Bienvenue sur Forum Algérie, la communauté du site algerie-dz.com, votre fenêtre sur l'Algérie et le monde!
Pour avoir un accès total au forum algerie-dz.com, vous devez vous inscrire pour un compte gratuit. En tant que membre du forum, vous pourrez participer aux discussions, communiquer avec les autres membres et rejoindre le Club des Membres.
Si vous rencontrez des difficultés à vous inscrire ou à vous identifier sur Forum Algérie, n'hésitez pas à contacter l'équipe du support algerie-dz.com.
Aggour,
On peut en parler tant qu'on veut, être du côté des femmes ou avec lâcheté cautionner l'injustice qui leur est réservée dans cette société qu'est la notre, en tant qu'hommes , jamais nous pourrons décrire ou comprendre ce qu'elle ressentent. Tout statut inférieur de la femme nous arrange et nous console car nous sommes programmés à s'opposer à toute émancipation ou libération de la femme.
La seule bonne action qu'on pourrait faire vis à vis des femmes, c'est de les écouter et surtout les inviter à nous dire la vérité. Sont elles vraiment heureuses sous notre domination ? Sont elles heureuses sous les lois que nous leur avons fabriquées ?
J'invite les femmes du forum à prendre la parole et nous dire la vérité en face.
Une question aux garçons, sommes nous prêts à accepter l'égalité des sexes ?
ce statut d'inférieures est autant le résultat d'une lecture littérale du coran et des hadiths que d'une société patriarcale conservatrice.
Ps-penses -tu que le statut des femmes dans l'Arabie pré-islamique était tel que décrit par la littérature post prophétique(dont l'interdiction de l'infanticide féminin est le point le plus revendiqué en islam)puisque l'exemple de Khadija vient contredire cette thèse:
une riche femme d'affaire à 2 reprises divorcées ,me semble-t-il , qui demande le prophète en mariage..un statut digne d'une démocratie du 21è siècle!
En France, ce n'est qu'au XXe siècle que les filles ont pu prétendre à la même éducation que les garçons. L'histoire de l'éducation des filles en France avant ce siècle est donc spécifique. L'enseignement prodigué aux jeunes filles était souvent confié aux institutions religieuses.
Moyen Âge
Dans l'Europe médiévale occidentale, les principes de vertu, de piété et de bienséance que l'on tentait d'inculquer aux filles se retrouvent, entre autres, dans le Livre pour l'enseignement de ses filles de Geoffroy de La Tour-Landry, un traité didactique écrit par un noble français pour ses filles dans le dernier tiers du XIVe siècle.
À la Renaissance
Une éducation avant tout religieuse
Au XVIe siècle, l'éducation des filles se borne avant tout à un point de vue religieux. On leur apprend les travaux domestiques et le catéchisme pour qu'elles puissent ensuite élever leurs enfants chrétiennement. La religion passe par la femme et se transmet de mère en fille. Très peu de femmes sortent de cette éducation religieuse. Celle-ci montre la place encore très importante de l'Église, mais aussi le rôle de la femme, qui est uniquement vue comme mère et épouse.
La pensée humaniste
En 1523, Jean Louis Vivès écrit De l'institution de la femme chrétienne. Cette œuvre est beaucoup lue dans les milieux humanistes européens. La nécessité est alors reconnue d'éduquer les filles, mais la question reste entière : que leur apprendre ? La première vertu pour Vivès est la "pudicité", qui correspond à la vision d'une femme réservée. Mais il demande aussi une certaine culture, pour former la future épouse et la future mère. Celle-ci doit pouvoir :
• se rendre agréable à son mari par ses charmes et sa conversation
• l'aider dans le gouvernement des affaires domestiques
• savoir élever chrétiennement ses enfants.
Vivès préconise donc un enseignement de la lecture et de l'écriture, mais ne néglige pas les travaux domestiques : tenir l'aiguille et faire la cuisine, même pour les princesses. Mais il distingue quand même les travaux aristocratiques (broderie, dentelle) des travaux plus populaires (filer, coudre). Il recommande aussi la séparation des filles et des garçons. Enfin, dans le débat théorique qui consiste à savoir si les femmes doivent apprendre le latin, Vivès est assez réservé. Il préconise l'étude des lettres pour les filles nobles qui s'y montrent aptes.
Dans la pratique : couvents et écoles élémentaires
Il y a deux lieux précis où a lieu l'éducation des filles :
• les couvents : c'est la forme d'éducation la plus répandue dans la noblesse. Les filles y apprennent le catéchisme, la lecture et l'écriture. Quelques couvents rares, comme les moniales de Tarascon, permettent l'apprentissage du latin. Les filles décident ensuite elles-mêmes de rester au couvent ou de se marier. La qualité de cet enseignement monastique féminin est réelle et ne cesse de croître au cours du XVIe puis du XVIIe siècle.
