Par le Dr. Mohamed El-Saka Aid
Allah, le Très Haut dit : « …car la Salât demeure pour les Croyants une prescription à des temps déterminés ». (Sourate An-nissa’ « Les femmes », verset 103).
La prière est l’un des cinq piliers de l’Islam qui a recommandé aux Musulmans de l’accomplir. Elle est évoquée dans plusieurs versets du Saint Coran où Allah exalté soit-Il, dit : «… et accomplis la Salât pour te souvenir de moi ». (Sourate Ta-Ha, verset 14).
En réalité, la prière est le remède favorable et la guérison divine pour toutes les maladies, qu’elles soient somatiques, organiques, psychologiques ou neurologiques ; elle est prophylactique et empêche le mal. Dans l’acte de la prière, chaque muscle dans le corps se donne du mouvement, ce qui mène à sa protection et à sa fortification. Ainsi, plus qu’elle soit une soumission et une obéissance à Allah le Créateur, la prière est un exercice physique ayant des bénéfices énormes. En effet, le corps humain se forme entre autres, d’os, d’articulations, de muscles, d’artères, de veines et de nerfs. Toutes ces composantes ont besoin de se lubrifier quotidiennement car, le repos total et le sommeil leur causent de l’indolence, du relâchement et de l’incapacité dans d’autres situations exigeant plus d’efforts. Par exemple, la thrombophlébite atteint beaucoup plus les sujets qui sombrent dans l’inactivité et le repos complet.
Aussi, il convient de souligner que dans le corps humain, les muscles se comptent par centaines, les nerfs se propageant dans tout l’organisme sont nombreux, entrecroisés et complexes ; Ils ressemblent à des fils électriques. Les os quant à eux, sont en nombre de 360.
Par conséquent, la prière est un exercice physique excellent durant lequel se meuvent les articulations et les muscles, et s’active la circulation sanguine. Que dites-vous alors de cinq (5) exercices physiques (cinq prières) par jour qui se répètent quotidiennement tout en agrandissant et raffermissant la foi de la personne qui prie (le Musulman).
La revue cairote « El-Moudjahid » a publié dans son numéro 146 en mois d’avril 1986, un article du Dr. Othman El-Khawas, spécialiste en orthopédie, et dans lequel il dit :
«D’abord, lorsqu’il s’est avéré que les exercices physiques sont la base pour une bonne constitution du corps qui va sans aucun doute, avec un esprit sain, les méthodes modernes d’éducation ainsi que la science de la médecine préventive les ont vivement recommandés. Ces exercices physiques ont été pris en considération pendant des séances régulières comme c’est le cas de toutes les autres matières et activités.
Alors, accomplir la prière cinq fois par jour est le meilleur moyen pour tirer avantage de ces exercices. Ses moments sont les plus opportuns et avantageux ; avant l’aube (la prière d’As-Soubh) où l’air est pur et le corps est encore affecté par le sommeil, au milieu de la journée (la prière d’Ad-Douhr), où le corps est fatigué par le travail, au milieu de l’après midi (la prière d’Al-Asr) où la journée de travail tire à sa fin alors que le corps est accablé encore par la lassitude, au coucher du soleil (la prière d’El-Maghreb) où l’être humain s’apprête au repos de la nuit, et enfin le soir (la prière d’El-Ichaâ), fin du jour.
Ensuite, il a été connu que la prière est le meilleur moyen pour l’activité de la circulation sanguine qui, elle aussi, stimule tous les autres appareils dans l’organisme. Donc voilà, As-Salât est considérée comme un stimulant pour la digestion et l’appétit. N’est ce pas que les moments de son accomplissement sont en rapport absolu avec cette moralité portée ! A l’aube, avant le petit déjeuner ; à midi avant le déjeuner ; au milieu de l’après midi, entre les deux repas (déjeuner- dîner) ; et enfin, le soir (le dîner) où la digestion est forte.
