Le ministère de l'Intérieur a annoncé que ces établissements étaient soupçonnés de promouvoir une idéologie radical
Elles sont soupçonnées de promouvoir l'islamisme radical. Ce mercredi, quatre mosquées de région parisienne ont été fermées par les autorités. Dans un communiqué, le ministère de l'Intérieur précise que leur fermeture a été décidée sur "le fondement des dispositions de l'article 8 de la loi sur l'état d'urgence permettant la fermeture des lieux de culte au sein desquels sont tenus des propos constituant une provocation à la haine ou à la violence ou une provocation à la commission d'actes de terrorisme ou faisant l'apologie de tels actes".
Parmi ces établissements, figurent la mosquée Al-Islah de Villiers-sur-Marne, dans le Val-de-Marne. Fin août, une perquisition avait permis de découvrir qu’elle abritait une école coranique clandestine. Cette école était connue des services de renseignement pour avoir été fréquentée par plusieurs personnes condamnées pour leur participation présumée à une filière djihadiste à destination de la Syrie.
La mosquée Al Rawda, située à Stains, en Seine-Saint-Denis, a également été fermée. Accueillant 500 et 600 personnes pour la prière du vendredi, l’établissement "compte parmi ses anciens fidèles de très nombreux individus djihadistes", selon l'arrêté. Même sanction pour un lieu de culte baptisé Masjid Al Fath, à Clichy-sous-Bois.
A l’ouest de la région parisienne, dans les Yvelines, c'est la salle de prières d'Ecquevilly qui a été fermée. L'arrêté du préfet des Yvelines souligne que l’établissement était' "un lieu de référence influent de la mouvance salafiste, prônant un islam rigoriste, appelant à la discrimination et à la haine, voire à la violence".
Bernard Cazeneuve avait annoncé le 12 octobre qu'une vingtaine de mosquées et de salles de prières présumées radicalisées avaient été fermées depuis la mise en vigueur de l'état d'urgence, instauré après les attaques du 13 novembre.
Atlantico
Elles sont soupçonnées de promouvoir l'islamisme radical. Ce mercredi, quatre mosquées de région parisienne ont été fermées par les autorités. Dans un communiqué, le ministère de l'Intérieur précise que leur fermeture a été décidée sur "le fondement des dispositions de l'article 8 de la loi sur l'état d'urgence permettant la fermeture des lieux de culte au sein desquels sont tenus des propos constituant une provocation à la haine ou à la violence ou une provocation à la commission d'actes de terrorisme ou faisant l'apologie de tels actes".
Parmi ces établissements, figurent la mosquée Al-Islah de Villiers-sur-Marne, dans le Val-de-Marne. Fin août, une perquisition avait permis de découvrir qu’elle abritait une école coranique clandestine. Cette école était connue des services de renseignement pour avoir été fréquentée par plusieurs personnes condamnées pour leur participation présumée à une filière djihadiste à destination de la Syrie.
La mosquée Al Rawda, située à Stains, en Seine-Saint-Denis, a également été fermée. Accueillant 500 et 600 personnes pour la prière du vendredi, l’établissement "compte parmi ses anciens fidèles de très nombreux individus djihadistes", selon l'arrêté. Même sanction pour un lieu de culte baptisé Masjid Al Fath, à Clichy-sous-Bois.
A l’ouest de la région parisienne, dans les Yvelines, c'est la salle de prières d'Ecquevilly qui a été fermée. L'arrêté du préfet des Yvelines souligne que l’établissement était' "un lieu de référence influent de la mouvance salafiste, prônant un islam rigoriste, appelant à la discrimination et à la haine, voire à la violence".
Bernard Cazeneuve avait annoncé le 12 octobre qu'une vingtaine de mosquées et de salles de prières présumées radicalisées avaient été fermées depuis la mise en vigueur de l'état d'urgence, instauré après les attaques du 13 novembre.
Atlantico
Commentaire