• les écoles élémentaires : des écoles mixtes sont très courantes dans le nord de la France. Elles concernent des filles de la noblesse pauvre et de la petite bourgeoisie des campagnes. Mais elles ont été condamnées par l'Église comme par le courant humaniste du fait de leur mixité, et leur nombre ne fait que diminuer au cours du XVIIe siècle.
On connaît en outre quelques rares cas d'autodidactes : Marguerite de Navarre, sœur de François Ier, comprenait le latin et parlait plusieurs langues. Elle représente l'idéal de la culture féminine de la Renaissance. Elle entretient une petite cour d'artistes et d'intellectuels renommés. Il en est de même pour Marguerite de Valois, qui parlait couramment le latin.
Sous l'Ancien Régime chez Fénelon
Dans son Traité de l'éducation des filles (qui ne fut publié qu’en 1687), Fénelon (1651-1715), combat les idées exprimées sur l’éducation féminine au cours du XVIIe siècle, il les contredit en disant qu’il ne suffit pas pour la femme de savoir diriger son ménage et obéir à son mari sans réfléchir, que l’éducation des filles est aussi nécessaire et importante pour le bien public que celle des garçons et se doit également d'être réglée. Il affirme en résumé que les femmes bien élevées contribueraient au bien, qu'elles sont aussi responsables de la valeur de l’éducation des hommes car c’est la mère qui influence les mœurs, les vertus, le mode de vie d’un garçon, ainsi que les femmes qui l’accompagneront plus tard dans sa vie d'homme.
Second Empire
Le Second Empire est le théâtre de plusieurs avancées dans le domaine de l'éducation des femmes. Sous la IIe République, la loi Falloux avait fixé en mars 1850 l'objectif d'une école primaire pour filles dans chaque commune de plus de 800 habitants. La loi Duruy de 1867 aligne ce seuil sur les standards masculins en le fixant à 5002.
Les programmes restent définis en fonction des rôles sociaux assignés aux femmes (y figurent les travaux ménagers et la puériculture) ; les couvents et congrégations prennent majoritairement en charge l’éducation des jeunes filles. La mobilisation pour l’éducation des femmes trouve appui dans l’opposition libérale au régime, notamment dans les milieux saint-simoniens. Elisa Lemonnier crée en 1862 les premières écoles professionnelles pour jeunes filles. Julie-Victoire Daubié sollicite avec le soutien de François Barthélemy Arlès-Dufour, un influent capitaine d’industrie saint-simonien, l’autorisation de se présenter à l’épreuve du baccalauréat qu’elle obtient à Lyon en 1861 à l’âge de 37 ans. Madeleine Brès doit quant à elle son inscription en faculté de médecine à sa pugnacité et à l’intervention de l’impératrice Eugénie et du ministre de l'instruction publique Victor Duruy. Ces pionnières restent toutefois encore isolées : la deuxième bachelière française, Emma Chenu, obtient son diplôme en 1863, deux ans après Daubié3. L’amélioration de l’enseignement des femmes reste un leitmotiv des féministes françaises : en 1866, André Léo crée ainsi une association dédiée spécifiquement à cette question.
En 1868 Emma Chenu devient la première à obtenir une licence en France, elle est licenciée ès sciences.
Troisième République
Enseignement primaire
Sous l’impulsion de Jules Ferry, les lois scolaires de 1881-1882 transforment l’école publique, en instituant au niveau élémentaire la gratuité, l’obligation de 6 à 13 ans et la laïcité, sans établir de différence entre les filles et les garçons. Ces mesures législatives ont pour effet d’inculquer les bases du calcul, de l’écriture, de la lecture à l’ensemble des jeunes filles et, incidemment, de retarder leur entrée dans la vie active, même si l’obligation scolaire est diversement respectée dans les milieux populaires ; on estime ainsi qu’à Paris le tiers des ouvrières des années 1920 n’est pas scolarisé jusqu’à la limite imposée de 13 ans. La mixité est prohibée même si la loi Goblet du 30 octobre 1886, motivée avant tout par des impératifs économiques, en ouvre la possibilité pour les communes de moins de 500 habitants, sous condition d'autorisation du Conseil départemental.
Enseignement secondaire
Précédant de peu la réforme de l’enseignement primaire, la loi Camille Sée institue les Lycées de jeunes filles en 1880. Le premier de ces nouveaux types d'établissement s’ouvre à Montpellier en 1882. On en compte vingt-trois en 1888 et trente six en 1893. Les programmes, qui ne sont pas alignés sur ceux des garçons, ne visent pas à préparer les jeunes filles au baccalauréat mais à un simple diplôme de fin d’étude, le diplôme d'études secondaires, ou au brevet supérieur. Le grec est absent et le latin n’est proposé que dans certains établissements dans le cadre de formation accélérée à destination des élèves désireuses de se présenter au baccalauréat.