Ainsi, on a pu grâce à la prière guérir beaucoup de maladies gastriques dans un temps record. en faisant abstraction de tous les miracles de traitements et curation prescrits afin d’apporter remède à d’autres maladies, il y’a également d’autres miracles dans la guérison du boiteux, de l’impotent et de l’aveugle, …
Etant dit, des milliers de cas de maladie auxquels les traitements médicaux, chirurgicaux et psychologiques n’ont servi à rien, et en face desquels les médecins les plus perspicaces sont demeurés désespérés, ont trouvé remède par les miracles de la prière. De ce fait, la prière est comme un métal, émetteur de rayonnements et auto-générateur d’activité. Il faut admettre qu’elle n’est pas une simple récitation mécanique d’invocations comme le pensent beaucoup de non Musulmans, mais encore une sublimation soufiste où l’être humain entre en contact avec Allah le plus Haut, en se soumettant à lui dans le but d’acquérir de la quiétude ainsi que la sérénité.
En plus, la prière fait surgir des miracles ayant des effets sur les cas pathologiques : un bon nombre de patients souffrent de différentes maladies telles que l’ostéite, les infections suppurées, le cancer, …
Enfin, sur le plan psychologique, les bienfaits de la prière sont innombrables et essentielles à être citées. Ceci dit, en priant, l’être humain se soumet à Allah, louange à Lui, qui est capable de faire toute chose et toute chose ne peut se passer de Lui, et arrive conformément à ce qu’Il a prescrit et à sa volonté. En priant, le Musulman est convaincu que l’Homme ne lutte pas seul dans cette vie, il y’a un Créateur, Allah le Clairvoyant, le Juste et le plus Savant à propos de toutes les choses qu’il n’arrive pas à comprendre….S’il est victime (l’Homme) de l’injustice de quelqu’un, il s’en remet à Allah, l’Audient, le Clairvoyant qui lui fera justice, le plus Miséricordieux des Miséricordieux
Ce sentiment enveloppe la vie de l’être humain dans un climat de sérénité psychique l’aidant à vivre en bonne santé physique, avec un bien être mental et avec une quiétude sensorielle. Toutefois, réduire la prière (As-Salât) exclusivement dans l’esprit entraîne le stresse et la trouble.
D’autre part, le Dr. Rose H, conseillère médicale à l’hôpital de Boston, dit que parmi les traitements entrant dans la curation de l’angoisse et l’anxiété, est quand la personne qui en souffre se confie à quelqu’un à qui fait-elle confiance. Autrement dit, en parlant avec abondance et détails de ses ennuis, le malade finit par libérer son esprit de ses inquiétudes ; alors, livrer le fond de ses craintes guérit sans pour autant conditionner le statut de son confident, qu’il soit médecin, juriste ou religieux. Le tout est de sentir qu’il l’écoute, perçoit son angoisse et sa douleur et le soutient. Que dire donc de faire recours à Allah le Clairvoyant qui possède tous les biens ! N’est ce pas que l’être humain, en faisant sa prière se voit délivré de toues ses maladies !
Méditons ce verset coranique qui énonce :
« Ne connaît-il pas ce qu’Il a crée alors que c’est Lui le Compatissant, le Parfaitement Connaisseur ». (Sourate Al-Mulk « La royauté», verset 14)
Ainsi, le Dr. Alexis Karel qui a reçu le prix Nobel, dit dans son livre « l’Humain, cet inconnu » : Il se peut que de nos jours, la prière est la plus grande énergie potentielle qui produit de l’activité. Entant que médecin, j’ai eu beaucoup de patients auxquels les médicaments n’ont pu porter remède, signe d’impuissance et d’incapacité de la part de la médecine. Tandis que la prière les a guéris de leurs maladies.
« En somme, la prière produit de l’énergie et de l’activité, et avec laquelle l’être humain œuvre à intensifier son activité étant limitée et ce, en s’adressant aussitôt à une force sans limites qu’on ne peut imaginer (celle d’Allah) ».
« En priant, nous nous unissons avec cette gigantesque force qui a la haute main sur tout l’univers. Nous demandons à Allah de nous attribuer un brandon d’elle auquel nous faisons appel contre les souffrances de la vie. Chose est sure, la récitation pendant la prière (versets du Coran, invocations) nous procure et nous garantit seule de la force et de l’activité qui s’agrandit davantage. D’ailleurs, nos implorations et nos invocations ne sont jamais inutiles, bien au contraire, elles nous procurent, non seulement de la sérénité, mais encore, de la solidité et de la confiance absolue en Allah ».
