel par l'historien Ibn Khaldûn32 dans sa Muqaddima (XIIIe siècle). Il en change cependant le cadre, il ne s'agit plus d'Alexandrie, mais de Ctésiphon32 en Irak actuel, et ce n'est plus 'Amr Ibn al-'As, mais Sa'd Ibn Abî Waqqâs qui dirige l'armée. En voici l'extrait :
« Cependant, quand les musulmans eurent conquis la Perse et mis la main sur une quantité innombrable de livres et d'écrits scientifiques, Sa'd Ibn Abî Waqqâs écrivit à 'Umar Ibn al-Khattâb pour lui demander des ordres au sujet de ces ouvrages et de leur transfert aux musulmans ? 'Umar lui répondit : « Jette-les à l'eau. Si leur contenu indique la bonne voie, Dieu nous a donné une direction meilleure. S'il indique la voie de l'égarement, Dieu nous en a préservés. » Ces livres furent donc jetés à l'eau ou au feu, et c'est ainsi que les sciences des Perses furent perdues et ne purent parvenir jusqu'à nous. »
— Ibn Khaldûn, Le Livre des Exemples, T. I, Muqaddima VI, texte traduit et annoté par Abdesselam Cheddadi, Gallimard, novembre 2002, p. 944.
Source: Wikipédia .
Si le contexte change, la phrase qui relate la réponse de 'Umar Ibn al-Khattâb est reprise mot pour mot de la chronique d'Al-Baghdâdî, ce qui vient renforcer qu'il s'agit d'une légende construite de toutes pièces. Tel est l'avis, entre autres, d'Ahmed Djebbar, chargé d'études en histoire des mathématiques à l'université des sciences et des technologies de Lille32 et auteur de nombreux ouvrages sur l'histoire des sciences ou de Richard Goulet36 directeur de recherche émérite au CNRS.
La destruction de la bibliothèque d'Alexandrie par les troupes musulmanes est contredite dès le début du XVIIIe siècle par Eusèbe Renaudot37, puis à la fin du XIXe siècle par le sociologue Gustave Le Bon38.
Dans la première moitié du XXe siècle d'autres études abondent en ce sens, comme celle en 1911 de Victor Chauvin39, celle d'Alfred Joshua Butler en 190240, celle de Paul Casanova en 192341 et celle d'Eugenio Griffini en 192542.
L’emblématique Bibliothèque d’Alexandrie a été détruite par les restrictions budgétaires, et non par les flammes
La disparition de la bibliothèque antique d’Alexandrie est encore un mystère de nos jours. De nombreuses recherches archéologiques permettent d’en découvrir plus à son sujet, notamment sur sa disparition. En effet, pour beaucoup de scientifiques, les réductions budgétaires en sont la principale cause. Explications.
La ville d’Alexandrie a été fondée par Alexandre le Grand lorsque celui-ci a envahi l’Égypte. Son successeur, Ptolémée Soter II a voulu y créer un musée inspiré de l’architecture grecque, comme le Lycée d’Aristote à Athènes. Il a ainsi fondé le Mousêion de l’académie Ptolémaïque qui attirera bon nombre de poètes, artistes et scientifiques à travers le monde. Le lieu devient finalement une bibliothèque « officielle » en l’an 283 avant Jésus Christ.
Des savants du monde entier y ont consulté les manuscrits anciens, y ont donné des conférences, si bien qu’une centaine de chercheurs y ont résidé, tous frais payés grâce à des bourses versées par l’Égypte. Ils avaient pour but d’entretenir, de traduire et de copier les parchemins. Si bien qu’une succursale de la bibliothèque a été ouverte au temple de Serapis, que l’on appelait d’ailleurs communément la « bibliothèque de filles. »
A l’inverse des nombreuses bibliothèques déjà existantes au sein des riches palais d’Alexandrie, ce lieu est entièrement public et est ouvert à toute personne qui pouvait se révéler être un savant digne de pouvoir y étudier.
Il est dit que quelques centaines d’années plus tard, en l’an 47 avant notre ère, Jules César aurait incendié la bibliothèque en attaquant la cité d’Alexandrie et détruit de nombreux manuscrits. Mais un autre récit s’oppose à celui-ci et explique qu’il aurait en réalité brûlé plus de 40 000 copies manuscrites prêtes à être envoyées à travers le monde et stockées dans des ateliers qui n’avaient rien à voir avec la bibliothèque en elle-même.
Au cours de l’histoire, d’autres incendies et émeutes ont eu lieu et ont laissé de nombreuses cicatrices dans la cité, notamment là où la bibliothèque a été construite. On dit d’ailleurs que celle-ci a été détruite en 272 après Jésus Christ lors de la bataille entre l’Empereur Aurélien et la reine Zénobie. Entre 391 et 415, de nombreuses guerres religieuses ont provoqué beaucoup de dommages sur le bâtiment de la bibliothèque, puis celle-ci a finalement été reconstruite et ses ouvrages endommagés restaurés.