Au début du XXe siècle, plusieurs établissements privés mettent sur pied des préparations spécifiques menant au fameux diplôme, sésame indispensable pour entrer dans l’enseignement supérieur. La Première guerre mondiale en accentue encore la demande. Le décret Bérard prend acte de cette évolution, en instituant en 1924 un enseignement facultatif qui permet aux jeunes filles d’aborder l’épreuve finale dans les mêmes conditions que les garçons. Les programmes ne se recoupent toutefois pas encore entièrement ; l’économie domestique, les « travaux à l’aiguille » et la musique, obligatoires pour les filles, ne sont pas dispensés aux garçons, ou seulement de manière facultative pour la dernière matière.
"نحن قوم أعزنا الله بالإسلام ..." Omar Ibn El Khettab RA
Y a aussi sourat les bestiaux, les abeilles et même l’éléphant ?!!
Cher Phileas,
J'en comprend surtout que la vérité islamique vous énerve a un point ou vous ne savez plus ce que vous dites en public. Le Coran nous informe avec force que les animaux sont des communautés comme les humains. Et cela ne peut normalement que vous pousser à avoir de la compassion envers eux.* «Nulle bête marchant sur terre, nul oiseau volant de ses ailes, qui ne soit comme vous en communauté. Nous n’avons rien omis d’écrire dans le Livre. Puis, c’est vers leur Seigneur qu’ils seront ramenés» Sourate les bestiaux verset 38. Que se passe t-il, vous etes tellement géné par le fait que la miséricorde, en islam, s’étend à toutes les créatures de Dieu et pas uniquement aux êtres humains. L’islam insiste effectivement sur la protection des animaux et interdit formellement toute forme de cruauté envers eux. Dans un autre plan l’Islam est une religion qui témoigne à la femme beaucoup d’intérêt et de respect. Aucune autre religion divine, aucune loi positive ne lui ont assurée autant de considération, d’équité et de considération tout en respectant sa vraie nature. Les droits mentionnés a la femme dans la religion islamique attestent clairement et en tout point l’égalité totale entre les deux sexe, mais en parfait respect des disparités attenantes aux natures respectives de l’homme et de la femme.
Si vous ne le savez toujours pas, les femmes en occident sont tout simplement devenues les esclaves d'un système organisé par l'homme et pour l'homme ou le libertinage devient une véritable civilisation.. Ce système n'a en fait réussi a libérer la femme que de ses vêtements pour le seul profit de l'homme. C'est la véritable convoitise de la femme. D'un autre coté, votre société qui se dit ou se veut monogame donne l’impression d’être terrifiée par la polygamie alors que celle ci est apparente dans toutes les couches de la société au vu et au su de tout le monde et ce par des méthodes irrégulières. Il vous faut donc être seulement très courageux pour ne pas faire l'autruche et reconnaître les lacunes de la liberté de façade pour vous permettre enfin d'étudier a fond ce sujet ou les hommes ont tout simplement berné les femmes pour en tirer un grand profit et surtout pour la consommation sexuelle anarchique.
A chaque instant la vérité nous interpelle, y sommes nous attentifs. Rien n'est de moi, Je vous irrigue des écrits et de la connaissance des grands.
Moi je l'appelle pas le statut du Dhimi mais le statut de la honte tout court.
On vit en 21ème siècle et voila que certain piochent dans des textes moyenâgeux et nous sortent des termes honteux et dépassés par l'histoire afin de faire revenir l'humanité en arrière, tout en pensant que c'est cela la bonne voie et ce que "Dieu" veut.
On vit en 21ème siècle et voila que certain piochent dans des textes moyenâgeux et nous sortent des termes honteux et dépassés par l'histoire afin de faire revenir l'humanité en arrière, tout en pensant que c'est cela la bonne voie et ce que "Dieu" veut.
il bien dit que dieu a crée le genre humain en tribus et nations pour qu'ils se connaissent les uns les autres et que s'il avait voulu,toute l'humanité aurait été engendrée islamique sans autres croyances.
il bien dit également que le prophète de l'islam n'est qu'un messager dont la mission n'est que le rappel vers la voie juste ,la voie droite,la voie du juste milieu.
d'un point de vue du simple pragmatisme et en dehors de tout cadre moral ,les muslmans les plus fanatiques n'ont aucunement les moyens d'imposer le statut de la dhimmitude si ce n'est sur de pauvres minorités isolées et arabes du proche orient sans risquer de se prendre des deluges de bombes et aucune possibilité de se défendre tant ils sont faibles militairement.