Allah, le Très Haut dit : « …car la Salât demeure pour les Croyants une prescription à des temps déterminés ». (Sourate An-nissa’ « Les femmes », verset 103).
La prière est l’un des cinq piliers de l’Islam qui a recommandé aux Musulmans de l’accomplir. Elle est évoquée dans plusieurs versets du Saint Coran où Allah exalté soit-Il, dit : «… et accomplis la Salât pour te souvenir de moi ». (Sourate Ta-Ha, verset 14).
En réalité, la prière est le remède favorable et la guérison divine pour toutes les maladies, qu’elles soient somatiques, organiques, psychologiques ou neurologiques ; elle est prophylactique et empêche le mal. Dans l’acte de la prière, chaque muscle dans le corps se donne du mouvement, ce qui mène à sa protection et à sa fortification. Ainsi, plus qu’elle soit une soumission et une obéissance à Allah le Créateur, la prière est un exercice physique ayant des bénéfices énormes. En effet, le corps humain se forme entre autres, d’os, d’articulations, de muscles, d’artères, de veines et de nerfs. Toutes ces composantes ont besoin de se lubrifier quotidiennement car, le repos total et le sommeil leur causent de l’indolence, du relâchement et de l’incapacité dans d’autres situations exigeant plus d’efforts. Par exemple, la thrombophlébite atteint beaucoup plus les sujets qui sombrent dans l’inactivité et le repos complet.
Aussi, il convient de souligner que dans le corps humain, les muscles se comptent par centaines, les nerfs se propageant dans tout l’organisme sont nombreux, entrecroisés et complexes ; Ils ressemblent à des fils électriques. Les os quant à eux, sont en nombre de 360.
Par conséquent, la prière est un exercice physique excellent durant lequel se meuvent les articulations et les muscles, et s’active la circulation sanguine. Que dites-vous alors de cinq (5) exercices physiques (cinq prières) par jour qui se répètent quotidiennement tout en agrandissant et raffermissant la foi de la personne qui prie (le Musulman).
La revue cairote « El-Moudjahid » a publié dans son numéro 146 en mois d’avril 1986, un article du Dr. Othman El-Khawas, spécialiste en orthopédie, et dans lequel il dit :
«D’abord, lorsqu’il s’est avéré que les exercices physiques sont la base pour une bonne constitution du corps qui va sans aucun doute, avec un esprit sain, les méthodes modernes d’éducation ainsi que la science de la médecine préventive les ont vivement recommandés. Ces exercices physiques ont été pris en considération pendant des séances régulières comme c’est le cas de toutes les autres matières et activités.
Alors, accomplir la prière cinq fois par jour est le meilleur moyen pour tirer avantage de ces exercices. Ses moments sont les plus opportuns et avantageux ; avant l’aube (la prière d’As-Soubh) où l’air est pur et le corps est encore affecté par le sommeil, au milieu de la journée (la prière d’Ad-Douhr), où le corps est fatigué par le travail, au milieu de l’après midi (la prière d’Al-Asr) où la journée de travail tire à sa fin alors que le corps est accablé encore par la lassitude, au coucher du soleil (la prière d’El-Maghreb) où l’être humain s’apprête au repos de la nuit, et enfin le soir (la prière d’El-Ichaâ), fin du jour.
Ensuite, il a été connu que la prière est le meilleur moyen pour l’activité de la circulation sanguine qui, elle aussi, stimule tous les autres appareils dans l’organisme. Donc voilà, As-Salât est considérée comme un stimulant pour la digestion et l’appétit. N’est ce pas que les moments de son accomplissement sont en rapport absolu avec cette moralité portée ! A l’aube, avant le petit déjeuner ; à midi avant le déjeuner ; au milieu de l’après midi, entre les deux repas (déjeuner- dîner) ; et enfin, le soir (le dîner) où la digestion est forte.