L’historien Heather Phillips explique dans un essai concernant la bibliothèque d’Alexandrie que sa destruction a été progressive : « En réalité, ce sont les hauts et bas financiers de la ville d’Alexandrie qui ont provoqué sa perdition. Une grande partie de sa chute a été progressive donc, souvent causée par des aspects bureaucratiques et aussi un petit peu à cause des évolutions culturelles qui ont eu lieu au fil du temps. »
Heather Phillips continue : « Par exemple, l’empereur romain Marc-Aurèle a suspendu les revenus du Mousêion en abolissant les allocations de ses membres et en expulsant tous les chercheurs étrangers. Alexandrie fut aussi le lieu de nombreuses persécutions et d’actions militaires qui, bien que quelques-unes auraient été plus orientées vers le Mousêion ou le Serapeum, ne pouvaient pas s’empêcher d’endommager la cité. Comment les institutions pouvaient espérer attirer et conserver parmi elles des chercheurs de la premières éminence lorsque la ville était continuellement un lieu de batailles et de conflits ? »
Ce que le chercheur Phillips trouve intéressant concernant le déclin de la Grande Bibliothèque d’Alexandrie c’est qu’il est énormément dû à la dégradation de la réputation de son centre d’apprentissage, elle-même provoquée par les événements tumultueux qui ont eu lieu au sein de la cité à travers les époques. Ce sont les chercheurs qui ont fait de la bibliothèque et de sa chambre ce qu’elle était, alors quand les responsables ont arrêté de verser de l’argent et interdit aux chercheurs étrangers d’accéder à la bibliothèque, cela a effectivement entravé toutes ses activités jusqu’à sa fermeture. Ces livres et ces manuscrits n’étaient rien sans tous ces chercheurs qui les entretenaient, les traduisaient et partageaient les connaissances qu’ils y trouvaient.
La destruction ultime de la bibliothèque d’Alexandrie a eu lieu en 639 quand les troupes arabes du calife Omar ont assiégé Alexandrie. L’historien Luciano Canfora a écrit l’ouvrage le plus complet concernant la Grande Bibliothèque d’Alexandrie basé sur des sources matérielles, c’est-à-dire des témoignages écrits par des personnes qui ont connu et travaillé à la bibliothèque.
Il raconte : « Le sérapéum a été détruit dans l’attaque du temple païen en 392. Naturellement, les manuscrits de la bibliothèque avaient changé et pas seulement dans leurs contenus. Les anciens avaient disparus et ceux qui avaient été épargnés ont été jetés comme des ordures ou enfouis dans le sable et remplacés par des parchemins plus importants, élégamment réalisés et reliés en codex. La langue aussi a changé, le grec a été peu à peu oublié et les textes se constituaient désormais principalement des écrits patristiques, actes des conciles et de la « littérature sacrée » en général. » Canfora écrit dans son livre : « Obéissant aux ordres du calife, l’armée a distribué les livres aux bains publics d’Alexandrie pour les brûler dans les poêles et garder la température de l’eau chaude et confortable. […] Seuls les livres d’Aristote ont été épargnés. »
Même si ces recherches sont appuyées par de nombreux scientifiques, l’histoire de la Bibliothèque d’Alexandrie reste encore une véritable énigme et il faudra sûrement attendre encore plusieurs décennies avant d’arriver à en percer tout les secrets. En tout cas, cette explication nous a surpris au bureau et certains ont même été étonné d’apprendre qu’il existait des cas très anciens de faillites… Auriez-vous imaginé une telle fin pour un bâtiment aussi prestigieux ?
Source : internet.
Dernière modification par abdelhamid31, 03 octobre 2018, 01h25.
Il dit que plusieurs grands savants ont confirmé qu'il y a des hadiths fabriqués dans El Boukhari et Muslim qui ont ete introduits dans leurs recueils a posteriori.
Aussi il fait une différence entre mouhaddith et hafidh, apparemment les hafidh sont beaucoup plus respectables que les mouhaddithin, quelle est la différence?
Transliteration 38:
Ma kana AAala alnnabiyyi min harajin feema farada Allahu lahu sunnata Allahi fee allatheena khalaw min qablu wakana amru Allahi qadaran maqdooran
French 38: Nul grief à faire au Prophète en ce que Dieu lui a imposé conformément à la sunna d’Allah qui a été aussi prescrite à ceux qui vécurent antérieurement. Le commandement de Dieu est un décret inéluctable.
comme je te l'ait dit les hadith son ni un science ni l'islam
c'est de l'histoire a prendre au subjective
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