Dernière modification par xenon, 21 août 2016, 22h18.
ارحم من في الارض يرحمك من في السماء
On se fatigue de voir la bêtise triompher sans combat.(Albert Camus)
J'en comprend surtout que la vérité islamique vous énerve a un point ou vous ne savez plus ce que vous dites en public.
Je suis gêné parce qu'à travers la religion vous justifier le statut de la femme qui à l'origine est défini par une société à caractère masculin, .... c'est de l'instrumentalisation.
Votre version officielle est que la femme est égale à l'homme mais au fond son témoignage est caduc , son droit à l’héritage n'est pas juste, que la polygamie est venu satisfaire les pulsions de l'homme afin d'éviter les maîtresses, et pour couronner le tout vous dites "naqissa 3aql wa dine" !
Donc moi je ne vous blâme pas monsieur Said, mais je vous demande de faire une mise à jour et de reprendre la lecture du coran dispensé de toutes exégèses.
C'est quoi ça dimmit?
Perso, c'est la première fois que j'entend parler de ce terme... et je présume que c'est pour celà que : "rana b'3ad"
La seule bonne action qu'on pourrait faire vis à vis des femmes, c'est de les écouter et surtout les inviter à nous dire la vérité. Sont elles vraiment heureuses SOUS notre DOMINATION? Sont elles heureuses sous les lois que nous leur avons fabriquées ?
je ne peux avoir une opinion sur une chose que je ne connais pas, et que je ne vis pas.
Critiquer ou parler de la soumission des femmes seraient juger celles qui le vivent, quelques en soit la raison.
Chacune voit la soumission de façon différente et à différents degrés.
SAID , une femme libre ne veut pas dire qu` elle soit libertine, et combien même, elles n ont pas à être jugé au même titre qu une femme soumise.
quand on sait que les dhimmis avaient un statut de protection obligation qui ne leur permettaientt cependant pas de témoigner comme un musulman à part entière ,qui les obligeaient à se singulariser vestimentairement ,dont on soutirait un impôt pour le dhimmi du pacte d'Ummar ou qui ne bénéficie que d'une 1/2 part concernant l'heritage pour une femme musulmane...
beaucoup de similitudes et encore plus si je devais creuser..mais vu l'heure je laisse à d'autres cette tâche fastidieuse..
et dieu sait que je ne suis pas une féministe primaire...
Pour ma part je ne peut répondre au sujet car je ne connais pas ce qui est un dhimmi en Islam, et d'ou dérive ce mot afin de mieux comprendre cette appellation? Et ça renvoie à qui en Islam, je veux dire depuis l'apparition de l'Islam
C'est vrai que le coran a fait une sourate pour les femmes,et pas pour les hommes.
Au lieu de nous le rappeler pour s'en rejouir,il aurait fallu nous expliquer pourquoi?A moins que cette sourate comporte des choses qui ne valorises pas la femme mais l'humilie.
Celles de vos femmes qui se rendent coupables de perversité, requérez contre elles le témoignage de quatre d’entre vous. Si le témoignage est confirmatif, enfermez les coupables sous un toit jusqu’à ce que la mort vienne mettre fin à leur vie ou que Dieu leur offre une autre issue
Comme ca m'etonnerais que dieu repond a n'importe qui,ces femmes peuvent crever.
Par contre pour les individus:
Si deux individus parmi vous se livrent à la débauche, sévissez contre eux. S’ils se repentent et s’amendent, laissez-les en paix, car Dieu est Clément et Miséricordieux
La morale en Islam se repose sur la protection du mâle sensé être l'élément central et supérieur à tout environnement féminin. L'islam donne aux hommes des droits et des libertés qu'on ne donne pas aux femmes considérés comme des éléments de moindre intelligence et de moindre résistance aux vicissitudes de la vie , elles sont sensées être faibles sur le plan corporel et émotionnel et pour cela les hommes sont obligés de les défendre, de les nourrir et vêtir , d'être responsable de leur avenir en les mariant et leur trouver un foyer qui les adoptera. La femme est au même niveau que l'enfant mâle ou femelle et donc perméable à la tentation de Ibliss. Pour lui éviter la faute qui touche à l'honneur de l'homme, on limite sa force et sa liberté dans ses décisions et choix !
Une question s'impose , est ce que les éléments décris ci dessus sont réels à notre époque que ce soit dans les sociétés musulmanes ou autres et est ce que le droits et les ddevoirs sont respectés dans la vie de tous les jours ?
Est ce que les lois de l'islam sont praticables dans toutes leurs dimensions ?
Moi je pense que non !
Dernière modification par Aggour, 21 août 2016, 20h19.
Commentaire