Ainsi, on a pu grâce à la prière guérir beaucoup de maladies gastriques dans un temps record. en faisant abstraction de tous les miracles de traitements et curation prescrits afin d’apporter remède à d’autres maladies, il y’a également d’autres miracles dans la guérison du boiteux, de l’impotent et de l’aveugle, …
Etant dit, des milliers de cas de maladie auxquels les traitements médicaux, chirurgicaux et psychologiques n’ont servi à rien, et en face desquels les médecins les plus perspicaces sont demeurés désespérés, ont trouvé remède par les miracles de la prière. De ce fait, la prière est comme un métal, émetteur de rayonnements et auto-générateur d’activité. Il faut admettre qu’elle n’est pas une simple récitation mécanique d’invocations comme le pensent beaucoup de non Musulmans, mais encore une sublimation soufiste où l’être humain entre en contact avec Allah le plus Haut, en se soumettant à lui dans le but d’acquérir de la quiétude ainsi que la sérénité.
En plus, la prière fait surgir des miracles ayant des effets sur les cas pathologiques : un bon nombre de patients souffrent de différentes maladies telles que l’ostéite, les infections suppurées, le cancer, …
Enfin, sur le plan psychologique, les bienfaits de la prière sont innombrables et essentielles à être citées. Ceci dit, en priant, l’être humain se soumet à Allah, louange à Lui, qui est capable de faire toute chose et toute chose ne peut se passer de Lui, et arrive conformément à ce qu’Il a prescrit et à sa volonté. En priant, le Musulman est convaincu que l’Homme ne lutte pas seul dans cette vie, il y’a un Créateur, Allah le Clairvoyant, le Juste et le plus Savant à propos de toutes les choses qu’il n’arrive pas à comprendre….S’il est victime (l’Homme) de l’injustice de quelqu’un, il s’en remet à Allah, l’Audient, le Clairvoyant qui lui fera justice, le plus Miséricordieux des Miséricordieux
Ce sentiment enveloppe la vie de l’être humain dans un climat de sérénité psychique l’aidant à vivre en bonne santé physique, avec un bien être mental et avec une quiétude sensorielle. Toutefois, réduire la prière (As-Salât) exclusivement dans l’esprit entraîne le stresse et la trouble.
D’autre part, le Dr. Rose H, conseillère médicale à l’hôpital de Boston, dit que parmi les traitements entrant dans la curation de l’angoisse et l’anxiété, est quand la personne qui en souffre se confie à quelqu’un à qui fait-elle confiance. Autrement dit, en parlant avec abondance et détails de ses ennuis, le malade finit par libérer son esprit de ses inquiétudes ; alors, livrer le fond de ses craintes guérit sans pour autant conditionner le statut de son confident, qu’il soit médecin, juriste ou religieux. Le tout est de sentir qu’il l’écoute, perçoit son angoisse et sa douleur et le soutient. Que dire donc de faire recours à Allah le Clairvoyant qui possède tous les biens ! N’est ce pas que l’être humain, en faisant sa prière se voit délivré de toues ses maladies !
Méditons ce verset coranique qui énonce :
« Ne connaît-il pas ce qu’Il a crée alors que c’est Lui le Compatissant, le Parfaitement Connaisseur ». (Sourate Al-Mulk « La royauté», verset 14)
Ainsi, le Dr. Alexis Karel qui a reçu le prix Nobel, dit dans son livre « l’Humain, cet inconnu » : Il se peut que de nos jours, la prière est la plus grande énergie potentielle qui produit de l’activité. Entant que médecin, j’ai eu beaucoup de patients auxquels les médicaments n’ont pu porter remède, signe d’impuissance et d’incapacité de la part de la médecine. Tandis que la prière les a guéris de leurs maladies.
« En somme, la prière produit de l’énergie et de l’activité, et avec laquelle l’être humain œuvre à intensifier son activité étant limitée et ce, en s’adressant aussitôt à une force sans limites qu’on ne peut imaginer (celle d’Allah) ».
« En priant, nous nous unissons avec cette gigantesque force qui a la haute main sur tout l’univers. Nous demandons à Allah de nous attribuer un brandon d’elle auquel nous faisons appel contre les souffrances de la vie. Chose est sure, la récitation pendant la prière (versets du Coran, invocations) nous procure et nous garantit seule de la force et de l’activité qui s’agrandit davantage. D’ailleurs, nos implorations et nos invocations ne sont jamais inutiles, bien au contraire, elles nous procurent, non seulement de la sérénité, mais encore, de la solidité et de la confiance absolue en Allah ».
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