Le ministère des Affaires religieuses et des Wakfs s’attelle à préparer une loi qui viendra compléter celle déjà en vigueur concernant la règlementation des cultes étrangers en Algérie. Selon le ministre, cette loi consistera à protéger les Algériens des dérives du prosélytisme extrémiste.
Rym Nasri - Alger (Le Soir) - Mohamed Aïssa continue à mettre en garde contre les intrusions de sectes et de l’extrémisme religieux en Algérie. Il souligne une nouvelle fois les tentatives de division «programmées» qui trouvent des oreilles attentives en Algérie. «Ce sont des partis extrémistes qui veulent diviser l’Algérie», précise-t-il.
Il insiste ainsi sur le retour vers le référent religieux national. «Nous avons un référent religieux national qui jaillit de l’Islam ancestral tel qu’il a été rapporté par les sahaba», dit-il.
Intervenant, hier, en marge de son audition par la commission de l’éducation, de la formation, de l’enseignement supérieur, de la recherche scientifique et des affaires religieuses du Conseil de la nation, à Alger, le ministre des Affaires religieuses et des Wakfs, annonce la préparation d’une loi qui viendra compléter celle déjà en vigueur et qui concerne la règlementation des cultes étrangers en Algérie. Selon lui, cette loi consiste à protéger les Algériens des dérives du prosélytisme extrémiste.
«Les dérives de l’extrémisme religieux tout comme le prosélytisme touchent au tissu social et à l’unité des Algériens. C’est pour cela qu’il y a nécessité d’une loi qui criminalise ces actes et poursuit leurs auteurs afin de protéger les Algériens dans leur Islam et leurs pratiques religieuses», explique-t-il.
Mohamed Aïssa fait part par ailleurs, de poursuites judiciaires contre quatre individus pour avoir ouvert ou s’être accaparés de salles de prière et usurper ainsi la fonction de l’imam durant ce Ramadhan, profitant de l’afflux de fidèles que connaît ce mois. «Nous avons poursuivi ces quatre personnes en vertu du code pénal qui interdit de s’ériger en imam sans autorisation et interdit aussi d’animer des prêches ou des dourouss (cours religieux) sans autorisation», dit-il.
Ry. N.
LESOIRDZ
Rym Nasri - Alger (Le Soir) - Mohamed Aïssa continue à mettre en garde contre les intrusions de sectes et de l’extrémisme religieux en Algérie. Il souligne une nouvelle fois les tentatives de division «programmées» qui trouvent des oreilles attentives en Algérie. «Ce sont des partis extrémistes qui veulent diviser l’Algérie», précise-t-il.
Il insiste ainsi sur le retour vers le référent religieux national. «Nous avons un référent religieux national qui jaillit de l’Islam ancestral tel qu’il a été rapporté par les sahaba», dit-il.
Intervenant, hier, en marge de son audition par la commission de l’éducation, de la formation, de l’enseignement supérieur, de la recherche scientifique et des affaires religieuses du Conseil de la nation, à Alger, le ministre des Affaires religieuses et des Wakfs, annonce la préparation d’une loi qui viendra compléter celle déjà en vigueur et qui concerne la règlementation des cultes étrangers en Algérie. Selon lui, cette loi consiste à protéger les Algériens des dérives du prosélytisme extrémiste.
«Les dérives de l’extrémisme religieux tout comme le prosélytisme touchent au tissu social et à l’unité des Algériens. C’est pour cela qu’il y a nécessité d’une loi qui criminalise ces actes et poursuit leurs auteurs afin de protéger les Algériens dans leur Islam et leurs pratiques religieuses», explique-t-il.
Mohamed Aïssa fait part par ailleurs, de poursuites judiciaires contre quatre individus pour avoir ouvert ou s’être accaparés de salles de prière et usurper ainsi la fonction de l’imam durant ce Ramadhan, profitant de l’afflux de fidèles que connaît ce mois. «Nous avons poursuivi ces quatre personnes en vertu du code pénal qui interdit de s’ériger en imam sans autorisation et interdit aussi d’animer des prêches ou des dourouss (cours religieux) sans autorisation», dit-il.
Ry. N.
LESOIRDZ