Il n'y a aucun problème à demander à Dieu d'accorder à un non-musulman la santé, de lui épargner tel problème, de le guider vers ce qu'Il agrée dans ce monde et dans l'autre, etc.
Le Prophète (que Dieu le bénisse et le salue) a ainsi prié Dieu qu'Il guide le cœur de la mère de Abû Hurayra ; il a également prié Dieu en faveur de la tribu arabe Daws.
Ibn ul-Qayyim a relaté d'autres invocations qui peuvent tout à fait être faites par le musulman en faveur de quelqu'un d'une autre religion : ainsi, au cas où on présente ses condoléances à un non-musulman : "Que ne t'atteigne que du bien !", ou : "Que Dieu t'accorde davantage de biens et d'enfants, et qu'Il prolonge ta vie !", etc. (Ahkâm ahl idh-dhimma, p. 205). Voir aussi MF 1/144.
Certains ulémas shafi'ites ont dit que cela était autorisé même sans maslaha particulière vis-à-vis d'une personne précise.
Tant que le père de Abraham était vivant, il y avait la possibilité de demander à Dieu de lui pardonner, et c'est ce que Abraham fit :
"وَاجْعَلْنِي مِن وَرَثَةِ جَنَّةِ النَّعِيمِ {26/85} وَاغْفِرْ لِأَبِي إِنَّهُ كَانَ مِنَ الضَّالِّينَ {26/86} وَلَا تُخْزِنِي يَوْمَ يُبْعَثُونَ {26/87" :
"Et pardonne à mon père, vraiment il fait partie des égarés" (Coran 26/86). Cette invocation se comprenait en fait ainsi : "Guide mon père dans la foi en Toi, et retire-le ainsi de l'égarement dans lequel il se trouvait jusqu'à présent. Et, ainsi, accorde-lui Ton Pardon, que Tu as accordes à tout polythéiste lorsqu'il apporte foi en Ton unicité et suit Ton messager du moment".
Tout ceci concerne le fait d'invoquer Dieu en faveur d'une personne non-musulmane encore vivante
Source: Maison Islam
Le Prophète (que Dieu le bénisse et le salue) a ainsi prié Dieu qu'Il guide le cœur de la mère de Abû Hurayra ; il a également prié Dieu en faveur de la tribu arabe Daws.
Ibn ul-Qayyim a relaté d'autres invocations qui peuvent tout à fait être faites par le musulman en faveur de quelqu'un d'une autre religion : ainsi, au cas où on présente ses condoléances à un non-musulman : "Que ne t'atteigne que du bien !", ou : "Que Dieu t'accorde davantage de biens et d'enfants, et qu'Il prolonge ta vie !", etc. (Ahkâm ahl idh-dhimma, p. 205). Voir aussi MF 1/144.
Certains ulémas shafi'ites ont dit que cela était autorisé même sans maslaha particulière vis-à-vis d'une personne précise.
Tant que le père de Abraham était vivant, il y avait la possibilité de demander à Dieu de lui pardonner, et c'est ce que Abraham fit :
"وَاجْعَلْنِي مِن وَرَثَةِ جَنَّةِ النَّعِيمِ {26/85} وَاغْفِرْ لِأَبِي إِنَّهُ كَانَ مِنَ الضَّالِّينَ {26/86} وَلَا تُخْزِنِي يَوْمَ يُبْعَثُونَ {26/87" :
"Et pardonne à mon père, vraiment il fait partie des égarés" (Coran 26/86). Cette invocation se comprenait en fait ainsi : "Guide mon père dans la foi en Toi, et retire-le ainsi de l'égarement dans lequel il se trouvait jusqu'à présent. Et, ainsi, accorde-lui Ton Pardon, que Tu as accordes à tout polythéiste lorsqu'il apporte foi en Ton unicité et suit Ton messager du moment".
Tout ceci concerne le fait d'invoquer Dieu en faveur d'une personne non-musulmane encore vivante
Source: Maison Islam