Le prophète (sawas) a dit :
Ali, comment ne serions-nous pas supérieurs aux Anges alors que nous les avons précédés (sabaqnâhum) dans la connaissance de notre Seigneur ainsi que dans Sa Louange, dans l'attestation de Son Unicité et dans Sa Glorification. Certes, la première chose que créa Dieu fut nos esprits et aussitôt IL nous fit professer Son Unicité et faire Son Éloge. Ensuite, IL créa les Anges et lorsque ces derniers contemplèrent nos esprits sous forme d'une lumière unique, ils reconnurent la grandeur de notre Cause (amr) ; nous nous sommes mis alors à louer [Dieu] afin d'enseigner aux Anges que nous sommes des êtres créés et que Dieu nous est absolument transcendant (innahu munazzah 'an sifâtinâ) ; les Anges se mirent alors à faire notre éloge tout en attestant la transcendance divine.
Et lorsque les Anges virent la majesté de notre rang (sha'n), nous nous sommes mis à professer l'Unicité divine afin qu'ils apprennent qu'il n'y a de Dieu que Dieu (lâ ilâha illâ llâh) et que nous ne sommes que des adorateurs et non des dieux Et lorsque les Anges virent l'élévation de notre position (mahall), nous nous sommes mis à attester la Grandeur divine afin qu'ils sachent que Dieu est Le Plus Grand (Allâhu akbar) Et quand les Anges furent témoins du noble pouvoir et de la puissance (al-'izza wa al-quwwa) que Dieu avait placés en nous, nous nous sommes mis à réciter : " Il n'y a de Force ni de Puissance si ce n'est par Dieu " (lâ hawl wa lâ quwwa illâ bi'llâh).
Et lorsqu'ils virent ce dont Dieu nous avait gratifiés (mâ an'ama 'llâh bihi 'alaynâ) et par quoi IL avait rendu obligatoire l'obéissance à notre égard, nous dîmes : " Louange à Dieu " (al-hamdu li'llâh), afin que les Anges apprennent notre gratitude, pour ce Don, envers Dieu et ils répétèrent : " Louange à Dieu ". Ainsi, c'est grâce à nous que les Anges furent guidés vers la connaissance de l'Unicité de Dieu et celle [des formules] de l'Unification et de la Glorification ".
par Ibn Bâbûye dans plusieurs de ses ouvrages : 'Ilal, bâb 7, page 5 ; Kamal Al-Dîn, bâb 23, n°4, pages 254-255 ; 'Uyun, 1/bâb 26, n° 22, page 262
Ali, comment ne serions-nous pas supérieurs aux Anges alors que nous les avons précédés (sabaqnâhum) dans la connaissance de notre Seigneur ainsi que dans Sa Louange, dans l'attestation de Son Unicité et dans Sa Glorification. Certes, la première chose que créa Dieu fut nos esprits et aussitôt IL nous fit professer Son Unicité et faire Son Éloge. Ensuite, IL créa les Anges et lorsque ces derniers contemplèrent nos esprits sous forme d'une lumière unique, ils reconnurent la grandeur de notre Cause (amr) ; nous nous sommes mis alors à louer [Dieu] afin d'enseigner aux Anges que nous sommes des êtres créés et que Dieu nous est absolument transcendant (innahu munazzah 'an sifâtinâ) ; les Anges se mirent alors à faire notre éloge tout en attestant la transcendance divine.
Et lorsque les Anges virent la majesté de notre rang (sha'n), nous nous sommes mis à professer l'Unicité divine afin qu'ils apprennent qu'il n'y a de Dieu que Dieu (lâ ilâha illâ llâh) et que nous ne sommes que des adorateurs et non des dieux Et lorsque les Anges virent l'élévation de notre position (mahall), nous nous sommes mis à attester la Grandeur divine afin qu'ils sachent que Dieu est Le Plus Grand (Allâhu akbar) Et quand les Anges furent témoins du noble pouvoir et de la puissance (al-'izza wa al-quwwa) que Dieu avait placés en nous, nous nous sommes mis à réciter : " Il n'y a de Force ni de Puissance si ce n'est par Dieu " (lâ hawl wa lâ quwwa illâ bi'llâh).
Et lorsqu'ils virent ce dont Dieu nous avait gratifiés (mâ an'ama 'llâh bihi 'alaynâ) et par quoi IL avait rendu obligatoire l'obéissance à notre égard, nous dîmes : " Louange à Dieu " (al-hamdu li'llâh), afin que les Anges apprennent notre gratitude, pour ce Don, envers Dieu et ils répétèrent : " Louange à Dieu ". Ainsi, c'est grâce à nous que les Anges furent guidés vers la connaissance de l'Unicité de Dieu et celle [des formules] de l'Unification et de la Glorification ".
par Ibn Bâbûye dans plusieurs de ses ouvrages : 'Ilal, bâb 7, page 5 ; Kamal Al-Dîn, bâb 23, n°4, pages 254-255 ; 'Uyun, 1/bâb 26, n° 22, page 262
Commentaire